Mon avis : Épilation laser demi jambes

Comme je vous ai bien senti(e)s à bloc sur l’épopée de ma lasérisation du bulbe pileux, que vous n’êtes qu’avides de propos rapport à mes dépenses incongrues qui n’ont pour seul but que de satisfaire mon narcissisme exacerbé, je vous livre le débrief de ma seconde séance de torture, qui n’en fût pas une d’ailleurs.

Déjà, moi je dis que ça la fout mal : je quitte le bureau à 11h40 prétextant un examen radiologique hyper important que si je le fais pas vous aurez ma mort prochaine sur la conscience, à quoi mon boss répond « pas de problème Violette », sur un air las…

Faut dire que j’arrive rarement avant 10 h au bureau, que le temps de me faire un expresso, de dire hello à tout le monde, de faire admirer ma nouvelle tenue du jour, de checker mes mails persos, de glander sur la blogosphère, de me mettre à mon courrier administratif en retard, il est déjà 11h30 bien tapées, z’imaginez le haut rendement, même si je bosse hyper vite cauz’ je suis dotée d’un QI exceptionnel.

Bref, j’arrive au centre de lasérisation et là, on m’annonce que le Docteur H. est malade et que c’est le Docteur S. qui va s’occuper de moi.

Alors là, comment vous dire, le Docteur S. ressemble à mort à Meg Ryan en brune, mais juste au niveau des lèvres en fait, c’est à dire qu’on n’a même plus affaire à un vulgaire Colvert, mais on s’attaque direct à toute la famille des Anatidés, mais quand même sans les doigts palmés, faut pas déconner non plus.

Donc le Docteur S. me demande si ça s’est bien passé la dernière fois avec le Docteur H. (et là je sens qu’elle a vachement envie de débiner sa collègue) et je répond « oui, mais bon j’ai eu super mal quand même alors que je suis vachement forte« .

Là elle regarde mon dossier et me sort, d’un air mesquin « C’est normal elle a utilisé des paramètres très élevés, on va faire moins fort, le but ce n’est pas que vous souffriez« .

Ne me demandez pas ce que sont les « paramètres », je n’ai pas fait de thèse es bulbe, juste un pauvre mémoire sur les Ministres de la Vème République face à l’autorité judiciaire, qui me renvoie tous les jours au fait que j’ai vraiment fait des études qui ne servent à rien.

Bref, je n’ai pas eu mal du tout, juste des picotements, mais je vous rappelle que je suis forte, donc on a fait la causette pendant une heure avec le docteur S., dans une petite pièce sentant le poulet grillé, c’était charmant !

Elle m’a raconté un truc de malade en plus, je vous fais la discussion en live, sinon ce serait moins sympa.

Docteur S. : Vous savez qu’un jour, j’ai fait le « grand maillot » à une jeune fille de 15 ans, c’était sa mère qui lui offrait ça pour son anniversaire. Et ben figurez-vous que la mère m’a rappelée le soir en hurlant que j’avais brûle sa fille, que c’était une honte, bla bla

Moi : Ah bon ? Ya des mères qui offre ça à des gamines de 15 ans mais c’est du délire !

Docteur S. : Ah non, pas du tout, moi je l’ai fait à ma fille de 14 ans l’été dernier, ainsi que les aisselles, comme ça, c’est fait, parce que les aisselles, avouez que c’est quand même vital ! (sic)

Moi : Euh… oui c’est clair (j’ai été nulle, minable, zéro, je sais, mais je vais pas la contredire alors qu’elle tient le destin de mes demi jambes entre ses mains)

Là, j’ai compris qu’il y avait quand même un fossé immense entre ma vie, si décadente soit-elle, et celle du Docteur S.

Donc, à la fin, elle m’a tartiné de Biafine, ça a englué mon jean quand je l’ai enfilé, (juste imaginez le carnage dans lequel je baignais en rentrant au bureau) et m’a dit que oui, je pouvais prendre des gélules solaires, mais qu’il faudrait les arrêter 15 jours avant de se revoir.

