Le Jean-Jacques Goldman (100)

plante en papier 7

✔ Si j’étais manuelle (enfin, j’ai quand même fabriqué une lampe french vikings je vous ferais dire), je me précipiterais sur ce DIY lumineux pour confectionner des plantes en papier. Terminée la malédiction de la main verte, n’est-ce point ?

C’est sur The Apple of my DIY qu’on trouve tous ces tutos botaniques et c’est ainsi qu’aux fleuristes, on fera bien la nique !

Bon. Oui, je sais, c’est le n°100 du JJG, mais je garde mon sang froid (difficilement, j’avoue).

Mais, allez, pour me faire plaisir, parce qu’ici on aime bien jouer avec les mots : aucune obligation, mais pour celles qui le souhaitent si vous arrivez à me glisser quelques paroles d’une chanson de JJ dans votre commentaire du jour ça me mettrait réellement en joie. Quelle pression dans les bars, hein.
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L’Appartement Sézane, la V2

mug baci sezane

Le saviez-vous ? (INTERRO SURPRISE !)

L’Appartement Sézane, lancé à l’automne dernier, s’est refait une GROSSE beauté. Sa réouverture c’est aujourd’hui ; je ne suis pas loin de penser que c’est la plus jolie boutique de Paris et l’ambiance très « Au bonheur des Dames » n’est pas qu’une vue de l’esprit, croyez-moi !

Oh ! Mais pourquoi tant d’éloges Violette.

Et bien déjà parce que le lieu a doublé en surface – double dose de beauté boisée, donc. Et qu’on y trouve désormais, en plus des sapes désirables,  une énorme sélection de papeterie jolie, de déco, de linge de maison (avec une sélection du concept-store Bolognais Borgo Delle Tovaglie), de vaisselle… et même une sélection food.

Une autre dinguerie se cache au sous-sol de l’Appartement : une petite salle de cinéma privée très cosy où, sur simple inscription, on pourra voir cette saison une sélection des plus grands classiques italiens. MAMMA MIA (here I go again) !
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Saturday morning fever

brandy melville

J’ai bien vu que vous trépigniez d’impatience à l’idée que je vous raconte ma virée shopping de samedi avec Cyclamen (ouais, OUAIS !). Ne bougez pas.

En fait, la journée a commencé chez Michel – mon coiffeur paysagiste – car, révolution, Madame avait soudainement envie d’un carré aux épaules. Quand j’ai entendu ça j’ai dû me raccrocher aux branches ; ça fait environ 3 ans qu’elle gueule comme un putois dès que j’envisage l’éventualité d’épointer d’environ 5 mm, mais croyez bien que je me suis grouillée de prendre un rendez-vous avant qu’elle ne change d’avis.

Les perturbations hormonales à cet âge font souvent faire les montagnes russes sur l’échelle des humeurs et des postulats (et puis ça prendra moins de temps pour faire le Pouxit SURTOUT)(la vérité, ça dure jusqu’au Master les lentes ou quoi ?). Ça commence à vous gratter, je le sens.

En arrivant chez Michel, elle demande si elle peut avoir un brushing. Je réponds t’es sûre ? Vu que t’as entraînement de gym l’aprèm tu vas transpirer, ça va gâcher (et aussi c’est 15 balles en plus). Oui, oui, t’inquiète.
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Cherchez le(s) garçon(s)

boots sezane

Quand on a fait ces photos vendredi dernier avec Caro, je sortais tout juste de chez la dentiste (vous y croyez que je connais désormais son digicode par coeur ?), parce qu’il m’arrive peu ou prou la même chose qu’en janvier dernier, mais en un peu moins grave quand même.

Depuis 3 mois, je suis dans une spirale dentaire telle que quand l’amoureux m’embrasse, il arrive qu’il me sorte « Ça va mon clou de girofle ? » (quel humour)

Comme d’habitude, j’ai pris sur moi pendant que Caro jouait les Richard Avedon du blogging. On est professionnelle ou pas, n’est-ce pas.

Ensuite, même si je ne pouvais manger que du côté droit (je porte à gauche de la molaire, on en apprend tous les jours !), on a décidé d’aller se remettre de nos émotions en allant déjeuner, bras dessus bras dessous. Car si j’avais la mâchoire engourdie, le reste de mon corps restait parfaitement articulé.
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Le retour de l’agenda papier

agenda

Grosse prise de conscience, les gars : je suis vintage.

Depuis des années, j’avais laissé tomber l’agenda papier pour consigner tous mes rendez-vous et anniversaires dans mon Iphone. Las, je ne m’y retrouvais plus.

La pire situation étant invariablement quand tu es au téléphone avec quelqu’un et que tu dois dire « attendez, je regarde dans mon agenda, je zappe d’écran, merde j’ai raccroché sans faire exprès, allo c’est moi à nouveau, oui la cruche c’est bien ça, donc on a qu’à dire tel jour je crois que je n’ai rien, je raccroche et je vérifie, ah si j’ai un truc, allo c’est re-la cruche, en fait si j’ai un truc ah ah ah quelle étourdie je fais bla bla bla… » ÉPUISANT.

Ça faisait un moment que ça me démangeait, de renaître avec le classique Moleskine.

C’est chose faite depuis deux jours, et je suis comme l’oiseau tombé du nid (avec un peu plus de cheveux, quand même)(et un moins gros bec)(quoique…), comme une fraîche écolière qui recopie sagement ses prochains rendez-vous dans son livret noir flambant neuf.
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Restaurant Haï Kaï Paris, mon avis

hai kai quai de jemmapes

Oh. Une nouvelle adresse de resto qui va ravir celles qui n’habitent pas à Paris (je suis la boule de cristal).
Bon. En fait, ça fait quelques années que je suis complètement désabusée du néobistrot, de la bistronomie & co. Et je n’étais pas loin de penser que c’était de l’imposture tous ces plats avec de l’écume de bouillon – je schématise pour les besoins narratifs, mais l’idée est bien là.

J’ai testé pas mal d’adresses du genre dans la capitale sans jamais sortir repue de ces dernières (je ne suis pas goinfre mais il y a quand même un minimum syndical, à moins d’aller chez un double ou triple étoilé), ni même un brin enchantée, mais toujours un peu en bad, avec la nette impression d’avoir assisté à un petit ballet de fumisterie.

Mardi, j’ai déjeuné chez Haï Kaï, le néobistrot d’Amélie Darvas, qui a fait ses classes au Bristol, au Meurice et chez Hélène Darroze, et ça m’a réconciliée peut-être pas à jamais mais au moins pendant un bon bout de temps avec cette espèce de cuisine branchée : je me suis littéralement régalée.
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