Ouais, salut toi. Comme je vous l’avais précédemment raconté dans le dernier épisode de « vis ma vie de blogueuse en promenade provinciale« , je suis en étape en campanule. Comme là-bas les soirées sont plus longues qu’un discours de JCVD dissertant sur la flore environnante (et moins drôles aussi), je me suis précipitée sur la boîte à photos surannées dans l’espoir de retrouver ce putain de cliché sur lequel on peut voir le fameux tee shirt Mickey offert par Raphaël Gendron, mon aimé du CE2.
Vous cassez pas, impossible de mettre la main sur celui auquel je pensais. Au fond de la boite aux quolibets, j’ai néanmoins pu pécho une malheureuse photo floue (Dieu que les gens étaient nuls en shooting à l’époque) que je vous colle quand même histoire de ne pas faillir à ma réputation de gonze qui tient toujours ses promesses.
Vous ne verrez pas le pailleté des oreilles, ce qui est bien dommage je vous le concède, mais admirez néanmoins toutes ces jolies fleurs qui m’entouraient. On était tellement insouciant, qu’on en aurait presque eu la main verte.