Délestée d’1/4 de smic je suis rentrée au bureau, où j’ai fait semblant de bosser tout l’aprèm, même carrément plus semblant à la fin, et ben croyez-moi si vous voudrez, mais je ne suis allée qu’une seule fois aux toilettes des filles remettre de la Biafine, par acquis de conscience, becauz’ ça ne me brûlait même pas !!!

Conclusion 1 : Le Docteur H. est une connasse, d’autant plus que le Docteur S. m’a dit que 5 séances suffisait !

Conclusion 2 : Vu l’état de mes demi-jambes au jour d’aujourd’hui, je pense que je ne pourrais coucher avec personne avant quelques semaines, à part dans le noir le plus complet et/ou avec un vieux copain très compréhensif.

Question à toi lecteur/lectrice : Comme, je le rappelle, le soleil et le laser ne font pas bon ménage, faut-il :
1) Que je nique mon week-end très prochain à Barcelone, que je reste sous un parasol, une large capeline noire sur la tête pendant que mes potes vont s’éclater sur la plage ? Juste pour que je puisse refaire une séance fin mai ?

2) Que je dise « fuck » au laser, vive les ultraviolets, bye Docteurs H. & S., « see you en Septembre les filles » ?

Je suis perdue….

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Épilation au laser des demi-jambes : mon avis

Amis lecteurs, vous êtes, of course les Bienvenus ; je demande juste à mes ex-amants de bien vouloir fermer les yeux sur ce qui va suivre, d’occulter ce pan obscur de ma vie, sous peine de voir ma glamouritude attaquée de plein fouet à tout jamais et que je pense que je vais avoir du mal à redorer mon blason après tout ce qui va être dit sur le bulbe pileux ci-après. Ça c’est fait.

Donc, oui j’ai sauté le pas en Février, j’ai tenté l’épilation au laser pour les demi-jambes chez le docteur H., ma généraliste en qui j’ai toute confiance depuis que j’ai vu dépasser de la poche de sa blouse blanche, un paquet de Marlboro Light. En effet, à qui confier ses poils sereinement si ce n’est à quelqu’un d’humain, qui possède les mêmes faiblesses que vous… Ne vous méprenez-pas sur ma pilosité, hein ?

C’est juste qu’à un moment de ma vie, j’en ai eu un peu ras le bol de jongler entre les repousses de poils jamais coordonnées et les rendez-vous à l’arrache chez la Sultane de Saba, célèbre institut de Bôôté de Paris, où ça coûte le double que dans un institut lambda, mais t’as un thé à la menthe offert gracieusement quand t’arrives donc t’as l’impression d’être Isabelle Adjani tous les jours (enfin avant quand elle avait 25 ans pour de vrai).

Le docteur H. me donne toutes les infos, du genre ça coûte 250 € la séance et faut compter 8 séances. « Ah ouais quand même » j’ai dit. « Ben oui », elle a répondu. J’ai vite fait un rapide calcul dans ma tête en me disant que si j’en faisais 6 au lieu de 8 (becauz’ le Docteur H. cherche toujours à arnaquer un peu ses clientes qu’elle croit toutes friquées vu que son cab’ est à l’Etoile), ça allait me coûter 1 500 €, soit 6,25 années d’épilations chez la Sultane , donc ça valait vachement le coup (sic). Donc, le docteur H. me donne rendez-vous un samedi matin de février, pour m’alléger de 250 € et pour me torturer (sauf que le blé j’étais prête, la torture, un peu moins), elle me colle des lunettes genre que tu mets pour faire des UV et me dit « on y va ? ça picote un peu hein ! »

Autant vous dire que je ne suis pas une mauviette à la base, mais qu’au bout de 30 secondes, je lui ai dit quand même « Euh, Docteur H. je pense que ça ne va pas être possible là… » « Vous voulez faire une pause ? » « Oui si tu n’arrêtes pas tout de suite, je t’arrache les globes oculaires avec mes stilettos grande malade ». Voilà, donc, oui, ça fait super mal, je ne veux pas vous mentir. Après tu passes tout l’aprè’m à te mettre des couches de Biafine de 15 cm d’épaisseur sur les jambes à peu près toutes les 10 minutes, MAIS, 7 semaines après y’avait tellement pas de repousse que j’ai appelé le Docteur H. pour lui dire : « Dites, Docteur c’est pas normal, ça repousse pas, faudrait voir à annuler le 2è RDV, non ? » « Mais c’est un peu le but que ça ne repousse pas » me répond t’elle… (pas con en même temps le Docteur H.)

