Coucou vous autres. Je clos le partenariat Caroll, riche en wedding souvenirs et en manteau peau lainée, par un jeu-concours (ouais, décembre est décidément sans surprises).
Croyez bien que je suis en larmes ; je n’étais pas prête à affronter cette séparation si brutale d’avec cette marque grâce à laquelle je passe à travers les flocons de neige l’esprit léger. Et sans frissons. Cette fois c’est sûr, on ne badine pas avec l’amour. J’aurais jamais cru que je passerais ce dernier mois en duffle-coat : comme quoi il ne faut jurer de rien…
Ce jeu-concours ? Dans la pratique, c’est très simple : il suffit de créer votre look sur le site de Caroll en faisant glisser des vêtements dans la petite fenêtre ergo-dynamique (je vous ai collé mon exemple ci-dessus pour que ce soit plus clair), de valider l’affaire, d’attendre le mail de confirmation qui dit que votre sélection n’est pas trop pérave et de copier le permalien dans un commentaire ici-même.
Ah oui, vous avez raison, c’est pas si simple…
A la fin de la semaine, genre samedi midi, je sélectionnerai mes 3 looks préférés qui gagneront chacun un bon d’achat de 50€ chez Caroll. C’est clair ? Non ? Oui, mais c’est cool.
Article sponsorisé
EDIT : LES RÉSULTATS
Donc après de longues nuits blanches à comparer vos looks, voilà les 3 gagnantes d’un bon d’achat de 50€ chez Caroll. Les gonzes, merci de m’envoyer vos coordonnées postales par email (et bravo) :
Niña – commentaire 14
Nekkonezumi – commentaire 40
Rové – commentaire 63
Si j’étais une vraie blogueuse mode, je vous aurais montré ce pull porté, immortalisé lors d’une bataille de boules de neige avec ma meilleure copine blogueuse mode, elle aussi. Seulement ça caille trop.
Si j’étais une vraie blogueuse mode, j’aurais fait des macros des espèces de pompons en laine aux couleurs si improbables que même dans Flashdance ils auraient pas osé les montrer. Oui mais comme il fait nuit à 16h25 et que je me refuse d’utiliser un flash, je préfère garder mes ISO au chaud.
J’aurais pu aussi, si j’étais une vraie blogueuse mode, immortaliser cet ovni à la manière d’une nature morte. Nonchalamment jeté sur un canapé immaculé avec en accessoire et arrière-plan flouté mon latte préféré, ma drogue. Voilà qu’au bureau on n’a que du Nespresso.
Et bien, et bien vous vous demandez en double, comment elle gère sa nouveauté capillaire la Violette ?
Les gros, j’aurais jamais pensé vous écrire un truc pareil à J+26 de mon taillage de frange, mais les faits sont là : mon quotidien coiffure est beaucoup plus simple de quand j’avais le front dégagé. Révélation.
C’est vrai que le facteur chance climatique y est pour beaucoup. C’est pas comme si l’humidité s’était installée définitivement sur l’écran HD d’Evelyne Dhéliat. Caisse de communauté (?).
Certes l’étape mini-brush’ du matin est indispensable ; vous verriez mon toupet au lever. C’est simple, on dirait la tête d’une employée de la Camif… ou mieux, d’un renne hirsute tombé du traîneau.
Ce folklore matinal, ce bal des épis, cette anarchie capillaire provoquent l’hilarité de Cyclamen qui y va de ses petites piques assassines. La vengeance est un plat qui se mange froid ; un jour je lui ferai remarquer qu’elle pue drôlement de la gueule au réveil.
Les copains, je suis dans un état de fatigue, j’aurais jamais imaginé ça. Je n’arrive plus à lâcher prise, et quand je lâche sur un malentendu, j’ai l’impression qu’un bernard-l’hermite a pris possession de mon esprit. Je dis ça, mais j’ai même pas vérifié sur Wikileaks la vitesse sociétale de cet animal étrange. Si ça se trouve il est aussi vif qu’un 103 SP (les boules).
Introduction laconique et télécommandée qui n’a aucun (mais vraiment aucun) rapport avec le micro-sujet du jour : l’ouverture de la boutique HEMA à Paris dont je suis allée à l’inauguration (c’est pas français, mais Bernard est en moi j’ai dit)(et Bernard est naze en grammaire).
C’est une proposition totalement décente, mais exclusivement féminine, que j’ai à vous faire aujourd’hui. Dans les faits c’est carrément un chouette cadeau pré-ripailles qu’offre la marque Gérard Darel à mézigue et à l’une d’entre vous.
La vérité, vous avez du cul de passer par ici pendant vos pauses Kinder. Exit le présent en plastique ripou tout droit sorti de l’oeuf ; welcome la soirée starlette. Ne criez pas, je t’explique.
Donc pour les fêtes, le pull de Marilyn Monroe dans « Le Milliardaire »avec lequel je faisais la débile il y a quelques semaines, (je sais même plus où coller des virgules tant mes phrases sont d’une longueur à faire pâlir de jalousie Marcel Proust) sort en laine beige et se pare de fils dorés. Surtout en édition limitée à 300 exemplaires et uniquement vendu sur le e-shop de Darel à partir d’aujourd’hui.