The Floors, rue Myrha

En voilà un titre qu’il est énigmatique que, peut être, tu te dis, songeur ou songeuse.
Tu vas le comprendre, tout s’explique et se dénoue tel un roman d’Agatha, sans Mort sur la Seine, rapport que la scène se passe dans le XVIIIème Arrondissement et que la Seine, ben, elle pas tout près cette conne.
Bref.
Donc.

La semaine dernière, je suis allée dîner au Floors, avec des amis.
Pourquoi là et pas ailleurs ? Tu es bien curieux, dis donc.
Et bien, déjà, paraîtrait que c’est un des endroits où qu’il faut aller pour en être en ce moment.
Et dans un deuxième temps, rapport que j’ai eu pendant un moment plein de requêtes google qui atterrissaient ici grâce à « floors rue myrha« . Tu penses bien que je ne pouvais pas rater une si belle occasion de le foutre dans le titre d’un billet et que donc, fallait que je teste.

Je sais bien que c’est odieux de vouloir créer du trafic à toute blinde comme ça, et qu’on doit bloguer pour le plaisir, comme le soulignait très justement Herbert Léonard.
Je vais pas rappeler que je suis vendue à longueur de temps.

Alors, tout de suite, on va se débarrasser des contingences culinaires, pour pouvoir élever le débat, un peu plus loin.
Tout de go, là, j’ai envie de te dire, aucun intérêt le resto.
Le truc ça veut faire genre design parce qu’ils ont relooké une ancienne imprimerie sur 3 étages et que donc, ils ont l’impression qu’on va se croire à New York.
En gros, tu bouffes un Cheeseburger, pis tu te tais, quoi.

Je sais pas, ça doit faire kiffer le Parisien d’aller s’encanailler vers le quartier de la Goutte d’Or, c’est genre opération commando de la junk food, j’ai pris des risques, je suis trop fort !
Sauf que non. Tu vois pas de sang sur des lames de rasoirs en sortant.

Sinon, l’histoire dont j’aimerais te causer, c’est que j’ai roulé une pelle à une Star (enfin, sur la joue, mais c’est pareil).
Laisse-moi te conter fleurette et après tu jugeras sur pièce.

Tu vois pas qu’à un moment, y’a un de mes amis, TF, dont je t’ai déjà parlé dans un vieux billet, qui déboule dans ce resto avec un de ses potes et qu’ils prennent place à la table collée à la nôtre. Y’en a qu’ont pas de manières, je te jure, c’est insensé !
Du coup, c’est drôle, la situation.
Donc, pour détendre l’atmosphère, tout le monde rit.
Jaune.
Bref.

Alors, en fait, tout le monde se met à causer ; le Cheeseburger, y’a pas à dire, ça te détend une atmosphère en moins de deux.
Pis, moi je discute avec le pote de TF. Même qu’à un moment, mon amie A. me fait un aparté et me dit « Tu es encore en train de faire ton regard irrésistibeule, comme dirait Stéphanie dans la version Anglaise de Comme un Ouragan »
Je lui réponds de pas être jalouse, mais que par contre chapeau bas pour les références musicales de haut niveau.

Donc, on parle. Le mec il dit qu’il est musicien. Il déconne sur les intermittents, tout ça. On rit. C’est la fête. Je me dis qu’il doit galérer avec sa pov’ page myspace. On rit. C’est la fête. Je me dis… Bon ça va.
Sauf qu’au bout d’une heure, il dit quand même à TF que le lendemain il doit se lever tôt rapport à un concert dans une ville étrangère.
Là, j’interloque un minimum et je demande « mais t’en vis de ta musique ? »
Gêné, il réponds que oui, ça va.
Je demande le nom de son groupe, à tout hasard.
Il me donne le nom de son groupe, à tout hasard.
Ouais.

Ben je l’ai pas reconnu, en fait.
(Ouais, bon, ça va, tu vas pas m’engueuler non plus)

Juste pour dire que le mec il a pas le melon. C’est la conclusion. Rapport qu’il aurait pu se la raconter grave pour emballer.
Je lui ai quand même roulé une pelle, pour le principe, mais ça m’a gêné. Donc, finalement, j’ai préféré lui claquer la bise en partant.

Juste après son achat d’un paquet de Pim’s Orange dans une station service ouverte à pas d’heure.

