Crème Vinosource Caudalie : mon avis

Bon, les amis, j’imagine que la plupart d’entre vous est rentrée au bercail, après ces vacances d’été, non ? Si, si, je vous en supplie, ne me laissez pas seule dans ce Paris désert où c’est quasi le marathon de New-York pour trouver un paquet de clopes. Et ça, tous les jours.

Donc, disais-je, on est TOUS rentrés, et on a la peau grise. On est complet verdâtre que le joli bronzage se soit déjà fait la malle en cabine et on arbore un teint bizarre. C’est à dire qu’on est à mi-chemin entre la Blanche-Neige attitude de novembre et le hâle printanier. En bref, on a limite une peau dégueulasse et c’est vraiment la zone. Merci bien les vacances (c’est bien simple, moi je ne pars plus, sauf encore la semaine prochaine mais après j’arrête) !

La suite … « Crème Vinosource Caudalie : mon avis »

38

Big Apple Red OPI

Les copains, je viens de faire une horrible constatation : le vernis O.P.I. c’est plus du tout ce que c’était. Le vernis O.P.I. c’est rien que de la merde. Force est de constater que le it vernis de la blogueuse, encensé sur moults journaux intimes de l’Internet depuis des années, est en passe d’être foudroyé par le syndrome Dreyfuss. Misère !

Jérôme, dont on a adoré les sacs à 600 boules à la base, et qu’on a cloué au pilori de la médiocrité à cause qu’il fait rien qu’à changer la qualité des cuirs depuis que sa notoriété a atteint les cimes de sa grosse tête. Classique. N’empêche qu’on vit toutes très mal cette trahison, avec nos sacs caméléons qui changent de couleur tous les 6 mois, au gré du délavage de nos Billy adorés. Zyva, Jéjé, ta mère fait du macramé ou quoi ?

La suite … « Big Apple Red OPI »

35

Joie du vent qui passe

Salut les terrines, c’est moi. Voyez que tel un boomerang je reviens toujours vers vous, même après deux semaines de rêve passées au Maroc.
Alors oui, je sais que l’illustration donne pas trop dans l’ambiance tajines, arganiers et Aladin, mais je n’ai pas encore eu le temps de trier toutes mes photos. J’ai pensé que coller ma trombine en haut de page comblerait le manque narcissique de cette quinzaine passée loin de vous. Ouf, je respire.

En parlant d’ego-trip, je vous raconte pas comme ma fierté capillaire en a pris un coup, là-bas. Putain, c’est mon coiffeur Michel qui va pas manquer de m’engueuler quand il va plonger ses doigts dans la paille qui officie sur mon crâne désormais. De la paille, les copains, de la paille ! Ruinés, niqués, incinérés les cheveux. R.I.P.

Sans aller jusqu’à partir avec le container de Volvic en soute, croyez pourtant bien que je les ai soignés à coups de masques, brumes, sprays et toute la délégation anti-UV (tu me connais). Las. Le vent brûlant (le Chergui, que s’apelorio) a eu raison de tous les onguents du monde, les 50°c de Marrakech les ont achevés.

La suite … « Joie du vent qui passe »

25

Névrose solaire

Je sais, les copains, je suis en vacances avant l’heure. Mais tout ça c’est pas ma faute, non, c’est celle du calendrier scolaire.
Ô bienheureuses nullipares qui ne vivez qu’au joyeux rythme biologique des congés payés, sachez que nous autres, mères de famille, devons aussi nous cogner celui de nos minots. Offrir autant de vacances à des gens qui font des dessins toute la journée, c’est quasi de l’indécence, je ne te le fais pas dire. Oh si, dis-le !

Bref, aujourd’hui la cloche a sonné pour moi aussi, quelque part. Alors, ok, je pars en vacances seulement dans 6 jours (encore ?), mais j’attends avec tant de hâte cette pause sans wireless aucun que je suis déjà au taquet de débrancher toutes les prises de l’informatique quitte, dans ma rage, à arracher quelques plinthes au passage. Tant pis pour la caution.

Tout ça pour dire que, en juillet, je vais laisser de jolies toiles d’araignées envahir SBEP, histoire que je reprenne mon souffle, histoire de ne pas gâcher ne serait-ce que 30 minutes de mon précieux temps de décompression à coller ici les cartes postales 2.0, histoire de partir vraiment pour mieux revenir (c’est beau, on dirait du Julien Clerc).

La suite … « Névrose solaire »

29

Mets de l’huile

Comme vous le voyez, ça a encore été la foire au glandage le week-end dernier. Heureusement, j’avais emmené avec moi quelques devoirs (et Brian en maillot Aréna).
Donc, dans les homeworks y’avait de tester une huile solaire. Dur.
Ce que j’ai fait la mort dans l’âme au départ, je dois bien l’avouer.
Je partageais jusqu’ici la même idée reçue que mes copines de bronzage : l’huile ça protège queud’ et ça fait cramer, même si un gros indice 20 pavane en devanture. Du coup, j’en ai mis seulement sur mes bras histoire de limiter la casse solaire.

La suite … « Mets de l’huile »

77

Poil musical

Aujourd’hui, les copains, il s’agira de vous parler d’un objet quasiment non-identifié qui vient d’atterrir dans ma boite aux lettres. La vraie, celle que Josiane, la factrice aussi sexy que Mireille Mathieu, frôle de son avant-bras poilu chaque matin.
Je sais que souvent, quand vous vous faites la retouche maillot, vous déprimez rien qu’en voyant le triste objet métallique qui va occuper votre main droite pendant les 50 prochaines minutes (pour les plus malchanceuses de la pilosité).

Croyez bien que ces moments dépressionnaires sont désormais derrière vous, puisque voilà la pince à épiler mandoline.
Enfin, je dis « mandoline« , je ne suis pas si sûre, je n’ai pas pris l’option mélomanie au BEPC. Mais l’intention musicale y est, non ? Si, si, je t’assure elle y est !
Après, à vous de voir si la teuhon ne vous gagnera pas en dégainant ces drôles d’objets devant votre mec, puisque chacune sait que les garçons ont parfois du mal avec nos goûts un peu limites.

La suite … « Poil musical »

24