Quoi faire un week-end en Normandie

falaises etretat

On a donc pris le large pendant 3 jours, option feignasserie, en Normandie. En même temps, c’était carrément la grande aventure pour Nounours. Pour lui, l’homme du Sud, Clermont-Ferrand c’est déjà le Groenland, alors imaginez le choc thermique que c’est de débouler tout là-haut…

Et puis moi, depuis cette histoire de Boeing mystère, je ne suis pas spécialement au taquet à l’idée de remonter dans un gros oiseau de fer. Bref, on est allés en Normandie.

Bon, je vous la fais courte car on n’est pas au summum de l’exotisme, mais j’ai été toute contente de retrouver Trouville – Deauville, sorte de Megève normande, est beaucoup trop ostentatoire pour que je souhaite m’y attarder – ; et j’ai adoré Honfleur et son petit port fleuri.

Mais là où j’ai pris une claque, c’est à Étretat. Quand on est arrivés, j’ai dit à Nounours qu’on dirait presque la Thaïlande. Bien sûr, j’exagère toujours un peu pour les besoins narratifs, même dans la vraie vie, mais je ne pensais pas découvrir une eau si bleue en Normandie. J’ai toujours imaginé les falaises d’Étretat comme un truc imposant, gris et menaçant. C’est un endroit magique et magnifique (et un peu touristique)(je viens d’inventer la règle des 3 « iques »).
La suite … « Quoi faire un week-end en Normandie »

47

Kwenda, la plus belle plage de Zanzibar

zanzibar kendwa beach 3

Hakuna Matata ! Vous avez vu, je suis bilingue africain.

Avec Nounours on est archi unanime, le Zanzibar c’est magnifique. De l’eau turquoise, des plages désertes, du sable qui ressemble à de la farine, du soleil, des poissons grillés, de la gentillesse… les heures d’avion sont vite oubliées quand on débarque au Paradis.

Tous les jours, j’ai dû me frotter les yeux face à la couleur de l’eau et les paysages paradisiaques ; le come-back à la réalité est certes un peu rude, mais comme je dis toujours « Si il n’y avait pas de retour, il n’y aurait pas d’arrivée non plus (je suis La Palice) ».

Comme plusieurs personnes de mon entourage m’ont demandé où se trouve le Zanzibar, croyant que je leur parlais d’un pays imaginaire (ces gens-là ont trop lu Tintin), voilà un petit prélude géographique.

Donc, Zanzibar c’est un archipel de l’océan Indien situé le long de la côte orientale de l’Afrique, à 40 kms de la Tanzanie. La population est musulmane à 95%, et il y a depuis peu une montée de l’intégrisme là-bas. Le ballet des petites filles qui sortent de l’école est certes fascinant à regarder, mais le port du voile dès l’âge de 4 ans tempère un peu votre sentiment. In my opinion…

La suite … « Kwenda, la plus belle plage de Zanzibar »

58

Zanzibar – vaccination fièvre jaune

fievre jaune zanzibar

Salut. Le mois prochain, on part en vacances sur la plus belle plage de Zanzibar avec Nounours (ouais GROSSE).

Théoriquement, la vaccination contre la fièvre jaune n’est plus obligatoire pour se rendre à Zanzibar, si on arrive d’Europe. Je dis bien théoriquement, parce que j’ai eu la riche idée d’aller vérifier l’info sur des forums de voyageurs. LA CONNERIE.

Sachez-le, les espaces où on cause voyages sur les Internets c’est la même chose que Doctissimo, où vous allez, guillerets, vous renseigner sur un ongle incarné… et d’où vous repartez avec une tumeur au cerveau. Moins guillerets, donc.

Et bien là, c’est pareil, car au lieu d’envisager un voyage paradisiaque, vous fermez l’onglet en étant sûr de repartir de votre lieu de villégiature avec 3 jambes en moins, une hache dans le dos, et les bourses vides (les vraies)(pas celles de monsieur).

