Je vais (encore) sortir ce soir

cadum final

Vous le savez, je ne suis pas la dernière en matière de nostalgie. Rien que la semaine dernière, j’ai encore dansé sur Partenaire Particulier, titre témoin de mes premiers déhanchements des années Fac (la classe).

J’ai donc répondu Présente ! quand Cadum m’a demandé de faire un petit film autour d’un de ses produits ; le souvenir du célèbre savon rose, posé sur le rebord du lavabo de ma mamie, bien ancré au fond de mon coeur, option artichaut.

Mais heureusement, depuis 1907, Cadum ne s’est pas limité à la savonnette. La marque, créée par deux hommes, a su développer tout un tas de produits toujours respectueux de la peau, et pas seulement des bébés. Crèmes douches surgras, shampoings, douches thermales, déodorants, savon bio… des soins pour toutes les peaux sensibles de la famille, sans faire de jaloux.

Bon, je vous laisse avec mon premier (très) court-métrage dans lequel je m’apprête à (encore) sortir ce soir. C’est qui Isabelle Adjani ?

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Fête des Mères : dites-le avec des fleurs !

fete des meres

Dimanche, afin de célébrer la fête des mères comme il se doit, je m’étais coiffée avec les pieds du réveil. Hum.
Mais comme je suis quand même une bonne élève, je n’ai pas oublié de suivre les savants conseils de la directrice artistique de Manoush. A savoir que, après 40 ans, « montrer ses genoux, même avec un collant opaque, est intolérable ! » 

Ne polémiquons pas, quand on a tant de bon goût, tout ce qu’on raconte devient doctrine. Au feu, donc, les mini-jupes, les shorts et consorts.
Du coup et je ne vous le fais pas dire, je ressemblais un peu à une communiante du bas. J’ai alors décidé d’assortir ma coupe réveil-matin à une blouse un peu gypsy pour qu’en haut, au moins, je fasse un peu plus bobo délurée.
Des genoux cachés, des cheveux décoiffés, mais des fleurs au poignet. Joyeuse fête des mères !
La suite … « Fête des Mères : dites-le avec des fleurs ! »

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Une synthèse, Thérèse.

maillot de bain

Bonjour tout le monde. J’espère que vous avez passé un bon week-end ? Nous on est passé chez Muji – rassurez-vous, cette fois je n’ai pas ramené des boîtes muji à la maison (mon TOC est parti) -, car on cherchait un mini pot de fleurs pour la capucine que Cyclamen a planté à l’école.

Lls leur font vraiment faire n’importe quoi au lieu de travailler dur.

Résultat, j’ai acheté des milliards de contenants pour transporter les produits de beauté en avion, car je pars bientôt à Rabat pour le festival Mawazine. Mais bon, pas de mini pot de fleurs à l’horizon. Ils sont décevants ces japonais.

Résultat, j’ai acheté un cache-pot dans une autre boutique, et voilà comment je te les ai séchés les nippons, même si je n’ai pas la main verte.
Mais attendez, ce n’est pas la seule déconvenue du week-end !
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On dirait du Musso

pochette glitter

Vous vous souvenez (non ?), dans un ancien Jean-Jacques Goldman, je vous parlais de ma passion pour ce modèle de New Balance, Tomboy, qu’on ne trouvait malheureusement qu’aux Amériques. Et comme de par hasard, ces dernières (les Amériques) n’assuraient pas la livraison vers le doux pays de Molière.

Vous pensiez, comme moi, que ceci n’était qu’une énième lubie, un caprice, une toquade digne d’une new Adjani. Alors que pas du tout, vous devriez le savoir que je ne suis que raison et modération.
Je dois vous avouer que j’ai passé la moitié de l’hiver avec des nouvelles New Balance aux pieds – la basket la plus « chausson » de l’histoire ; en effet, nous autres parisiens, on prend pas la caisse pour faire 200 mètres, on marche beaucoup.

Nous sommes un peuple courageux.

Et comme je dis toujours « Par une journée de marathon, tu oublieras les talons ! ».
La suite … « On dirait du Musso »

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Imedeen : chroniques d’une cure

imedeen avis

Vous avez vu comme je fais bien la mannequine télé-achat ? Bon, assez plaisanté, voilà la petite synthèse de mon 5ème mois d’utilisation d’Imedeen, et mon avis sur Imedeen.

Pour celles qui n’auraient rien suivi, vous trouverez les 4 premiers épisodes par ici ; révisez bien, sinon c’est le redoublement assuré en juin (je vous aurais prévenues).

Alors, pour ma part, c’est que du bonheur (jurisprudence Loft Story) ; plus j’avance dans la cure Imedeen, plus j’ai du mal à imaginer ma vie sans mes comprimés. En forçant le trait, ma cure c’est un peu comme mon second enfant voyez. Bon, mais l’avantage c’est que lui, on n’a pas besoin de lui faire réviser ses devoirs ni le forcer à manger des haricots verts. Le pied.

Je dois réaliser un dernier skin scanner prochainement, pour voir l’évolution au niveau de l’hydratation de ma peau. J’espère que là-dessous ce sera aussi positif que la partie visible de l’iceberg. Fingers crossed.

Certaines m’ont dit, dans les commentaires des précédents billets, qu’elles s’étaient lancées dans l’aventure Imedeen. Même si c’est un peu tôt, j’aimerais beaucoup avoir votre ressenti. Vous me dites ? (ou je t’explose)

Rendez-vous le mois prochain pour la fin de l’aventure. Rongez votre frein, je sais que vous trépignez d’impatience.

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Le Jean-Jacques Goldman (47)

sac en jean

✔ Hey ! Si vous rêvez de posséder un sac en jean, façon 70’s, marguerite au coin de la bouche et sandales de babos aux pieds (c’est possible, vous êtes peut-être la réincarnation de John Lennon), et bien voilà la solution, grâce à Jeannette !
Késako ? Un concept créé par deux amies, fans de mode et de déco, qui donnent une nouvelle vie aux vieux jeans et les transforment en sacs et accessoires pour la maison. On envoie ses vieux jeans (propres), ceux qu’on n’aime plus trop mais dont on a néanmoins du mal à se séparer, pour les retrouver transformés en un produit unique.

Chaque patchwork est composé à la main par leurs soins. Par l’assemblage des pièces et Des couleurs qui le composent, chaque produit est donc complètement original.

A la commande, on choisit la doublure en tissu qui nous plaît (Liberty, Wax…) et la couleur du passepoil fluo qui habille les coutures. 175€ pour le grand cabas ok c’est pas donné, mais c’est quand même pas con Léon !
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