Tourisme Thaïlande : une semaine à Bangkok

palais-royal-bangkok

A l’heure où j’écris ce billet, je ne suis pas loin du départ. Quand vous le lirez, je serai dans les airs. Vous savez quoi ? Si je n’avais pas des êtres chers à retrouver à Paris, je crois bien que je pleurerais à chaudes larmes (c’est la faute à mon zodiaque si je suis si sensible). Et je me souviens très exactement pourquoi, il y a 14 ans, j’avais dit que je reviendrai un jour en Thaïlande.

Bref, me voilà presque de retour (ouin) et je vous propose de faire un tour d’horizon de ce séjour à Bangkok de façon chronologique.

Après 11h d’avion – dont 10 de turbulences – c’est peu de le dire que Caro et moi avions perdu toute translation, jouant cette première journée sur une gamme allant du presque malaise de fatigue au fou rire nerveux d’excitation.
Pourtant, pour faire passer le temps en avion et à la faveur de la pression atmosphérique, Caro m’avait avoué quelques secrets honteux. Lesquels ? Oh je ne suis pas comme ça vous savez.
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Djerba, pandi, panda

radisson blu djerba

Yo ! Comme à chaque fois que je rentre de vacances, j’en ai marre de tout. Ne faudrait-il pas ne jamais partir, afin d’en avoir jamais marre de rien ? A méditer.

A part ça, je n’ai pas des tonnes de trucs trépidants à vous raconter – la position horizontale a été le gimmick des holidays. On était dans un hôtel plutôt très chouette, j’avais le cheveu foufou, les tortues s’échouaient sur la plage, et la gentillesse tunisienne n’est décidément plus à prouver. C’était ma quatrième fois en Tunisie et j’en reviens toujours désarmée devant tant de chaleur humaine.

Mais quand même (vous allez rigoler), il faut que je vous dise un truc. On avait un people avec nous, dans l’hôtel. Et pas n’importe quoi comme people, puisqu’il s’agissait de Chantal G., l’amie des enfants. OUI, OUI, CHANTAL G. !!
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L’année des méduses : un maillot Albertine à gagner !

jupe isabel marant

Hey, ça va vous ? Moi ça va bien, merci.

Comme on est dans un hôtel thalasso/spa (par hasard, rassurez-vous), Nounours a retrouvé son peignoir blanc DSK dans la salle de bain, dès notre arrivée. Il était ravi, mais son toc un peu hum hum commence à nous coûter cher en hôtellerie.
Je crois qu’il fait une vraie crise de la quarantaine car, hier soir, il a aperçu plusieurs fourmis volantes et a dit, d’un ton qui ne permettait aucune contradiction, que c’était signe de pluie…

Finalement, aujourd’hui était la plus belle journée depuis notre arrivée. N’est pas Catherine Laborde qui veut, telle est la leçon qu’il lui faudra retenir de cette mésaventure anticyclonique.

Sinon, j’essaie de manger sainement. Bon, à part les gaufres et la brioche au petit déjeuner. Et aussi j’ai un petit penchant pour les bricks au thon, mais comme je dis toujours le thon c’est plein de protéines.
La brique ? Bah, vous êtes marrants, je ne suis pas Joe le maçon. Je n’en sais fichtrement rien, mais j’imagine que la friture ça ne peut être que du bon cholestérol tellement ça rend heureux…
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Douce Espagne

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Bon bah voilà. Finalement, « Homme heureux, temps radieux » est un adage qui fonctionne plutôt bien puisqu’on a terminé ces micro-vacances sous le soleil (je suis en train de penser à la série intellectuelle du même nom dont l’action se déroule à Saint-Tropez, mais déjà que j’ai fait référence à Nabilla dans un récent post je ne voudrais pas que vous pensiez que je suis complètement demeurée des neurones)(hihi).

Vous dire que je rentre complètement reposée de cette petite semaine ibérique serait mentir. Malgré de beaux moments de lâcher prise sur la plage, en terrasse ou devant une sangria, j’ai toujours un petit fond de burn-out hivernal qui sommeille en moi.

Nounours a pourtant dit, à un moment, Pense à tous ces cons sous la neige, et c’est vrai qu’une grande bouffée de bonheur m’a envahie à cet instant très précis. Mais comme à chaque fois qu’on a des pensées pas très charitables on est très vite punis : j’ai attrapé un coup de soleil sur le front.
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Me gusta la Sangria

barcelone

Salut la jeunesse. Ça neige chez vous ? Nous ça pleut (super) !

Ça c’est une photo que j’ai prise hier en arrivant à Barcelone par le haut de l’avenue Diagonal, qu’on ne connaissait ni Nounours ni moi – alors qu’il dit maîtriser cette ville comme sa poche. Le mytho.
Du coup j’ai un peu halluciné comme ça ressemble à L.A. de loin. Nounours a dit Miami, mais comme il n’y a jamais foutu les pieds je ne suis pas sûre qu’il soit dans le vrai.

Du coup comme ça pleut (super), aujourd’hui Nounours a dit qu’on irait au musée (super).

Arrivés devant le CCCB, le centre de la culture de Barcelone, il s’est ravisé en disant « En fait c’est trop pointu pour toi, tu vas te faire chier…« , alors on est allés au MAC BA (le musée d’art contemporain). J’ai comme l’impression qu’il me confond avec Nabilla ALLO QUOI ?
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Des photos de mon week end à Istanbul

drapeau turc

Les villes qui ont du charme, c’est comme les gonzesses, c’est pas forcément photogénique. Je me rends compte qu’il est très compliqué de retranscrire en images la magie d’Istanbul ; c’est un peu plus du ressenti que du visuel (l’inverse de Maurice, au hasard, où l’eau turquoise ferait bander n’importe quel quidam coincé sous la grisaille parisienne).

Néanmoins, j’espère que je vous aurais donné envie de découvrir cette ville (j’ai pour ambition, cette année, de devenir l’affluence touristique).

Voilà quelques photos supplémentaires : des clichés certifiés sans outfits, ni poses devant chaque monument significatif d’Istanbul.

A chaque voyage, je suis sidérée (et cyniquement fascinée, je l’avoue), devant tous ces gens qui prennent des poses crispées, souriant de toutes leurs dents, devant le Pont des soupirs, un geyser en Islande ou le palais de Topkapi. Je préfère essayer de saisir la vraie vie, plutôt que de collectionner 25 photos de Nounours devant des vieilles pierres.

A chaque fois, je repense à cette chanson de Bénabar, « Les épices du souk du Caire« , où il se moque des travers de nos contemporains quant à leur relation avec la photo.
Bref, je crois que je suis un vrai taliban du comportement.

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