Me revoilà !
Un vrai boulet, moi.
Allez, pour revenir à des choses plus légères que les étoiles au ski qui a plombé l’ambiance, continuons avec l’actu beaucoup plus funky et futile de Cyclamen (qu’est ma fille).
C’est donc pour vous informer aujourd’hui, que jeudi dernier, Cyclamen elle a changé d’école. Oui.
Oh la la ! Comment ? En cours d’année ? Crazy ! Foufou ! Call les services sociaux !
Allez-y molletonné les aminches, j’ai un alibi. Je vous explique.
Welcome dans temps X, amis du paranormal, puisque je viens d’atterrir sur un blog d’une étrangeté étrange. En apesanteur je suis restée devant le spectacle fascinant de Mark et Igor , deux losers de première catégorie qui font rien qu’à faire rien sur leur espace de l’internet, Hello Mars.
Vous me direz, ça change pas beaucoup de quand on ouvre son Netvibes le matin. Certes. Mais ici, le néant est assumé. Voyez plutôt.
Ah non, pardon, avant de plutôt voir, je vous fais fissa la genèse, parce que déjà qu’on y comprend rien, faudrait pas que les secondes passées sur ce blog soient des heures (ça ralentirait mon serveur, c’est pour ça que je dis ça).
Je trouve !
Oui, ça je trouve que ça fait longtemps qu’on a pas trop parlé de Cyclamen ici
(c’est ma fille).
Alors ça tombe pas mal que vous me parliez de cette gamine, puisqu’elle a une actualité, en ce moment. Enfin, une actualité, elle fait pas Bercy non plus, hein, mais ça bouge bien pour elle, en ce début d’automne.
Je ne vous en avais pas parlé par pudeur, car je suis quelqu’un qui a le succès plutôt effacé, mais l’année dernière, Cyclamen avait obtenu l’Ourson.
Pour la congratuler comme il se doit, on lui avait offert son premier PEL et aussi un attaché-case en croûte de cuir pour mettre ses dossiers gommettes. Un petit geste pour marquer le coup, quoi.
Bonsoir,
Ca doit sûrement être la fatigue, mais je crois bien que c’est la première fois que je chiale en apprenant le décès d’un chanteur.
Bashung is gone et ça me rappelle que mon adolescence est définitivement révolue, que le 45 Tours de « Vertige de l’amour » n’est plus en vente chez mon petit disquaire miteux, que je ne danserai plus sur « Gaby » dans des boums de cakos boutonneux en Burlington, et que là, tout de suite, je rêve d’apesanteur (pour rejoindre Calogéro, en fait).
Ses circuits étaient niqués, mais le courant, lui, passe toujours…
Afin que ce vendredi treize trop ne vous pèse, voici un concours.
Ah bon ? Ah oui, tiens, les gens sont fous.
Ainsi, alapage a grave remarqué que j’étais super littéraire à cause que je fais rien qu’à lire des Danielle Steel. Avouons-le tout de go, j’étais flattée, parce que je passe beaucoup de temps sur chacun de ses romans (je fais des fiches de lectures, c’est pour ça).
Donc, ils me disent de vous faire gagner des cadeaux, à vous autres, les lecteurs un peu ringards qui ne connaissez même pas les cupcakes (=cakes dans des cups), en répondant à cette question suivante (suspense et boule à facettes) :
