Mettre son cul en header c’est particulièrement racoleur, surtout quand on s’apprête à parler coiffure.
Plusieurs fois, j’ai fait allusion ici à cette coque honteuse que j’arborais fièrement au-dessus du crâne dans les années 80. On est tellement pas sérieux quand on a 15 ans que rares sont les élus qui ont eu accès à la photo de mon permis de conduire, un des derniers vestiges de mon tribute capillaire à Jil Caplan (ou Desireless, pour les puristes).
Bon. Voilà. Je sais pas trop ce qui est arrivé l’autre jour (j’ai sûrement dû penser que les bretelles me donnaient un côté rock n’roll)(LOL), car en essayant de dompter mes cheveux juste avant de faire ces photos, j’ai instinctivement construit un petit monticule avec la même dextérité qu’au lycée, mais de façon plus raisonnable cette fois.
C’est là qu’on voit que la maturité c’est pas QUE des rides. Non, c’est aussi de la sagesse et de la modération. Et des rides.
La suite … « L’âge de raison : la coque »







