La vie est mal faite. Quand l’enfant a 3 ou 4 ans, votre donneriez un bras pour qu’il vous laisse dormir jusqu’à 7:30 le dimanche matin – Oh chéri, miracle, il est 7:00 et elle dort encore ! Viens, dansons la carmagnole du repos du guerrier ! -.
Dix ans plus tard, vous êtes obligé de les appeler vingt fois pour qu’ils émergent difficilement avant 13:00. Il paraît que c’est plus ou moins hormonal. Je ferais plutôt tapis sur la flemme, gimmick favori de la descendance depuis 2 ou 3 ans.
Ah, la flemme ! Celle qui vous cloue au canapé, qui vous empêche littéralement de vider le lave-vaisselle (ça va, je l’ai déjà fait le mois dernier !), d’étendre le linge qui stagne dans la machine depuis 24h, de ramasser l’agglomérat de groles qui squatte l’entrée.
Celle qui vous oblige à laisser vos cotons dégueulasses après le passage de l’ huile démaquillante, sur le rebord du lavabo, qui vous force à enfiler deux chaussettes différentes parce que c’est quand même super chaud de chercher l’orpheline au fond d’un tiroir.
La suite … « La flemme chez les adolescents »