Concernant notre propos, plusieurs gars disaient qu’on était pas à l’abri, en arrivant à l’aéroport, qu’un douanier zélé (ou con ?) nous demande notre carnet de vaccinations, et que si ce dernier était vierge (le carnet, pas le douanier) on pouvait nous renvoyer chez nous (25 heures d’avion POUR RIEN, imaginez le nervous breakdown) ou nous vacciner sur place…
La suite … « Zanzibar – vaccination fièvre jaune »

67

Tanger, la douceur de vivre

plage hotel mirage

Salut les jeunes. Je suis rentrée hier soir après un vol Tanger-Paris particulièrement chaud les marrons – l’avion est toujours une épreuve pour moi (pire que manger de la cervelle). Alors que je commençais tout juste à me détendre après le décollage, un trou d’air a décidé de nous faire un petit coucou en passant.

Pendant qu’une femme vomissait au loin et que celle assise devant moi hurlait comme un coyotte, j’ai fermé les yeux en espérant très fort que le crash arrive vite, histoire qu’on ne souffre pas trop.

Cinq minutes plus tard, le commandant de bord a dit qu’on avait traversé des vents contraires (les cons) mais que tout allait bien, on pouvait continuer à manger nos sandwichs en plastique. Moi, la prochaine fois, je prends le bateau JE VOUS PREVIENS. La suite … « Tanger, la douceur de vivre »

37

4 jours à Tanger : quoi faire ?

the a la menthe

Hey salut, je suis à Tanger (y’a Internet).

Comme on se la joue plutôt cool cette fois-ci (j’ai tellement arpenté Florence l’autre jour que j’ai encore les mollets cristallisés par l’angoisse de la marche), j’ai trouvé un peu de temps pour vous poster mes premières impressions car, comme je dis toujours, mieux vaut tout découper que poster du pavé.

En vrac et sans décodeur, c’est la douce torpeur qui règne ici. Comme dit le propriétaire du charmant Riad où on crèche : « A Tanger on se lève quand on n’a plus sommeil, on mange quand on a faim et on travaille quand on n’a plus d’argent« . C’est tellement sage comme maxime que j’en chialerais presque de bonheur.

En plus, joie dans les coeurs, le tourisme de masse ne passe pas par ici. Il faut vraiment faire des efforts pour croiser des non-tangerois dans les rues de la médina, et ça donne un charme supplémentaire à la ville.

Je me sens un peu hors du temps, comme anesthésiée, malgré les multiples thés à la menthe offerts de bon coeur tout au long de la journée qui finissent par me faire palpiter le coeur (ou bien je fais de la tachycardie marocaine ?).
La suite … « 4 jours à Tanger : quoi faire ? »

30

Deux jours à Florence, en Italie : mes bonnes adresses !

florence 9

Salut. On était à Florence ce week-end, et comme d’habitude on a choisi l’option freestyle, préférant nous perdre là où nos petites jambes musclées nous mènent plutôt que d’emporter avec nous les guides et préparatifs d’usage. C’est définitif, c’est vraiment comme ça qu’on aime voyager même si ce n’est pas très catholique.

Mais pour autant, vos conseils (ici ou sur Facebook) ne sont pas tombés dans l’oreille d’une sourde puisque ils ont été très précieux, sachez-le (vous êtes un peu mon Routard online).

Alors, il est difficile de ne pas aimer Florence et tous ses trésors de la Renaissance. Compliqué de ne pas baver devant toutes ces pâtes et cette putain de mortadelle qui fond dans la bouche.

C’est impossible de ne pas s’émerveiller en longeant l’Arno, et en grimpant dans les jardins de Boboli, où la vue sur la ville vous coupe définitivement le souffle. Risqué de s’engouffrer dans la plus vieille pharmacie du monde sans craquer pour une eau de cologne Santa Maria Novella (je vous en reparlerai).
La suite … « Deux jours à Florence, en Italie : mes bonnes adresses ! »

48