(Ceci est une introduction)
Madame, Monsieur, Messieursdames, aujourd’hui, si tu le veux bien nous parlerons de maquillage.
Oui, j’imagine, ça te fait un choc.
Limite, on a l’impression d’être sur un blog de fille. Tu te sens floué, trompé sur la marchandise que t’as envie de cliquer sur la croix en haut à droite de ton écran de contrôle.
N’en fais rien.
N’as-tu jamais eu envie de savoir ce que l’on ressent lors de son premier smoky ? Ce fameux dépucelage de « l’oeil de gala » ?
Je m’en vais de ce pas te conter l’expérience in situ au stand Lancôme du rez-de-chaussée du Printemps de la maison, là où les effluves s’entremêlent jusqu’à te donner la gerbe, et où les vendeuses ressemblent tellement à des trucks volés, qu’on les confond aisément avec Casimir si, par malchance, elles sont en surpoids notoire.
(ce qui va suivre ne sera plus une introduction, mais le récit palpitant de l’aventure sus-annoncée avec perte et fracas*)
La suite … « Le « smoky light » de Lancôme qui tient toute la nuit »