Fille unique

Les amis du Internet, je suis fatiguée. Vous me direz c’est pas comme si ça changeait vraiment sauf qu’en ce moment je fais très attention à mon temps de sommeil, je mange plutôt correct (pas plus de 3 entrecôtes par jour) et j’essaie d’en branler le moins possible au travail. Oui mais voilà, je suis fatiguée.

L’autre fois, je lisais un livre intellectuel de 30 pages où ça disait que la comédienne Catherine Zeta-Jones avait fait une dépression à force de devoir prendre sur elle à cause de son pauvre mari malade (machin Douglas – oui, Michael c’est ça) et que maintenant que tout allait bien, bah elle avait craqué la pauvrette. « C’est con ça quand même« , je me suis dit.

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Swedish Hasbeens, le confort

J’espère que vous allez bien, lecteurs des blogs de l’affluence. Moi je suis perplexe.
Alors bon, l’autre fois qu’il pleuvait lors d’un week-end à Lisbonne, je suis entrée dans un H&M portugais pour acheter un parapluie car on est jamais trop prévoyant. Et puis j’ai oublié le pépin en voyant la montagne de Swedish Hasbeens qui trônaient là, tellement que les portugaises ont l’air de pas aimer du tout cette marque. De là à dire qu’il y a une xénophobie anti-pays d’ABBA il n’y a qu’un pas, mais quand même. C’était ahurissant.

Je suis sûre que j’aurais même pû en trouver en pointure 49, alors qu’en France il paraît qu’elles sont sold out, comme on dit en langage imagé de la mode. « C’est vous dire ».
Ni une, ni deux (ni même trois, « c’est vous dire »), voilà que j’embarquais une paire rouge en 39 dans ma valise, me disant que si c’était aussi prisé en France, je serais sûrement pas trop à côté de la fiche tendance de la saison. En plus, j’avais l’impression qu’elles me criaient take a chance on me, alors j’ai eu le coeur gros et je n’ai point résisté.
C’est qu’on est faible dès qu’on entend les lyrics d’une chanson digne de l’Eurovision. Bref.

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Jean-louis me fais la gueule

Bonjoure a tout mes fans de Brian, c’est moi Brian.
Je ne sait pas si vous vous souvener que je parlais l’autre jour de mon copain jean-claude J4 qui avais dessiner mon maillot de créateur avec nounouille sur la bite ? Et bien comme c’est mon meilleure ami et que il a féter son anniverssaire au buffalo grille samedi soir j’ai voulue marqué le coup car il a eu beaucoup d’ennuie de santé récement car il a des ognons au pieds a cause de ses escarpins en nubuque, mais bref.
Donc, je lui est acheté ces magnifique sous-verre, mais depuis que j’y ai donné et bien il ne m’adresse plus la parole.
Si ça se trouve, il avais déjà des dessous de verre.

Brian

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Skinny boyfriend Levis sur Brandalley

Je me lève et je vous bouscule un peu, mais c’est pour la bonne cause fashion.
Ce matin, sur Brandalley, les Skinny boyfriend Levis sont à moitié prix. Courez-y !

La vente Levis c’est donc par ici

Et si vous ajoutez le code « Tendance » à votre commande, y’aura une réduction de -10€ en plus de tout ce bonheur.

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Comment personnaliser ses baskets Adidas ?

Quand tu personnalises ta chaussure sportive, sur le site d’Adidas, je vous dis pas les atermoiements que ça provoque. « Et si je collais des oeillets fluos », « ah non tiens on va foutre du lacet en organza (?) », « dis donc c’est pas mal le violet électrique en façade avant ! », « puis merde je finirai demain », « le jaune ça va bien avec le vert amande ? » Bref, on est pas rendus, en somme.

Et puis, arrive le moment où on prend conscience qu’on est pas du tout designer de confession. Et on fait simple. Enfin simple du color block néanmoins, ce n’est pas parce qu’on est au rayon sportif que l’on doit oublier son éducation modeuse 2.0, acquise à la force des partenariats… (en vrai, elles sont roses, je comprends pas ce qui se passe avec ce putain de diaphragme)

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Week-end à Lisbonne en amoureux : mes bonnes adresses

C’est toujours moi, les copains. Me revoilà avec la suite de mon séjour à Lisbonne.

Bref, j’ai vraiment beaucoup aimé cette ville, même si je l’ai parcourue un parapluie à la main la moitié du temps et qu’une cité du sud sous la pluie, c’est quand même une grosse hérésie qui devrait être punie par 100 coups de fouet de Catherine Laborde. Oh oui, fouettez-nous Sainte Catherine…

Alors, Lisbonne séduit donc dès le premier coup d’oeil. Mais c’est aussi une ville « facile », beaucoup plus que Madrid la rivale mystérieuse. Sitôt débarqués du grand oiseau métallique, le dépaysement est bien là ; murs pastels, collines et tramways font le reste.

Comme je ne suis pas très douée en radioguidage touristique, je ne saurais que trop vous conseiller de balancer guides et autres Routards dans le Tage, et de muser le nez au vent à travers la ville. Chaque quartier cache sa pépite, des drôles d’endroits où se mélangent vrais gens et touristes, car oui, Lisbonne est une ville très touristique (surtout à Pâques – paye ta chrétienté).

Surtout, pensez à vous chausser confort ! On marche beaucoup à Libonne ; j’ai ramené des courbatures au cul en souvenir.

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