Yo ! L’autre fois, au détour d’un article sur mon sweat tigre Sandro, je vous racontais que j’étais en train de lire – et de découvrir – Delphine de Vigan, via son dernier livre « Rien ne s’oppose à la nuit« .
Depuis, l’encre a bien coulé sous les ponts de mes veillées littéraires, puisque je l’ai terminé une nuit, vers 2h du mat’, et que la fin particulièrement anxiogène m’a tenue éveillée jusqu’au petit matin.
Je crois que ce bouquin doit réveiller chez chacun de nous bon nombre de névroses bien cachées, de désillusions, de tristesses enfouies depuis longtemps, de ressentiments jamais exprimés… Bref, la vie (la vraie, pas celle où nos headbands sont sponsorisés par Monshowroom.com).
Pas rancunière pour deux sous suite à cette nuit blanche, et grâce à vos recommandations sous le billet mode et superficiel de l’autre jour, j’ai enquillé avec deux autres livres de Delphine de Vigan : « Jours sans faim » et « Les heures souterraines« .