HUMEURS

Dr Good! de Michel Cymes : offre d’abonnement à -40%

Comme tout le monde, vous avez sûrement pris des bonnes résolutions en début d’année. Arrêter de fumer, faire plus d’exercice, manger sainement, prendre soin de soi… la liste est souvent longue, et on l’abandonne parfois en cours de route.

Mais avec Dr Good!, le magazine de Michel Cymes, les bonnes résolutions c’est toute l’année ! En effet, en 2023, vous pouvez réellement devenir acteur de votre bien-être. Changer ses habitudes et rester en bonne santé, grâce aux conseils et connaissances de Michel Cymes, c’est vraiment très simple.

Avec Dr Good!, c’est enfin une manière ludique, décontractée, sérieuse et pratique d’aborder tout ce qui peut entretenir notre capital santé. Pas de ton professoral, mais du parler vrai, sans tabou.

Aujourd’hui, je vous propose une offre d’abonnement à ne pas manquer sur le magazine, à découvrir ici !

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5 conseils pour reprendre le sport en douceur

À chaque rentrée de septembre – ça vaut aussi pour le 1er janvier – c’est la même chose, après les apéros rosé-saucisson de l’été, vous n’arrivez plus à fermer votre jean préféré.

Par exemple, perdre des hanches est mon principal objectif !

A chaque fois vous le jurez, vous allez vous remettre au sport sérieusement ; c’est votre première résolution de rentrée… Et puis la flemme a souvent raison de votre motivation – on ne vous jette pas la pierre, nous aussi on préfère manger une plaquette de chocolat aux amandes devant une série -, et vous arrêtez le sport avant même de l’avoir commencé, aux alentours du 15 septembre.

Et si, en 2022, vous teniez enfin cette résolution ? Et si vous vous bougiez vraiment ?

Voilà mes 5 conseils (et une sélection shopping à la fin !) afin de vous aider à vous mettre réellement au sport, et à ne pas renoncer à la moindre contrariété.

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La charge mentale des femmes prend-elle des vacances ?

Alors que des millions de Français s’apprêtent à partir en vacances, l’Ifop et le site « Voyage avec Nous » ont souhaité savoir si les différentes tâches liées à l’organisation des voyages et au déroulement des vacances étaient réparties équitablement au sein du couple.

Cette étude montre une nette continuité dans l’inégale distribution des tâches domestiques ou parentales au détriment des femmes, et ceci alors même que leurs conjoints sont censés être plus disponibles durant cette période de l’année synonyme de détente et de repos.

Ainsi, deux femmes en couple sur trois (66%) disent en avoir fait plus que leur partenaire dans l’organisation des congés de cet été 2022, vacances durant lesquelles elles devraient, comme lors des années précédentes, assumer souvent l’essentiel du ménage, des repas ou de l’attention portée aux enfants. 

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Arrêter de fumer avec la cigarette électronique

J’ai arrêté de fumer le 30 octobre dernier, il y a un peu plus de 3 mois. Je ne pensais jamais pouvoir écrire cette phrase un jour. Comme beaucoup de gens, j’ai une béquille : la cigarette électronique. C’est compliqué de se séparer de sa meilleure ennemie après 30 ans passés ensemble. Les moments de joie, de fête, de tristesse, les parties de cartes jusqu’au bout de la nuit, les clopes secrètes de l’adolescence, toute une vie.

Je n’ai jamais eu vraiment envie d’arrêter de fumer, d’ailleurs je n’avais jamais réellement essayé. J’aimais ça.
Il y a eu un déclic, couplé à la volonté. Je passais la soirée chez une amie à Paris, je dormais chez elle, j’ai sorti de mon sac mon tee-shirt de nuit (celui avec Snoopy délavé par les années). Une odeur de clope froide dégueulasse m’a donné un grand sentiment de honte. Et de dégoût.

Dans un univers feutré et non fumeur (mon amie a arrêté il y a deux ans grâce à la cigarette électronique), mon addiction m’a sauté au visage. J’ai pensé, plus fort que d’habitude : il fallait que ça s’arrête.
Le lendemain matin, alors qu’on discutait devant nos cafés, elle m’a dit, d’un air inquiet, tu as vraiment la voix très éraillée, fais gaffe quand même. J’ai répondu que je savais.

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Midlife Crisis

Je me faisais la réflexion l’autre jour – en fait c’est faux, je me fais la réflexion très souvent en ce moment et pas que « l’autre jour », et j’en discute pas mal avec mes copines -, du coup oubliez ce début de phrase (ça commence fort) – , alors voilà, je suis en pleine Midlife crisis.

Mais pas de façon négative, pas comme on l’entend en général, pas comme on le lit sous forme d’article à la con dans les magazines féminins. Ma petite crise va dans le bon sens, dans mon bon sens, dans le sens inverse de mes angoisses, mes névroses.

C’est tout petit, c’est encore à l’état embryonnaire, mais la pleine conscience du temps qui passe me force chaque jour à aller à l’encontre de ma nature. Bien trop complexe pour être évoquée ici. 

La dernière fois que j’ai laissé mes pensées divaguer sur le sujet c’était sur mon transat en Tunisie (c’était ça ou faire le jeu de l’apéro au bord de la piscine <= NO WAY), c’est parti d’un constat hyper superficiel concernant mon bronzage qui, malgré l’application religieuse et consciencieuse de crèmes 50+ toutes les heures, était assez dingue. Au bout de trois jours j’étais black, il doit y avoir un micro-climat de la cagole là-bas, je vois pas autrement.

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Ce tout petit supplément d’âme

Je repensais l’autre fois aux débuts de ce blog, et de la blogosphère féminine d’une façon générale. Ils avaient ce goût d’excitation et de fébrilité indescriptibles. Ceux qu’on retrouve toujours lors de nouvelles aventures, qu’elles soient amoureuses ou professionnelles.

On dit que la génération X – à laquelle j’appartiens – est la plus nostalgique, mais ça va au-delà de ça je crois. Nous étions libres.

Ça frémissait tout juste, il y avait tout à faire, on ne savait même pas où on allait d’ailleurs, toutes les filles avaient des trucs à raconter. Des petits morceaux de vie qui laissaient tout le monde de bonne humeur.

C’était un joyeux bordel, en roue libre, personne n’avait peur de dire qu’un pull de chez X était merdique. Ni que dans tel resto, on était accueillis comme des moins que rien. Encore moins de poster une photo floue et aléatoire dans un hall d’immeuble. Voire même de s’engueuler vertement avec une autre blogueuse.

C’était comme dans la vraie vie. Plus ou moins.

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