Moi j’aime bien les Pim’s.
Pour être totalement honnête, je préfère quand même les Finger au chocolat noir. Mais tu les trouves pas toujours, dans le rayon. Donc t’es frustré avec ceux au chocolat au lait (les normaux, quoi). Et c’est comme ça que toutes les rancoeurs et frustrations s’accumulent et que parfois, t’en arrive à bouffer des Pim’s.

Pffft, ouais, je sais. Mais si je te raconte tout ça c’est pour que tu montres un peu plus de tolérance à l’égard des humains, parfois, quand ils sont excédés. Y’a de vrais drames qui se nouent, là, tout près, et toi tu vois rien.
Je te jure, ça m’écoeure.
Ça doit être le chocolat au lait…

Le Floors
100, rue Myrha
75018 ParisEDIT de 15h02 : Tu vois pas que je viens de recevoir ça au bureau :
(Y’a des gens, ils sont complètement barrés)

 

 

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Du pourquoi de la désexualisation de Barbie

Lors d’une récente soirée avec des amies, je me suis livrée à une confidence honteuse. Tu sais le genre de truc d’où tu sais pas comment c’est arrivé dans la discussion, mais que juste après tu regrettes rapport que les gens te regardent un peu interloqués et se disent que finalement, t’as toujours été un peu barrée, sauf qu’en fait, eux aussi, donc tout va bien et tu reprends un verre de Chablis, car tu l’as bien mérité.

Bref.
J’ai avoué que, petite fille, je coupais les seins de mes poupées Barbie.
Ouais.
Je sais ce que tu es en train de penser.

Comme susnarré plus haut, y’a eu un petit blanc. Un truc est passé. Ange ou assimilé.

Ensuite, là, maintenant, histoire de te faire fuir, je pourrais te donner une vague explication analytique, histoire de me justifier.
Ce que je vais faire.
En gros, si ça te branche, tu te pencheras sur le développement du « surmoi » dans la psychanalyse Freudienne.
Là, je t’avoue, j’ai la flemme, et j’ai lu Freud y’a trop longtemps pour te délivrer ici le concept de façon claire et précise.
Par contre, laisse moi te dire quand même que couper les nichons de Barbie c’est pas complètement idiot.
Rapport qu’on dit partout que la formation de l’idéal repose sur des identifications qui commencent très tôt.
Et, parallèlement à chaque identification, advient une désexualisation.
Donc, je suis normale.

Ensuite, à la fin de cette soirée « confessions intimes », les langues se sont déliées.
T’as une fille qui avoue « ouais, ben moi, c’est bizarre, je leur rasais les cheveux »
Là, pour me faire oublier, je me suis sentie obligée de sortir un « peut être, elles avaient couché avec les Allemands »
Je sais, c’est pas brillant, mais je suis plus drôle quand je suis sobre, tu m’excuseras.

Finalement, tu te rends compte que quand t’es môme t’es encore plus cintré qu’adulte, parce que y’a une autre fille qu’a ajouté un truc dément.
Elle a argumenté que elle, oui Madame, ben elle avait jamais perdu une seule chaussure de Barbie !
Quand tu sais toute le shoesing qu’elle se trimballe (Barbie, pas ma copine), ben je dis que ça relevait de l’exploit cette histoire et que ça montre une méticulosité précoce que je dis juste chapeau bas et révérence.

Dans un premier temps, tu peux aisément conclure que j’ai des discussions passionnantes, d’une façon générale.
(en fait, il n’y aura pas de deuxième temps, je me suis avancée un peu vite, confuses et autres formules de politesse d’usage)

Pourquoi je te cause de ça qu’on s’en tamponne en réalité ?
Ben, déjà, c’est le billet merdique du week-end. Tu vois pas que j’avais failli l’oublier lui !
Et surtout, aujourd’hui, l’histoire s’est répétée rapport que Cyclamen est arrivée vers moi en tirant sa poupée Charlotte aux Fraises par les cheveux, une paire de ciseaux à la main, et qu’elle m’a sorti un « je veux y couper les cheveux »
J’ai interrogé « Et pourquoi donc, chère enfant ? »
« Parce que je veux qu’elle soit un garçon » qu’elle a répondu.
No comment.

Et là, on a mis un vieux vinyle de Mylène Farmer…

Y’a quand même une grande interrogation.
Est-ce un syndrome typiquement féminin ou bien les petits garçons coupaient aussi les couilles de leurs Big Jim et on savait pas tout ça ?
De plus, m’est avis qu’ils avaient pas de couilles les Big Jim, si ?