J’ai rendez-vous jeudi midi pour la 2ème séance de torture (10 semaines après the first one), sauf que j’ai pas réfléchis qu’après je dois retourner au bureau et que je vais devoir aller me biafiner aux toilettes des filles toutes les 10 mn et que donc vaudra mieux pas que je choisisse un skinny ce jour-là, sinon mon boss va croire que j’ai pris mon aprèm’…

Bon, je déconne, mais en vrai, je suis bluffée par le résultat et je crois bien que le Docteur H., ben c’est moi qui vais bien la niquer becauz je vais même pas en faire 6 de ses séances de tortures à ¼ du smic.

NDA : je vous prierais juste de ne pas copier la jolie photo qui illustre ce billet, car ce sont les jambes d’un collègue de bureau que vous pouvez apercevoir, et je ne suis pas sûre qu’il apprécie de voir sa pilosité pillée par des nuées de filles, fétichistes de surcroît. Merci pour lui.

NDA 2 : Si certaines d’entre vous ont des infos sur la suite des évènements, je suis preneuse. Pour une fois, et oui, Violette admet sa fragile connaissance de la chaîne de destruction massive du bulbe pileux.

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Message perso à ma coiffeuse…

Ma coiffeuse, non franchement t’as déconné hier avec mon brushing.
Ok, quand je suis sortie de ton « salon » (même si ça ressemble plus à un appartement témoin), je ressemblais à Madonna en brune, que même que t’as voulu me prendre avec ton numérique pour attirer le client en mettant mon joli visage en devanture et que je t’ai dit « enfin, vous n’y pensez pas, grande folle, hihihi »…

Mais crois-moi, aujourd’hui, ça ne ressemble plus à rien, je fais plus Liz Hurley sortant de boîte Londonienne complètement pétée au bras d’Elton, si tu vois le concept ?

Alors, ouais, tu ne me fais pas payer (très) cher pour Paris et tu m’adores, mais là faudrait voir à rectifier le tir.
Alors, je ne te jette pas la pierre, hein, peut être c’est de ma faute, j’ai trop fait la folle hier soir devant le plasma, mais dis-donc voir, j’étais pas non plus en night-club jusqu’à plus d’heure par 50° que tellement t’es serré que tu ressembles à une éponge.

C’est juste que comme tonight je dîne avec mon amie A. et qu’elle possède, par nature, la chevelure de Daryl Hannah, période « Splash », sans jamais y toucher, ben comment te dire, j’ai un peu les boules hein, je t’avoue Madonna, ça l’aurait bien fait…

Enfin, si t’es jalouse et que tu essaies de me griller, sache, jeune insolente, que je possède d’autres atouts que ma sombre chevelure et que je ne t’ai pas attendue, connasse, pour me faire draguer, brushing ou pas !!!

(Bon, excusez-moi, ça fait du bien, parfois, de ne pas se laisser faire par les commerçants de quartier. Voyez, on les laisse exister, on délaisse les grandes surfaces, et voilà comme ils nous remercient ces ingrats)

J’ai bien fait de la remettre à sa place, non ?

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La problématique du lavage de cheveux

Depuis toujours, je suis la risée de mes copines quand je leur explique comment je me lave les cheveux.
Parce que, oui, depuis que j’ai l’âge de laver ma somptueuse crinière toute seule, je n’arrive pas à combiner douche + lavage de cheveux.

Je vous explique le problème.
Mes ablutions se font toujours en deux temps : 1) je prends ma douche 2) je me sèche et je lave mes cheveux la tête penchée en avant au dessus de la baignoire.
La seule variante dans cette donnée est que le 1) et le 2) peuvent évidemment s’inverser, mais jamais au grand jamais fusionner.

