GIVE ME THE NIGHT

Cheerleader du dimanche

Wesh les gros. Ce week-end, j’étais en semi-campanule afin d’aider une amie chère à franchir le cap du méchant passage à la dizaine supérieure. J’ai essayé de faire de mon mieux, malgré mon aversion pour les mathématiques.

Comme d’habitude, j’étais pas la dernière à faire la zinzin ; surtout dimanche matin quand j’ai enfourché mes bidules blancs de cheerleader afin de faire rire les amis dans un fantastique spectacle de marionnettes (je suis le boute-en-train).

Nounours, toujours au taquet quand il s’agit d’imiter Richard Avedon, s’est chargé d’immortaliser la scène dans une délicate photo au flou artistico-raté (il est fort ce Nounours !).

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(presque) Jackpot au casino

L’autre jour en week end à Venise, on est passés rapidement au casino avec Nounours. Bah, c’est pire que d’essayer d’entrer à Rikers Island là bas.

En arrivant tu donnes ta carte d’identité, puis la dame te demande de faire coucou à une petite caméra, ensuite elle te donne un ticket avec un code barre et enfin, tu donnes le ticket à une autre dame sise à l’entrée de la salle des jeux qui le scanne et là, ta trombine photographiée 5 minutes avant apparaît sur l’écran de contrôle.

C’est comme ça que j’ai découvert avec effroi que j’avais de la salade romaine coincée entre deux incisives (le comble quand on est en Vénitie).

Autour des tables de jeux, il n’y avait que des sexagénaires vénitiens qui jouaient leurs retraites. C’était pas trop funky alors j’ai dit à Nounours que j’allais foutre deux ou trois pièces dans la salle des machines. Le seul bandit manchot disponible crachait des pièces de 25 cts et j’ai pensé « c’est pas demain la veille que t’iras crécher à l’année au Château Marmont« .

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JUST FOR LOVE : Invitations

Bien. J’ai fini mes histoires de comment réussir une quiche et d’éléphant bleu.

Je vous laisse profiter maintenant de 14 VRAIS humoristes (Jérôme Commandeur, Elie Semoun, Claudia Tagbo…), lors du spectacle « Just For Love » placé cette année sous le signe de Cupidon. Il sera diffusé en direct sur Comédie + le 24 septembre, pour ceux qui regardent le poste.
Pour ceux qui n’aiment pas le poste et qui préfèrent la rigolade in situ et en grand, j’ai la possibilité d’offrir 2 x 2 places pour la soirée du 24 septembre, au Zénith de Paris.

Signalez-vous dans les commentaires : les deux premiers remportent la soirée de l’amour (je suis le blog concours).

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Skateboard culture : exposition de skates à Paris

Poster un article sur une expo un dimanche de juillet relève du suicide blogosphérique. Comme j’aime bien les émotions un peu fortes, je me suis dit que cette opération kamikaze était faite pour moi.
Bon et puis j’ai réfléchi. La culture du skateboard à la Gaîté Lyrique ça me parait quand même beaucoup plus « niche » que la sortie d’un nouveau shampoing. Alors je vais vous parler de cet incident complètement fou, survenu hier après-midi alors que je déambulais à la coule au milieu des planches de skate.

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Daniel Darc : Perdu, le garçon…

Ca va toi ? Oui, moi aussi merci.
Lundi soir, je suis allée au Palace parce qu’une de mes idoles de jeunesse s’y produisait. Je l’avoue, je le confesse, j’ai été un peu déçue du voyage. Comme je sais que Daniel Darc c’est pas un patronyme qui vous dit grand chose (j’entends par rapport à des noms communs comme Sandro, par exemple), je vous rafraîchis la coupe ? Oh non, tiens, je vous rafraîchis la mémoire, j’ai peur de rater votre dégradé.

Donc Daniel, c’était le chanteur de Taxi Girl, un groupe de rock français des 80’s. Dans mon walkman mauve-grisé, j’écoutais en boucle « P.A.R.I.S. » et aussi « Cherchez le garçon » et j’avais l’impression d’être hipster. Enfin hipster de l’époque : je portais un jean neige…
Voilà, vous voyez sûrement de quoi je cause maintenant. Surtout qu’un des autres membres de Taxi Girl c’était Mirwais, celui qu’a produit le fabuleux « Music » de Madonna en 2000.

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Nouvel an : Embrassez-vous sous le Guy Lux…

Quand l’autre fois ma copine Azzed (celle qui a une veste un peu pupute) m’a dit « Viens, on va faire un réveillon chez moi mais qui fera pas vraiment réveillon sinon on est des ploucs« , j’ai répondu un vague oui un peu blasé.
J’ai quand même demandé si je pouvais incruster Michal et Elodie Frégé qui n’ont plus trop d’amis en ce moment. Elle a répondu oui mais qu’elle avait pas besoin de l’orange vu qu’elle possédait déjà 3 kg de clémentines en stock…

Et puis le 31, au beau milieu de l’après-midi, voilà qu’elle nous lança un défi complètement saugrenu.
« Et si on s’achetait des tutus ?!« , elle a dit, l’air malicieux.
« Mais carrément, achetons des tutus !« , j’ai répondu, déjà emballée par l’idée de dépenser de l’argent jusqu’aux dernière heures de l’année 2010.

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