Alors voilà. Un jour que vous vous promenez à SOPI (South Pigalle) avec une copine, votre maman, ou même une attachée de presse désœuvrée – je déconne -, tout d’un coup il est 16h et vous avez faim. C’est bien normal, et on ne vous blâme pas (même si tu as déjà un gros cul).
Comme je suis la bonne fée du goûter à mes heures perdues, voilà deux adresses testées et approuvées dans ce quartier trop stylé : une en intérieur pour quand c’est la fête à la grenouille, une en extérieur pour quand le soleil donne. La suite … « Où goûter à SOPI – South Pigalle »
Coucou Internet. C’est l’heure de ripailler, isn’t it ?
Aujourd’hui, c’est jour de fête, puisque je vous emmène dans un restaurant du 18ème arrondissement au nom éponyme (mazette, quelle coïncidence).
Donc Jour de Fête c’est un néo-bistrot qui propose une cuisine du marché. La carte change tous les jours, et j’ai pour ma part testé le menu du midi à 25€ (entrée + plat + dessert). Si le choix est plus varié le soir, à l’heure du déjeuner 2 entrées, 2 plats et 2 desserts sont proposés, point barre. Mais je préfère toujours ça (car c’est ce qui garantie la fraîcheur des produits) à une carte de 50 kms de long gavée de surgelés péraves. La suite … « Jour de Fête »
Hey, tu as faim ?
J’ai découvert cette semaine une petite cantine du midi, grâce à ma copine Violaine qui tient la chouette boutique La Minaudière – d’ailleurs on fait un Vide-Dressing là-bas, dimanche prochain avec les copines, ; vous avez intérêt à passer sinon on vous explose vraiment – mais je m’égare.
Dans le quartier Popincourt, on trouve donc Düo, un espace hybride où cohabitent une galerie d’art et un petit resto, testé et approuvé. Je vous raconte.
Un buffet en formica, des chaises en bois scandinave, de larges baies vitrées, des tables en pin plantent le décor rétro-broc de cette cantoche tenue par la chef Franco-Japonaise Maori Murota. L’endroit est baigné de lumière (en même temps le soleil donne tellement en ce moment que même les catacombes arriveraient à nous coller une cataracte) et propose une cuisine de marché le midi.
Le menu est griffonné sur un grand tableau noir, une entrée, trois plats et trois desserts au choix, un menu à 15€, on ne s’embarrasse pas. Les plats ne sont pas aussi photogéniques que les burgers savamment mis en scène par les blogueuses sur instagram MAIS C’EST SUPER BON ! La suite … « DÜO, voire plus… »
Nous allons donc encore au restaurant aujourd’hui, oui mais cette foi ni bobo ni neobistrot. Je vous raconte.
Comme avec Nounours nous ne sommes pas trop branchés Saint Valentin et que, de toute façon, on ne sera pas ensemble le 14 février prochain – on est des punks – on s’est fait un petit resto en jet lag de l’événement, en début de semaine. La bonne surprise qu’on a eu là, les amis !
Le nom de l’endroit, c’est La Bulle, et ça se situe pas très loin du Canal Saint-Martin MAIS rien à voir avec les restos qui pullulent là-bas, sans odeur ni saveur. Que celui qui a déjà fait un repas de roi sur le Canal me jette la première pierre ; j’attends. La suite … « Restaurant Paris : La Bulle »
Vous avez faim ? Ça tombe bien.
Le néobistrot fleurit plus vite, à Paris, que le pissenlit sur la pierre tombale ; et c’est d’autant plus vrai au sein du carré Cadet/Le Peletier/Château d’Eau/Bonne Nouvelle. On va vite frôler l’indigestion de béton lissé et de bois clair (déjà qu’avec le burger…).
Mais quand même, il y a un bon mois j’ai testé une des cantines du moment, Encore.
Au menu, ce jour-là : bouillon de champignons et maquereau fumé (très bon) ; magret de canard, carottes et jus d’anchois pour moi (très bon aussi) et lieu jaune pour Caro (trop ivre pour me donner son avis)(la pauvrette, elle m’inquiète).
Et enfin, pour le dessert, tarte au citron meringuée, sorbet d’ananas, meringue maison (très frais mais pas dingue). La suite … « Encore ! »
Comment allez-vous ? Je vais bien, merci.
Vendredi dernier, j’ai été invitée par le Café de la Jatte, un restaurant à Neuilly, afin de découvrir la carte « truffe » du moment (dur !).
J’avais envie de vous faire un petit compte-rendu gustatif de cette parenthèse pleine de saveurs, même si je sais bien que la truffe n’est pas un mets qu’on colle dans ses menus de façon régulière. Non.
La dernière fois que cette dernière avait atterri dans mon assiette, c’était il y a pile un an, lors d’un à week end à Turin, et j’avais gardé un souvenir impérissable de ce truc odorant râpé sur mes pâtes.
C’est dans ce grand bâtiment industriel joliment rénové, aux hautes vitres inondées de lumière et au squelette de dinosaure suspendu au plafond, que le chef Giovanni Perrone, qui vient des Pouilles, nous a d’abord présenté sa truffe blanche dans un bocal. Un objet précieux à 4000 boules le kilo (OUCHE !).
Il a ensuite décidé de nous la servir, déclinée de multiples façons… au bout du premier plat, j’ai déclaré que j’avais tellement de saveurs en bouche que je ne voulais plus jamais me laver les dents.