Il y a deux sortes de week-ends idéaux quand je reste à Paris : ceux remplis à craquer d’activités, rencontres, dîners, fêtes et calembredaines et ceux totalement vides de toute vie sociale. Je n’ai jamais aimé les choses du « milieu », je suis le tout ou le rien.
J’entends que c’est pénible de devoir quitter son pyjama/jogging pour une petite course de 30 minutes à peine à l’autre bout de la capitale. En gros, je suis la glande ou l’hyperactivité ; le concept du pyjama/jogging enfilé-retiré-enfilé-retiré me fait hyperventiler.
Il paraît que je suis chiante.