Je sais que je perds un temps monstrueux, mais j’ai toujours eu les cheveux longs (sauf quand ma mère avait fait un test « jean Seberg » quand j’étais en 6ème et que tout le monde m’avait rejetée à l’école pendant 2 trimestres entiers et que j’ai tellement pleuré qu’elle s’en veut encore la pauvre, mais j’ai pardonné…) et donc je déteste quand le shampoing dégouline dans mon dos, ça me donne des frissons de dégoût total.

Puis comme je suis une maniaque du shampoo+post shampoo+soin, le temps que j’applique tout ça, j’ai super froid vu que je suis toujours à poil dans ma douche (vous me suivez ?), donc je me dépêche et mon nettoyage capillaire se trouve être bâclé !

J’aimerais donc savoir si ce rituel névrotique est partagé par certaines d’entre vous ou si vraiment je suis complètement brindezingue ?! Évidemment, je ne vous conseille pas de vous laver les cheveux à l’eau minérale même si, chez vous, votre eau est très calcaire !

Grandes ablutions : un rituel sacré pour l’hygiène et la sérénité

Alors, après avoir parlé lavage de cheveux et techniques pour éviter de finir avec un nid de paille sur la tête, passons à un sujet tout aussi important : les grandes ablutions. Vous savez, ce n’est pas juste une histoire de propreté, c’est un véritable rituel sacré dans la tradition islamique. Le gousl, c’est un peu comme offrir une cure thermale à son corps et à son âme après certains événements de la vie quotidienne comme les menstruations ou les rapports intimes. C’est fascinant de voir comment une simple routine de purification peut se transformer en un vrai moment de paix intérieure.

Il est naturel de se demander comment faire ses grandes ablutions pour femme tant que l’on n’a pas été informée sur la question. Ce rituel commence par une intention sincère de se purifier, puis on passe au lavage méthodique des mains, de la bouche et du nez. Ensuite, c’est le grand plongeon : une douche complète, mais pas n’importe comment ! Chaque partie du corps est lavée dans un ordre précis. Non seulement ça vous laisse une sensation de pureté, mais ça peut aussi devenir une sorte de méditation où chaque geste a une signification profonde. Bref, une pratique qui allie l’utile à l’agréable, tout en respectant les traditions.

Ablutions et soins capillaires : des rituels distincts, mais complémentaires

Alors, passons aux choses sérieuses. Comparer nos petits rituels de soins capillaires à celui des grandes ablutions, c’est un peu comme opposer un masque capillaire maison à un spa de luxe. D’un côté, on bichonne nos cheveux avec des produits high-tech, des astuces de grand-mère et beaucoup de patience. De l’autre, les grandes ablutions en Islam suivent un processus précis et sacré pour purifier le corps et l’esprit. Elles ne se contentent pas de nettoyer la peau, elles apportent une vraie paix intérieure.

Ce rituel spirituel peut sembler très différent de nos routines de soins capillaires, mais ils partagent un but commun : se sentir bien dans sa peau. Tandis que l’on choisit nos produits capillaires avec soin pour maintenir une chevelure éclatante, les grandes ablutions permettent de se reconnecter à soi-même et à sa foi. Cette pratique met en lumière l’importance de prendre soin de son corps et de son esprit, et offre une pause bienvenue dans notre quotidien souvent stressant. Pour explorer davantage cette tradition et ses bienfaits, n’hésitez pas à vous rendre sur des sites qui en parlent en détail. Vous découvrirez une manière unique de combiner purification et sérénité intérieure !

Non, ce n’est pas moi sur l’image qui accompagne ce billet, mais je dois reconnaître que cette jeune personne a copié allègrement ma coupe sans que je lui donne mon autorisation express.
Comme je suis magnanime, je ne lui en veux pas, c’est toujours agréable d’être un « modèle » pour les ptites jeunes…

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Mon fond de teint

Je me suis mise très tard au fond de teint, vers 25 ans je crois.

J’ai toujours eu une sorte de fascination/répulsion envers ces femmes croisées dans la rue ou le métro, avec le visage orangé et le cou tout blanc, les pores complètement asphyxiées par ce plâtre souvent trop foncé par rapport à leur carnation.

