Le mal aux seins

Amies filles de l’Internet, je viens vers vous pour demander des conseils avisés pour apaiser les souffrances qui sont miennes depuis quelques mois déjà. En effet, je souffre d’un syndrome pré-menstruel qu’on pourrait aisément renommer de mi-mensuel (le syndrome) puisque voilà : J’AI UN PUTAIN DE MAL AUX SEINS. Ouille, ouche, aïe (ne rien cocher, chaque mention est utile).

Vous arguerez sûrement que je suis bien chochotte de me plaindre de ces petits désagréments qui sont le lot mensuel de nous autres, le sexe faible, mais c’est que ça dure 15 jours dans le mois cette affaire ! Imaginez qu’en février il y  aura donc plus de jours où J’AI UN PUTAIN DE MAL AUX SEINS que de jours où je n’ai pas mal aux seins.

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Nounouille aux amériques

Bonjour à tout le monde mes admirateurs du internet, c’est Brian qui vous parle.
C’étais pour vous dire que je suis obliger de faire une pause dans l’écriture de mon roman (j’en suit au chapitre 1 auquel je suis plutot fier) car je écrouler par les larmes.
On pleure, on pleure beaucout avec Nadège car Nounouille est partie ce soir sur un cou de tete pour holliwood où qu’elle dit qu’elle veut réussir comme Dona de Beverli Hills. Elle pense que comme c’est une grosse chatte rousse, et bien elle est atipique et que les américains sont friands au fromage (?!) de ce genre de phisique, en amérique des état unis.

Avec Nadège, comme on ait ses parents, on a essayer de la dissuadé, mais depuis qu’elle a fait son pierre sing au nombril, on ne la maitrise plus du tout dans sa crise d’adolessence ! Donc, elle a prit un vol direct qu’elle a gagner dans un paquet de lentilles où faudrait collecter des point pour partir aux amériques, et comme elle mange des lentille depuis qu’elle est né, et bien elle avait beaucoup de point Nounouille !
Et nous, on savez pas qu’elle avait autant de point. Ah ça, on ne surveille jamais assez les grosses chatoune !

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Au Kube

Bonjour mes minous. Sachez que mon éternelle insatisfaction en matière de brunchs parisiens a été récemment bousculée, puisque j’ai découvert celui du Kube, hôtel designo-branché super rive droite (aka la Chapelle – ouille).
C’est pas que je sois si difficile (ah si tu trouves ?), mais ça fait 15 ans que j’écume la bruncherie de la capitale sans réel coup de cœur, malgré les 25/30€ dépensés pour de la viennoiserie sans âme et l’éternel saumon fumé jeté sur ses œufs brouillés ratés façon micro-morceaux d’omelette (oui, tu as raison, je suis difficile).

Bon okay, pour les besoins narratifs j’exagère aux entournures, mais écoutez plutôt l’histoire. A la base le brunch-buffet, c’est souvent no way : ça me fait saigner le cœur de m’imaginer dans un voyage Fram. Et puis, bon, j’ai dit sus à la snoberie outrancière, courrons vers cette terre promise désignée par beaucoup comme l’une des meilleures places pour un dimanche chill-out.

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La figurine de la Reine Elizabeth

Continuons l’inventaire du petit musée des horreurs désormais hébergé gracieusement par mon logis. Si vous le voulez bien.
Après Paillette Poupée et Mireille (ma chouchoute), c’est avec une joie non dissimulée que nous avons accueilli une nouvelle pensionnaire nommée Elisabeth Soleil. Oui, une figurine reine Elizabeth !
Pourquoi ce patronyme pour le moins curieux se demanderont les moins loquaces d’entre vous ? C’est simple, tu vas voir.

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Auschwitz-Birkenau

Je suis déjà lol d’avance d’imaginer vos doigts hésitant à cliquer sur le lien de cet article si loin des billets où le consumérisme décérébré est à son paroxysme.
Je me suis dit que j’allais profiter de cette chance qui est la mienne d’avoir quelques lecteurs assez éloignés des préoccupations moderie des stars online de l’habillement.

Alors, parce que nous somme sûrement la dernière génération directement concernée grâce aux récits de grands-parents qui ont vécu cette histoire-là du XXème siècle ; parce que, parfois, c’est bien aussi de passer en coup de vent sur l’internet pour faire autre chose que d’essayer de gagner un shampoing à 6€, je vous invite à prendre 10 secondes sur votre pause dej, votre rdv manucure, votre shopping de dernière démarque, votre 5 à 7… pour cliquer sur le « j’aime » de cette fan page et de signer symboliquement cet engagement à maintenir le devoir de mémoire en le partageant sur votre wall Facebook (Comment ça késako un wall Facebook ? T’as redoublé ton réseau social ?).

« Une seule chose peut être pire qu’Auschwitz… si le monde oublie qu’un tel endroit a existé. » Henry Appel, survivant d’Auschwitz

I pledge. And you ?

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Mais où sont passées les gazelles ?

Il y a des gonzesses qui ont des patronymes à devenir star ; des patronymes où c’est clair qu’elles ne passeront jamais au rayon jambon de Leclerc. Et pourtant. Comme quoi l’erreur est humaine même pour les gens nés influenceurs (genre moi), car Lizzy Mercier Descloux a commis le péché commun à bon nombre de gens de la chanson 80’s : le tube unique

En 1984, Lizzy demandait où étaient passées les gazelles. Fichtre, je n’en savais trop rien à l’époque. Je portais des Stan Smith. Et surtout je ne me posais pas trop de questions, à part de savoir quand j’allais ENFIN rouler ma première pelle. Disons que la question de la survie des animaux des steppes, sérieux, j’étais pas concernée (alors qu’aujourd’hui vachement, je cotise tous les mois à « Antilopes magazine »).

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