Qu’est-ce qu’il y a dans un Bubble Tea ?

Un soir de novembre, je me suis retrouvée dans un resto Taïwanais avec Nadia et Katia – j’aime zoner avec des filles en « A », j’ai toujours l’impression d’être transportée dans un fim érotique de série W. Si on laisse de côté l’odeur de graillon particulièrement prégnante ce soir-là (j’ai dû vider le tiers d’un flacon de parfum Van Cleef sur mon gilet tout neuf en rentrant chez moi), on peut dire que j’ai fait une découverte gustative particulièrement intéressante au Zen Zoo : Le Bubble Tea !

J’ai comme l’impression que j’ai trois wagons, que dis-je une gare entière de retard quant à la branchitude de ce divin breuvage mais comme je dis toujours : je peux pas être partout ! Bref, je vous raconte.

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Restaurant Le Petit Trianon – Paris 18ème

Bonjour vous. A force de lire dans les marronniers du fooding branché de la rentrée que le resto du Petit Trianon, récemment rénové, était une sorte de cool du quartier, j’ai fini par y jeter un pied. Puis les deux. Bref, c’est devenu ma cantine.

Situé à 10 mn à pied du nouveau triangle branché de Pigalle Chez Moune/Le Sans Souci/ Le Mansart, c’est carrément une aubaine pour moi que de pouvoir être hipster sans foutre un orteil dans le métro. La tendance et la flemme ne sont pas du tout des antigones (c’est comme ça qu’on dit ?).

Oui les amis, c’en est fini du lounge, ploucisé par une démocratisation outrancière. Place à la banquette trouée en skaï douteux, aux chaises dépareillées, aux verres Duralex qu’on retourne avec bonhomie pour faire comme à la cantine en CE2 et au zinc sans apparat.
Les gens trendy se bousculent désormais dans le rade du quartier tenu par Micheline depuis 40 ans. Ca fait genre on est pas du tout des gens superficiels… mais on paie le demi 6€ (le hipster n’est pas à une antigone près – c’est bien comme ça qu’on dit, je suis en stress de l’expression écrite ?).

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Cannes x Palais de Tokyo

C’est grave les copains. Je n’ai pas pour habitude de ficher ici de la blogueuse-collègue, ni de (trop) parler des sauteries aromatisées champagne x lieux branchés, mais il régnait une atmosphère si « bon enfant » lundi soir, au Palais de Tokyo, que voilà quoi. Je ne voulais pas passer à côté de ce petit moment de bonheur grâce auquel ma pelote de nerfs a pu se dénouer. Un peu…
Oui et donc, cette photo est un bon résumé de la soirée ; niveau moderies j’entends. Je raconte.

Une soirée « Menu de Cannes » était organisée, un genre de « top chef » customisé où deux équipes s’affrontaient. Nous autres, les invités, nous étions relookés, cuisinés et designés par des experts autour de la thématique Côte d’Azur. Moi, je me suis retrouvée dans la team de Walinette, Dorian et Harvey. En voyant le coloris du petit bracelet glissé à mon poignet dès mon arrivée, j’ai rangé de côté mon désarroi : le jaune est la couleur maudite de Koh Lanta, tout le monde sait ça.
Mais l’essentiel est de participer… surtout quand on se retrouve avec une paire de Sergio Rossi aux pieds. Walinette sait comment me parler, y’a pas !

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Au Kube

Bonjour mes minous. Sachez que mon éternelle insatisfaction en matière de brunchs parisiens a été récemment bousculée, puisque j’ai découvert celui du Kube, hôtel designo-branché super rive droite (aka la Chapelle – ouille).
C’est pas que je sois si difficile (ah si tu trouves ?), mais ça fait 15 ans que j’écume la bruncherie de la capitale sans réel coup de cœur, malgré les 25/30€ dépensés pour de la viennoiserie sans âme et l’éternel saumon fumé jeté sur ses œufs brouillés ratés façon micro-morceaux d’omelette (oui, tu as raison, je suis difficile).

Bon okay, pour les besoins narratifs j’exagère aux entournures, mais écoutez plutôt l’histoire. A la base le brunch-buffet, c’est souvent no way : ça me fait saigner le cœur de m’imaginer dans un voyage Fram. Et puis, bon, j’ai dit sus à la snoberie outrancière, courrons vers cette terre promise désignée par beaucoup comme l’une des meilleures places pour un dimanche chill-out.

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Miqueline et les macarons

miqueline

Il est de notoriété publique que je ne sais pas cuisiner et que je me moque de la tendance surannée du macaron depuis lurette. Seulement, l’autre fois, on m’a demandé de tester une préparation Alsa pour fabriquer soi-même ses macarons easily.
« Pourquoi moi ?« , j’ai demandé interloquée.
« Parce que tu es bien dans la cible des nullos du culinaire« , on m’a répondu. Pas con.

Comme on n’est plus à une contradiction près, j’ai accepté. Et comme chaque fois où je suis dans les ennuis jusqu’au cou, j’ai appelé Miqueline à la rescousse. « Pour sûr qu’on va faire un atelier macarons chez moi !« , il m’a répondu, tout enjoué. Il faut dire que Miqueline (blogueur le moins lu de France et paradoxalement le plus populaire), dès qu’il y a un cadeau à la clé, il dit jamais non. En l’occurrence, j’avais dealé de lui laisser le tablier Alsa. Je vous dis pas comme il était content.

Donc, voilà le récit imagé de notre après-midi aux fourneaux. Mercotte n’a qu’à bien se tenir…

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Séjour et déjeuner à l’Hôtel de Sers Paris

macaron-pistache

Amis poneys, bonjour !

Figurez-vous que, samedi dernier, j’ai parcouru Paris en 2CV, pour visiter des hôtels-restaurants-lounge-tout le tintouin-etc… En quel honneur ? (vous vous demandez)
Ah mais, sans honneur ! (c’est une figure de style du bridge ; je suis très érudite en sports de cartes)

En vrai, nous avons été inviter pour passer des bons moments décontractés dans des hôtels.
Ainsi, nous fîmes que manger, picoler et visiter des chambres d’hôtels. Voyez un peu l’oisiveté galopante qui nous gagne, nous autres, les imposteurs du virtuel.

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