Le sac Union Jack

L’autre jour qu’était un jour férié et que la ville dormait tellement qu’on se serait crus dans Silent Hill, j’ai eu envie d’acheter quelque chose d’inutile, parce que ça faisait quand même trop longtemps que ma CB avait pas fumé.
C’est pas ma faute, il lui faut sa dose, sinon elle me fait des crises de manque pas belles à voir, je te dis pas.

Donc, y’avait que l’Internet pour assouvir tout ça, et ma CB et moi, on a tapé Union Jack dans la petite barre de search, sur le site d’Asos.
Y’avait lui :

J’ai pas hésité trop longtemps avant de pas le prendre, le mignon, rapport que la qualité doit rudement laisser à désirer et que surtout, la mannequine est vraiment trop Pam’ dans l’attitude, et que ça vulgarise grave le sac.
Associer le gros nibard à la perfide Albion, y’a pas, c’est contre nature cette histoire.

Mais en fait, c’est pas de la blonde que je voulais causer aujourd’hui, mais de cette addiction qui est mienne depuis les histoires de Richard and Kathy, en 6ème B.
Je kiffe grave ce drapeau. Je love trop l’Union Jack. Je suis croque de lui, quoi.

Et il faudra un jour qu’on m’explique pourquoi que le tricolorisme British est so cool, alors que le même à la sauce Frenchie, ostensiblement affiché sur un tee, te vaudra des jets de cailloux et des quolibets, dans la rue.

On va pas me faire croire que c’est les diagonales qu’ont un effet trendy, je suis pas débile.

Fini.

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Damien Jean – « c’est mon rêve »

On nous promet un Cindy Sander au masculin.
Un bourdon de lumière.

Pour l’instant, je reste plantée là, fascinée par ce clip et cette choré
à faire pâlir de honte les danseurs de Kamel Ouali.

He has a dream…

 

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Les oies rient…

Ah bah putain, les copains !
C’est que c’est pas encore fini pour moi les orgies !

Non contente d’avoir explosé mon bouton de jean neige, je m’en vais dans mon Über On, continuer les joies du gavage.

Donc, tout ça pour dire que je t’avais presque oublié et que quand même, cette fois, je t’aime plus qu’hier.
Pour demain, par contre, c’est pas gagné.

Avant de revenir ici voir si j’y suis toujours et que je vous raconte des trucs passionnants sur ma mère, je vais me faire une tartine de foie gras. Je tente un record, c’est pour ça.

Y’a eu plein de poneys chez moi pour la Noël. Des faux, hein, pas des qui faut leur curer les sabots. Vous êtes d’un con, parfois…

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Lulu Castagnette recherche sa vidéo virale

LuluCastagnette, la marque où y’a toujours un nounours qui vous colle un peu au cul (mais on dit rien, car c’est mignon un nounours, tu sais) veut renforcer son positionnement auprès des jeunes femmes entre 15 et 25 ans.
C’est vous, c’est moi.
Enfin c’est moi, comme tu y vas de me rajeunir de deux ans, toi !

Bon, donc, déjà Lulu c’est une gamme de plein de trucs. Moi je croyais qu’ils faisaient que des fringues, mais je suis allée visiter leur site, avant d’écrire ce billet, et que nenni ! J’étais grave dans l’erreur. Sorry Lulu, donc.

Ah oui, c’est tout ça !
Et oui, y’a des gens qui travaillent plus que d’autres.
Après faut pas s’étonner de leur succès.
Ni être jaloux, c’est pas très beau.

Alors, en fait, l’information qu’il faut retenir, c’est que LuluCastagnette organise un concours, jusqu’au 5 février prochain, visant à créer sa prochaine vidéo virale.
C’est à dire que tu peux participer, envoyer ta vidéo et le gagnant a 7000 € dans la poche, si sa vidéo est choisie comme campagne de publicité sur tout l’Internet mondial.
Ah oui, ça c’est sûr que c’est mieux payé qu’un billet sponsorisé. Enfin, nous ne sommes pas ici pour causer d’argent. C’est d’un vulgaire, mon pauvre…

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter tous mes voeux pour cette naissance multiple. Les nuits vont être difficiles, certes, mais quelle joie de découvrir au matin, ces trois visages mutins. Non ?
Vous venez de lire un billet sponsorisé et une phrase de poésie qu’Éluard aurait beaucoup aimée s’il avait eu le temps de lire ce blog.
Après, on peut pas forcer les gens non plus.

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