En plus, je me disais que cette chose-là avait l’air trop complexe à appliquer pour que ce soit nickel. Dans les magazines, ils disaient qu’il fallait l’appliquer à l’éponge et je n’ai jamais été très douée pour les arts plastiques.

Un lundi, dans mon ELLE, un échantillon du « superbalanced make up » de Clinique (teinte Vanilla 02),était gracieusement offert à nous, lectrices.

J’ai pris mon courage à deux mains et je l’ai essayé !

Je l’ai bien appliqué avec les mains, l’étirant le plus possible vers les tempes, le front et le cou, et le résultat était démentiel : une peau de top modèle non retouchée par Photoshop.

Depuis, je l’ai adopté et on s’entend super bien lui et moi.

Avant la découverte du fond de teint, j’ai mis pendant des années uniquement de la poudre sur ma crème de jour.

Ben, en fait, c’était plutôt moche quand j’y repense, ça faisait parfois des paquets à divers endroits de mon visage, vraiment pas glop.

Je devais être complètement miro pour sortir comme ça dans la rue certains matins !

Ca me fait penser à la photo que j’ai retrouvé dernièrement, où je pose tout sourire à côté d’un ancien Premier Ministre pas vraiment populaire et où je ressemble à Casimir, tellement je suis orange.

C’était l’époque où le Point Soleil de la rue Caulaincourt n’avait aucun secret pour moi ; j’étais devenue UV-addict !

Néanmoins, n’allez pas croire que je suis le genre de fille à m’incruster dans les « Politic Parties » pour squatter les buffets. Nannnn !!!

J’avais juste été invitée ce jour-là à une remise de Légion d’honneur à Matignon.

J’aurais bien sûr pu pipoter en vous racontant que j’avais été la compagne d’un Ministre… Quoique… Je ne suis pas sûre que ce soit une si bonne chose que ça, vu qu’on est obligée de démissionner de son job maintenant (cf. Marie Drucker / François Baroin)

Et j’ai pas envie de quitter ma boite !

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Le contour des yeux expliqué aux nulles

Un soir où j’étais restée dormir chez une copine, on s’est démaquillées ensemble et à la fin de ce rituel chiant il faut l’avouer, mais indispensable si on ne veut pas prendre 10 ans dans la gueule à long terme, elle a appliqué un contour des yeux.

Elle m’a expliqué que « c’était vachement important à nos âges, et que je devrais en mettre aussi ».

Là, j’ai eu une grosse prise de confiance, ça a mûri dans ma tête quelques jours, puis je suis allée au Printemps demander des échantillons chez Clinique et chez Caudalie.

D’abord, chez Clinique, la vendeuse, l’air excédé, m’a annoncé qu’ils n’en avaient plus. C’est clair qu’elle a cru avoir affaire à une « echantillons-addict ».
Tant pis pour elle, de toute façon, depuis, j’ai réussi à en avoir des échantillons, ben leur contour des yeux, il est naze, na na nère.

Bref, je me dirige vers le corner Caudalie.

Là j’ai eu droit à un vrai cours de « posage de contour des yeux » (20 minutes quand même) par une femme charmante qui m’a annoncé dès le départ quelle était conseillère beauté depuis 25 ans et qu’elle connaissait son métier.

Alors, tenez-vous bien, il ne faut pas appliquer le contour des yeux trop près du contour de l’oeil (je sais ça parait stupide, mais c’était une professionnelle la dame…), car sinon on a les yeux tous gonflés et ça ne marche pas, mais au contraire il faut l’appliquer au niveau de l’os en haut de la pommette.

En gros il faut l’appliquer dans un cercle très large par rapport à l’oeil, et surtout en mettre une infime quantité, sinon ça congestionne l’oeil, et on se retrouve avec des yeux de crapauds (toujours selon la dame conseillère-beauté depuis 25 ans)

Forte de ses conseils, je suis repartie avec des échantillons jusqu’à la nuit des temps ; ça fait 3 semaines que je l’utilise matin et soir et j’ai moins de cernes le matin, ça c’est sûr, mais pour les micro rides c’est pas flagrant.

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