Jeudi dernier, j’ai passé la journée chez Veuve Clicquot, à Reims. Et on n’a pas fait que picoler, croyez-moi (en fait, si).
Dès la descente du train, vers 10h45, on nous a servi une petite coupe histoire de nous mettre dans le bain à bulles. Si tôt, vous êtes sûrs ?, on a demandé. On nous a affirmé que c’était le meilleur moment de la journée, justement, car c’est le matin que le palais est le plus réceptif, au taquet.
Face à cet argumentaire professionnel, on a laissé le champagne couler doucement dans nos gorges. Déjà bourrés, mais dignes, et prêts à descendre dans les crayères (les caves à champagne, si vous aimez mieux) de Veuve Clicquot.
C’est là que dorment les bouteilles, avant qu’on ne vienne les réveiller, car les trois conditions idéales sont réunies pour le bien-être du champagne : pas de lumière, pas de vibrations et une température.
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