Who’s bag

Salut les citrons. Je sais bien qu’il faut pas être pressé avec moi quand je vous promets monts et merveilles. Vous conviendrez néanmoins que je tiens (quasi) toujours mes promesses et que donc, voilà l’heure où je vous montre enfin la fameuse veste YSL portée. Et tant que j’y étais (rationalisation oblige), je vous ai collé mon sac MJ qui méritait bien plus d’honneurs que le vilain flouté infligé dernièrement par le truchement de mon Iphone.

Pour ce qui est des références de toutes les moderies que je vous impose aujourd’hui, vous m’excuserez, mais je ne suis pas La Redoute. Et aussi j’ai un peu la flemme. Je suis en train de faire une tarte au foie.

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Paris au mois d’aout c’est l’enfer ! C’est vide !

Les aminches, l’avantage de partir en vacances en juillet c’est… Ah ouais, t’as raison, y’en a pas beaucoup. C’est même carrément l’enfer, la damnation que de se retrouver dans la capitale, élue ville morte depuis le 31 juillet dernier. C’est que je suis tellement speed de l’attitude que l’apathie générale ne me va pas au teint. La preuve, je débronze plus vite qu’une blogueuse validant son panier sur asos. Euphémisme.
Et puis, surtout, j’accumule les emmerdes :

Déjà, j’ai un gros problème de conscience professionnelle, un dilemme de blogueuse arrosée en quelque sorte. Je vous explique. J’ai reçu tellement de produits solaires en cadeau que j’aurais pu easily crémer la plage entière de La Baule si j’avais eu le courage. Et l’envie de me baigner dans une eau à 18°c. Les jours de fêtes.

Sauf qu’une des crèmes d’une grande marque cosméto m’a donnée la désagréable impression de me tartiner à la pâte à cul durant toutes mes vacances au Maroc. Tu sais, c’est comme le truc qu’on met sur les fesses irritées des bébés ? Voilà celle-là ! T’as beau étaler comme une guedin, t’as le look geisha quoique tu fasses.  Y’a pas, t’as gros la classe quand tu sors de l’eau avec la Tipex allure. C’est pas encore cette fois que j’ai joué les Ursula Andress. Fuck.

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La bague mini oui Dior

J’ai une nouvelle bague.

Alors que dans un temps pas si lointain, j’arborais sans relâche ma Chaumet, assez grosse de l’attitude, (mon joli cadeau de fausse-couche de 2002) j’ai passé ces deux dernières années sans bague aucune aux doigts. Sûrement qu’un analyste me prescrirait 18 séances à 120 boules pour que je découvre la signification de cette brusque mise à nue de la joaillerie, mais là j’ai pas trop le temps de chercher. Et j’ai jamais fini mon Freud illustré depuis le jour où que j’avais découvert Danielle Steel.

Il n’en reste pas moins que les bagues et moi on a jamais été très copines, au grand dam de ma génitrice qui voudrait tant que je m’embagouze à l’aide de mes héritages divers et variés. Jusqu’à l’écoeurement diamantaire… De toute façon, quand les gens meurent dans ma famille, j’ai toujours préféré le cash. Au moins je peux tout dépenser chez Maje.

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Let’s make love

Marilyn et Montand dans Le Millionnaire, c’était surtout l’histoire de Simone Signoret un peu cocue aux entournures. Mais aussi celle du pull-over torsadé porté à même les collants par la blonde peroxydée. Hot quoi. Faut dire que le film n’étant pas un chef d’oeuvre, fallait bien s’entourer d’histoires parallèles, devenues des mythes, pour que George Cukor s’en sorte financièrement.

Bref, Gérard Darel a remporté aux enchères chez Christie’s en 1999 ce légendaire pull en laine torsadée blanc cassé, dans lequel Marilyn aimait se pelotonner en gobant ses anxiolytiques (thèse officielle). Et même si la vision d’un pull irlandais m’a toujours donné envie de me gratter jusqu’au sang, je dois bien reconnaître que celui-là incarne à mes yeux le paroxysme de la sexytude.

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Coques en stock

Bon, les gros, on a un problème. Je ne sais pas si vous avez noté cette tendance complètement délirante de nous coller de la coque sur sous-vêtements et maillots depuis 2 ans, avec apogée cet été ? Parce que moi oui.
J’avoue que j’interloque durement du phénomène, si attachée à mes triangles sans armatures aucune que je suis. Voilà que la déferlante de coques en mousse envahit chaque jour un peu plus toutes les boutiques que j’affectionnais jusque là. Putain, mais même Princesse Tam-Tam s’y met, quoi.

Voyez qu’une fois n’est pas coutume, je n’exagère même pas un peu pour les besoins narratifs et que si vous ne me croyez pas, allez donc faire un tour chez H&M. De la coque plein les stocks tu trouveras, le joli soutif triangle tu oublieras. Désespérance.

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La photo floue du sac Marc Jacobs

Les gros, je suis super épuisée par Brian en ce moment. Depuis qu’il a épousé une nouvelle vocation de gigolo, y’a la brigade des moeurs qui n’arrête pas d’appeler à la maison, car il ne déclare pas ses revenus à l’Urssaf. En même temps, s’il était bon en maths, je l’aurais su.
J’ai beau lui expliquer que gigolo, c’est comme blogueuse influente, c’est pas un métier très secure ni très gloriole. Las, il ne veut rien entendre. Je crois qu’il est cougar depuis toujours, en définitive.

Enfin, bref, il fera ce qu’il veut mais il n’en reste pas moins qu’il est drôlement généreux, mon Brian, puisqu’avec son premier « cachet » d’homme de compagnie, il m’a offert le sac Marc Jacobs que je bavais devant depuis avril (tu te souviens ?). Certes, il était soldé, mais c’est l’intention qui compte j’ai dit à Brian en l’embrassant sur la bouche.

Je crois que je suis jalouse de toutes ces vieilles femmes qu’il touche toute la journée, en fait.

☞ Je sais que ça parle beaucoup Mode cette semaine, mais c’est à cause de ma micro-allergie de l’intérieur du poignet. J’ai comme l’impression que mon stylo-plume est le grand coupable, dans cette histoire.

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