Oh la la, les crapauds, quelle galère !
Alors qu’hier je laissais une dernière chance au produit Malava pourtant plus qu’approximatif au niveau de la tenue (même dopé par le top coat essie), je me suis souvenue de ce formidable article du ELLE de la semaine dernière où, en gros, ça disait que cet hiver c’est le vernis qui dicte ta tenue. Soit.
Face à ces deux jolis coloris, so néo-bourges comme ils disent, je me suis donc laissée tenter. Irrécupérable personne sans personnalité que je suis. Amen.
Ah on veut faire de nous des Claude Pompidou modernes ? Mais carrément qu’on va relever ce défi plus qu’épineux haut la main.
C’est ainsi que l’autre matin, les doigts vernis de vieux rose Mavala, j’ai ouvert ma penderie à toute volée, manquant comme Cyclamen, me prendre le chambranle en pleine arcade sourcilière habilement peinturlurée de Gemey-Maybelline.
J’ai essayé d’appliquer à la lettre les conseils du ELLE, cad qu’il faut obligatoirement « rockiser » ce coloris sous peine de passer pour le sosie de Simone Veil toute la sainte journée. Même sans chignon bas du plafond…