Le sac cabas Vanessa Bruno en lin et paillettes rose

Au pays des paillettes, je demande toute la famille. Après les ballerines paillettes de l’autre fois – je suis Peau d’âne – je continue ma collection de glitter en tous genres avec ce cabas en lin gansé de rose fluo.

Au début je me disais que j’allais l’utiliser en sac de plage, mais très vite j’ai réalisé que les tâches d’huile solaire allaient le dézinguer plus que le diktat de « la dédramatisation » ne nous l’autorise.
Après, j’ai dit qu’il serait parfait en sac de tous les jours quand il fera beau. Le problème c’est qu’il ne fera jamais beau (ON VA TOUS MOURIR).

Et puis, j’ai pensé que comme il était froissé de naissance (le lin, ce coquin) on pourrait peut-être s’en servir de joli sac à linge sale, non ? Non en fait, on ne met pas des vieilles chaussettes humides dans un sac de princesse – même froissé – qui coûte presque 200 boules.

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Basic Instinct : vêtements, mes basiques

En fait j’ai décidé de créer une nouvelle rubrique (WAHOU), que je tiendrais sûrement deux jours, mais ne me cassez pas mes rêves (c’est fragile, un rêve, tu sais).

Alors, le but de cette rubrique, c’est de vous montrer les pièces cultes de ma penderie – fringues, chaussures, que sais-je – c’est à dire celles que j’affectionne plus que de raison et qui fonctionnent un peu comme des doudous les matins de grand doutage du look. Voyez ?

Cette rubrique va s’appeler Basic Instinct (WAHOU) parce que, bon, ce sont mes basiques à moi, et l’instinct c’est parce que c’est toujours bon de se rappeler que Sharon Stone a fait un bon film une fois dans sa vie.

Et puis c’est toujours intéressant de montrer comme nous, les filles, on entasse on entasse on entasse dans le dressing histoire de se concocter une belle réassurance, mais que, pour de vrai, on porte souvent les mêmes trucs qui datent de Mathusalem (c’est ma mère qui emploie souvent cette expression, moi je ne sais pas trop ce que ça veut dire j’étais nulle en maths).

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Le plastique, c’est fantastique !

Comme je dis toujours, « On n’a jamais trop de fantaisie autour du cou, sinon à quoi bon s’étrangler ». C’est forte de cette maxime que je suis entrée l’autre jour chez H&M – je cherchais des culottes pour Cyclamen – et que je suis ressortie avec des barrettes et ce collier en plastique orange assez improbable quand on pense deux minutes à mon goût pour les choses simples et finalement sans saveur.

Je me dis que j’arriverais bien à le porter un soir d’été, sur un débardeur blanc, accoudée à une mauresque. Au pire, il est assorti à ma boite à bijoux originale.
Quant aux culottes de Cyclamen, c’est là que ça devient plus problématique.

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Méthode Coué

On aurait dit qu’il ferait beau, qu’on aurait jeté nos chaussettes et qu’on aurait viré le gros sweat avec le tee-shirt manches longues du dessous. Tant qu’on y est, on aurait dit aussi que Liliane Bettencourt se serait prise d’affection pour moi et que plus jamais de ma vie je n’aurais besoin de rédiger des billets sponsorisés pour pouvoir manger/partir en vacances dans des 5*.
Toute cette pensée positive me rendrait presque heureuse (on aurait dit que je n’aurais pas de sinusite).

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Hi, ces hauts !

Hey salut. Voilà, j’ai deux nouveaux hauts (enfin tops si vous aimez mieux parler comme dans Jalouse) et j’en profite pour introduire cette maxime qui dit que un truc cher + un truc pas cher ça annule les remords.

Je ne m’éternise pas sur le top Claudie Pierlot qui est canon-point-barre, mais permettez que je m’arrête un peu sur ce formidable  chamboulement comportemental (l’appel aux urnes me rend fiévreuse) : je suis entrée chez Jennyfer (!!?%). Et mieux ! Je suis entrée chez Jennyfer ET j’ai acheté ce top/débardeur résille écru. Prends garde à toi Isabel Marant ; notre peuple vaincra !

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Coeur grenadine – Patricia Blanchet

Trouver que les coeurs sur les i, les licornes et les cupcakes c’est cucul ascendant la praline je veux bien. Mais quand le symbole de l’amour atterrit sur nos chaussures ce n’est jamais gnangnan. On dit juste vivement le printemps.

Sandales Marie Glaude Patricia Blanchet 

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