Coucou les tomates. Je vous disais l’autre fois, quand je vous montrais mon sac Carlos Jérôme Dreyfuss , qu’on n’était jamais autant à la cool qu’avec un jean et des baskets fatiguées.
Cette affirmation est toujours d’actualité – vous pensez bien qu’il n’y a pas écrit girouette – mais la basket pas fatiguée du tout est une variante que nous acceptons avec entrain.
Durant le rude hiver 2011, je suis passée de nombreuses fois devant la boutique près du travail qui exposait cette paire de Spring Court en laine, ornée de motifs jacquard comme sur les pulls que ma mère me forçait à porter au CM2.
Plus d’une fois je me suis demandé les prends-je ? Les prends-je pas ? Quand j’ai voulu sauter le pas, ma pointure était out of stock et j’ai alors pensé que c’était un signe du destin pédestre – celui-là même qui devient bien souvent votre double maléfique, celui-là même qui vous pousse à acheter une 15è paire de boots. Vous le reconnaissez.