L’autre fois que je discutais avec Anne-So de trucs particulièrement sérieux – fait rare pour une blogueuse dont le champagne coule dans les veines en continu de 19h à 23h59 (plage horaire des raouts de blogueries) – je ne sais plus comment c’est arrivé, mais je lui ai balancé que je n’étais sûrement pas faite pour le bonheur.
Je ne suis plus très sûre du libellé exact de sa réponse (j’avais un serre-tête « oreilles de Minnie » qui me bouchait sévère la trompe d’Eustache), mais en gros c’était plutôt fataliste et salvateur pour moi puisqu’elle m’a répondu que le bonheur n’existait pas, si ce n’est des petits morceaux de vie de genre 10 mn où tu te sens bien. Disons, pas trop mal.