Lido Paris : Mon truc en plumes…

 

La semaine dernière, j’ai eu la chance d’être invitée dans les coulisses du Lido (« C’est assez exceptionnel » a dit le Directeur, donc je mesure cette bonne fortune) et d’enquiller, ensuite, sur la revue.

Ça faisait des semaines que j’attendais ce moment ; surtout le volet « Backstage » que j’imaginais plein de plumes et de bombasses en petites culottes, riant aux éclats dans des loges en velours rouge capitonné. J’étais aussi fébrile et excitée que lors de ma visite des coulisses de l’Opéra Garnier.

Je n’étais pas si loin de la réalité, et j’ai passé une soirée magique, du début à la fin.

Des répétitions sur scène des Bluebell Girls et de Manon, la chanteuse de la revue, et demi-finaliste de The Voice en 2014, en passant par le ballet des serveurs dressant les tables jusqu’aux loges des filles – adorables – nous avouant se maquiller exclusivement avec des produits Make Up Forever, on en prend plein les mirettes. Et on apprend quelques secrets en coulisse…
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Stéphane Chapelle, fleuriste à Paris

Vous ne trouvez pas que le bouquet de fleurs s’est sacrément démocratisé, vous ? Ne soyez pas sottes, je ne veux pas dire par là que le bouquet de 15 roses est passé sous la barre des deux balles.

Non, en fait j’ai juste l’impression que les fleurs ne sont plus liées à un événement précis – un geste romantique, une envie de mettre une cartouche le soir-même, un anniversaire, une fête des mères, etc… – et que désormais, on offre, et surtout on s’offre un bouquet comme une bouteille de rosé pour l’apéro du soir.

Par exemple, moi, il y a encore quelques années, j’attendais niaisement qu’on m’en offre pour pouvoir pousser un soupir de ravissement Oooh des fleurs comme c’est charmant ; je possédais deux pauvres vases… jamais au bon format en plus.

J’étais une assistée de la fleur, une passive du bouquet, une loque de l’initiative florale. J’ai bien changé.
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Où boire l’apéro à Marseille

les aperos du panier

Hey ! Le week-end dernier, je l’ai passé dans la cité phocéenne. Et oui, quel bonheur : un week-end à Marseille !

Et comme j’ai pas mal pris l’apéro là-bas – je m’adapte très vite aux coutumes régionales -, j’ai décidé de vous parler de 3 lieux complètement différents, où on peut boire un Pastis (ou autre chose, on n’est pas bégueule) dans la joie, la sérénité et l’ivresse, un peu.

Comme je ne suis pas Marseillaise – je suis déjà Isabelle Adjani, je ne peux pas revêtir TOUS les costumes -, évidemment que cette sélection reste limitée et suggestive. Mais bon, si vous passez par là-bas et que vous errez sans but précis sur les coups de 18h, voilà de quoi occuper votre début de soirée de façon anisée.

Où boire un verre à Marseille, dans un bar sympa ?
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George Clooney à Montmartre

montmartre paris 8

La tristesse qui se dégage du regard de cette femme, contrastée par la profusion de couleurs qui explosent de sa tenue et de son mini-stand à souvenirs, et bien c’est exactement ça Montmartre. Un mélange de nostalgie et de joie à tous les coins de rue.

Bref. Dimanche il faisait beau, et avec Nounours en bandoulière, j’ai décidé de jouer les touristes en plein coeur de mon quartier.

Avec une espèce de légèreté chevillée au corps (pourtant je ne suis pas sous Xanax, je ne comprends pas d’où me vient ce bonheur soudain), on s’est même aventurés jusqu’à la place du Tertre, et dans un acte complètement punk on s’y est assis pour prendre un café.

Une grande première, parce que même si j’adore la Butte, j’évite quand même les endroits où on pigeonne sévèrement le chaland.
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Brocante à Paris – avenue Trudaine

Salut c’est Violette. C’est à dire que je devais être à Cannes, là, tout de suite, à jouer les superficielles nocturnes. Et puis je suis finalement restée à Paris pour des raisons x et y. Enfin, surtout « y » en fait.
Je peux vous dire que je ne regrette pas du tout mon week-end forcé à la capitale, les amis, mais alors pas du tout ! A l’heure où les festivaliers rentrent à leurs hôtels, l’oeil de panda en bandoulière et l’haleine chargée des vapeurs de cocktails offerts par les marques qui rincent pendant la quinzaine, moi c’est bien simple, c’est le moment où je m’éveillais gaiement.

5h du mat’ le samedi + le dimanche, y’a pas, ça te classe ton week-end direct en forçant le respect des gens. Et puis de toute façon, Cannes c’est surfait. Ouais, non. Enfin, si. Bon, merde.
Oui oui, parce que figurez-vous qu’il y avait une brocante à Paris.

Même, c’était la brocante annuelle sur mon avenue, et les jolis bruits des mecs qui gueulent en installant leurs stands remplis d’objets les plus recherchés en brocante et autres vieilleries d’époque 1992 ça se fait à 5h, et pas à un autre moment.
Je veux dire c’est vrai que ça aurait été con de ne pas profiter du making-off de l’animation annuelle du quartier, j’ai pour habitude de faire les choses à fond. J’ai vachement assuré.

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