Intervilles

 

Quelqu’un dans l’assistance lectorale est-il en mesure de confirmer avoir vu une fois dans sa vie Charles Trenet Nationale 7, et lui avoir fait coucou derrière la vitre de la Porsche familiale ?
Évidemment qu’il n’y a personne et c’est tant mieux rapport que les embouteillages ne sont pas le sujet principal de ce billet.

Donc, chers gens un peu étranges, je voulais vous causer que hier, j’ai mis une robe longue, genre à carreaux qui fait un peu Far West dans le look like (enfin plus Madonna dans « Don’t tell me » que Joanne Dru dans « La rivière rouge »). Vous voyez, quoi…
Pas que j’aime ça la robe longue, dans l’absolu, rapport que même bien gaulée, tu fais sac, mais bon c’est mode. Donc, on porte. Point. (Sinon, un vilain tamanoir vient nous prendre, nous emmène dans son terrier et nous mange. Parfois il est de bon ton de faire des sacrifices modesques)

Enfin bref, disais-je, donc hier je porte une affreuse robe et là mon compte-joint me sort :

« Tu ressembles à un santon !« 

J’y réponds que ça tombe bien rapport à la Provence, tout ça, mais que quand même je suis intriguée par cette comparaison peu flatteuse que je prends assez bien toutefois (vous noterez que je ne suis pas susceptible lors de mes congés payés).

Et là, comme le compte-joint n’y connaît queud’ en moderies, j’ai eu un éclair de génie et j’y beugle :
« Mais que nenni je suis un santon ! Tu confonds tout ! Tu veux dire que je ressemble à une poupée régionale qu’est dans sa boite en plastique cylindrique au fond d’une vitrine magique (en province) !« 

« C’est exactement ça !« , qu’il a confirmé, « Tu es merveilleuse (comme santon)« 

La prochaine fois, dans SBEP, je ressemblerai à une bouteille d’Orangina au niveau du cul à cause d’une orgie de tapenade.

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OTAN, suspends ton vol !

Salut les Bee Gees !

C’est juste pour dire que je suis partie en vacances.
Encore ?
Oui.

(D’ici là, arrêtez de vous ronger les ongles des pieds)

C’est tout.

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Ils ont des chapeaux ronds

Salut les hérissons agoraphobes, aujourd’hui je suis dans une merde noire.
« Qué merde noire ?« , vous vous angoissez.

Attends.

Le week-end dernier, donc, j’ai pris le TGV vers Saint-Malo pour l’occasion d’un mariage. Je m’étais dit tiens donc, je vais mitrailler du chapeau du Prix de l’Arc de Triomphe pour leur faire un joli reportage tout coloré, au lectorat si exigeant.
Tu aurais vu un dégradé de trucs comme ça :

Que nenni ! De la chapeautée, tu ne verras point.

(suspense)

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Djerba La Fidèle : Sea, sex and sex

Aujourd’hui, on va clôturer la narration sur les vacances à Djerba, parce que ça va bien comme ça, on va pas y passer la pré-retraite.
Oui mais en beauté, qu’on va clôturer.
Amen.

La règle au Club Med, c’est qu’on fait tout pour que tout le monde se mélange et s’amuse trop bien.
Par exemple, quand tu dînes, t’as toujours un, deux, voire trois inconnus à ta table. Ce qui permet de créer des liens. Ou pas. Parfois, ça peut tourner au dîner de con.
Je vous laisse deviner l’option choisie par votre serviteuse.
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Djerba La Fidèle : Vulgarité ambiante et jeu des sosies

Salut les pédérastes Homériens, aujourd’hui on va causer que c’est pas toujours mortel classe au Club Med et aussi que j’ai un TOC, dans la vie, et plus particulièrement en vacances.
Je joue aux sosies.
Me jette pas la brique dans la face, tout le monde fait ça.

Késako le jeu des sosies ?
Ben, t’es con, toi, on regarde un gens et on dit « Tiens, lui il ressemble à untel qu’est connu« . C’est tout couillon, en fait. Pas besoin d’un Bac +15, mais faut avoir le coup d’oeil néanmoins pour pas qu’un sosie t’échappe.
C’est super vexant, tu sais, un sosie qui s’échappe.
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Séjour à Djerba La Fidèle

Salut les collants à plumetis !

En général, tous les gens qui sont jamais allés au Club Med disent que c’est naze.
Et des fois, ceux qui y séjournent aussi.
Aujourd’hui, on aura le cul entre deux chaises, une fois n’est pas coutume.

Le Club Med et moi, c’est un long roman rapport que ça a commencé très tôt que mes parents m’y traînaient de force à la pré-adolescence. Mais toujours dans les plus chers. Ceux où y’a des vieux. Ceux où on s’emmerdent.
Ceux où ça baise moyen, en gros. Voire pas.
Bien, donc, ayant pris mon envol face au joug tutélaire depuis quelques années déjà, j’y suis retournée plusieurs fois. En couple (chiant) ou avec du pote (beaucoup plus drôle).
Donc, c’est devenu une institution que régulièrement on se fait la semaine au Club Med, que vacances j’oublie tout et qu’on fait tourner les serviettes de plage (contrefaçon Dior ou Gucci, marchandée à Vintimille, de préférence).
Le snobisme, on te le laisse à l’aéroport et on prend un bain de gens normaux.
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