RECETTES & GASTRONOMIE

Folle Envie, le tonic français

Entamer la semaine avec une recette de cocktail, est-ce que ça ne fait pas trop la meuf qui a déjà hâte d’être à l’apéro de vendredi soir (et qui fait des phrases de 10 bornes) ? Un peu si, mais comme je dis toujours « Il faut ménager sa monture, même si on ne veut pas voyager loin ».

Ce qui veut dire – je traduis pour les cruchonnes présentes dans la salle – que s’arrêter de travailler dès le lundi matin alors qu’on n’a même pas commencé c’est idéal pour préserver sa santé, même si ça ne permet pas toujours de se payer le Club Med (en gros).

Aujourd’hui, parlons peu parlons bien parlons nouvel apéritif, que s’apelorio Folle Envie ! Un apéritif bio, 100% français, rafraîchissant et faiblement alcoolisé (11,2% donc moins de sucre dans le cucul)… mais aussi une histoire de transmission, une jolie histoire.

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Chez Minnà, la Corse à Paris

Il y a quelques semaines, j’ai testé un restaurant corse ABSOLUMENT délicieux ! Des produits frais et de saison, des plats savoureux, une cuisine corse de grand-mère revisitée et des prix très serrés pour Paris ; il arrive que, parfois, le petit miracle gustatif opère.

C’est le cas Chez Minnà et je n’ai qu’une envie depuis, y retourner.

Je vous fais la visite guidée ? (vous n’avez pas le choix, je le crains)

Pour débuter, on a pris ce jour-là : les croquettes panées de Prisuttu (jambon corse) farcies de tome et le Mille-Feuille au Brocciu, Prisuttu et confiture de figue.

Ensuite, parce qu’on n’était pas là pour enfiler les perles, j’ai choisi le filet mignon de cochon, sauce à la panzetta et purée à l’huile d’olive corse, qui était une tuerie totale (je me souviendrai de cette purée À VIE)(et des calories aussi).

Ma compagne de voyage culinaire a opté pour le poulpe saisi à la plancha, boulgour aux herbes et mayonnaise épicée… que j’ai goûté, vous pensez bien, et qui m’a enchanté.

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Just a yellow lemon pie

Hey bonjour, c’est Maïté.
Aujourd’hui, si vous le voulez bien, partons vers des contrées citronnées. La semaine dernière, je me suis lancée pour la première fois de ma vie dans la confection de la tarte au citron meringuée.

Ma foi, malgré quelques imperfections (les contours de la tarte forment des irrégularités comme un château fort assiégé et la meringue n’est peut-être pas assez dorée), et sans me vanter – un peu quand même – c’était une petite tuerie.

Ça n’est pas très long à réaliser et surtout, ça épate grave la galerie. Et notamment la meringue, qui est pourtant très simple à fabriquer, mais chut ne le dites à personne sinon je risque de perdre mon statut de fée du logis. Statut acquis grâce à ma célèbre recette des madeleines au chocolat.

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Aux Prés, chez Cyril Lignac

La semaine dernière, j’ai eu un dej de boulot dans le restaurant de Cyril Lignac, Aux Prés. Je me suis tellement régalée que j’ai eu envie de vous montrer tout ça #GourmandCroquant (je ne me lasserai jamais de ce verbatim)(JAMAIS).

Avant, veuillez m’excuser pour la piètre qualité des photos. C’est un bistro d’époque pas du tout instagrammable de l’attitude, puisqu’il y fait assez sombre. Du coup, même avec des retouches, les photos ne rendent pas trop hommage. Bon, après, il faut savoir faire des choix.

Personnellement, je préfère goûter des mets parfaitement exécutés plutôt que d’exhiber des tasses de café avec des dessins dessus, posés sur des tables en bois genre scandinave. Nobody’s perfect, pardon la bienséance de l’Internet.

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La recette des madeleines au chocolat

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En cette période de pré-Noël, j’ai décidé de partager avec vous ma recette des madeleines au chocolat. WAOU, et oui rien que ça.

Et puis ça fait déjà trois fois que je la réalise, je crois pouvoir dire, sans trop m’avancer, que je la maîtrise pas mal.

Tellement que ça paraît louche à mon entourage. L’autre jour, un copain qui venait goûter à la maison m’a sorti « Tu achètes des madeleines au supermarché et tu les trempes dans le chocolat, c’est ça hein, avoue !? ».
L
es gens sont d’une mesquinerie sans nom.

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Une journée chez Veuve Clicquot

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Jeudi dernier, j’ai passé la journée chez Veuve Clicquot, à Reims. Et on n’a pas fait que picoler, croyez-moi (en fait, si).

Dès la descente du train, vers 10h45, on nous a servi une petite coupe histoire de nous mettre dans le bain à bulles. Si tôt, vous êtes sûrs ?, on a demandé. On nous a affirmé que c’était le meilleur moment de la journée, justement, car c’est le matin que le palais est le plus réceptif, au taquet.

Face à cet argumentaire professionnel, on a laissé le champagne couler doucement dans nos gorges. Déjà bourrés, mais dignes, et prêts à descendre dans les crayères (les caves à champagne, si vous aimez mieux) de Veuve Clicquot.

C’est là que dorment les bouteilles, avant qu’on ne vienne les réveiller, car les trois conditions idéales sont réunies pour le bien-être du champagne : pas de lumière, pas de vibrations et une température.

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