Je sais plus quand, il a fait beau pendant 2 heures. L’occasion de me ruer sur la robe et les sandales, de sentir le souffle chaud du vent sur mon visage, d’esquisser deux pas de Carioca – youpi -, de siroter un mojito. Chaleur.
Ma partner in shooting crime était là. Elle m’a dit tu n’as jamais été aussi belle que ce matin tu sais, j’ai cru qu’elle allait m’embrasser (elle supporte difficilement l’alcool quand il fait plus de 25° en extérieur, déjà à l’ile Maurice elle m’avait collé la honte avec un malaise vagal après deux apéros tropicaux), et puis elle s’est ressaisie en regardant mes mollets d’un air circonspect.
Tout le charme s’est rompu instantanément. L’amour dure 3 minutes by the way.
J’ai enfilé mon trench sur ma petite robe so Vanessa Bruno de la posture et j’ai posé sur mon visage un sourire crispé, en attendant que le too much love running through my veins s’en aille voir là-bas si j’y suis. J’y étais.
La suite … « (trop de) références musicales »