Pffft, ouais, je sais, ça va te perturber tout le week-end ces conneries…

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Blog en grève. Il n’y a pas de raison qui tienne !

 

Aujourd’hui, j’ai décidé de faire grève du billet.
Non, non, pas par solidarité, comme à la Maternelle où va Cyclamen, où qu’ils ont décidé de faire grève aussi, juste parce que les autres la font, donc y’a pas de raison, des fois qu’ils auraient pas assez de vacances dans l’année, tu penses…
Ils sont fonctionnaires eux ou bien ? Ah oui, ils sont fonctionnaires…Donc, non, juste par flemme, histoire de sauter un billet.
T’imagines bien, que je suis pas buse au point de me casser le cul à t’écrire un truc spirituel, alors que t’as pris un RTT, prévoyant que tu es, et que donc, comme tu blogues exclusivement depuis ton lieu de travail, je vais pas gâcher. Non, je ne vais pas gâcher. Le talent ça s’économise.
Sauf qu’en fait, comme tu le vois, je suis encore en train de te mettre une tartine alors que c’est censé être vide ici.

Mais bordel, on va jamais s’en sortir de ce blog ou bien ?Dans la vraie vie, plusieurs solutions s’offrent à moi aujourd’hui, jeudi 18 octobre.

– Aller à pied au bureau. 6 stations de métro = combien en pieds l’un devant l’autre ? Aucune idée, mais c’est beaucoup trop, quoiqu’il en soit.- Le vélib’. Bon là je me gausse. Tu crois sincèrement qu’il va y avoir une seule bicyclette de free aujourd’hui ? Tu me diras, les gens, ils les posent bien, à un moment, leurs vélos ?! Ils font pas du tricycle all over the day.
Pas faux, mais ils vont pas forcément les déposer devant chez moi.
Voilà. Et là, tu ne sais plus quoi dire. Oui, on peut l’avancer, tu as l’air con avec ton argument qui tient pas la route (vélo / tenir la route / jeu de mot pourri / tout ça).

Le covoiturage. Le quoi ? J’ai pas compris.

Ne pas aller bosser. En voilà une idée qu’elle est séduisante.

Je te propose donc, que tu sois chez toi, sur ton vélib, dans les embouteillages, chez ta grand-mère en train de bouffer des financiers à la figue (très bon, j’ai testé mardi soir à une sauterie, je te conseille), au bureau comme un gros con, ou encore en train de te reposer après un rapport sexuel héroïque, de : gueuler si tu le veux, de faire des mots mêlés, de danser la Javanaise, de faire une écharpe au crochet, que séje encore, …

Mais tout ça dans les commentaires.

Ouais, j’ai bien vu, tu penses, y’a challenge en la demeure. Mais ne me déçois pas.Sinon, t’as qu’à te recoucher.

– Une pointe de culture ne fais jamais de mal : Sais-tu ce qu’est la « grève à la Japonaise » ? Non, sûrement.
Et bien, c’est quand les grévistes mécontents s’expriment par le port d’un brassard, affichant parfois leurs revendications, durant les heures de travail.

En gros, une grève qu’est chiante car ça bloque pas les transports et t’es obligé d’aller bosser. Aucun intérêt, donc !J’en profite pour remercier mes parents et mon Producteur. Et aussi mon boss, tiens !
Ha si, j’oubliais, j’ai rien à vendre sur ebay.
Pfft, ce que je peux être conne, parfois…
T’imagines si je revendais tous les cadeaux que je reçois des boîtes de buzz marketing, comment je serais trop riche ?
Non, mais pas assez en fait.
Quitte à être riche, autant être très riche, non ?

Post Scriptum : Tu chausses du combien ? Du 2 ? Non, je demande car j’ai très envie de t’offrir des souliers, en cadeau, pour tes vacances de la Toussaint qui approchent à grands pas (les vacances, pas les souliers)

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Radiohead – Nude… Pis c’est tout !

Je sais bien que tu vas dire mais qu’est-ce qui se passe Bordel, c’est pas encore la grève ou si, ayé, ça commence ?
Pourquoi qu’elle nous balance des vidéos, comme sur les blogs des geeks ou assimilés ?
Pourquoi que y’a un deuxième billet où qu’elle dit rien, à 23h30, de surcroît ?
Pourquoi que ça fait deux fois dans la semaine qu’elle nous fait chier avec du Radiohead et que, de toute façon, on aime pas regarder les vidéos sur le ouèbe 2.0, que t’as raison, moi aussi, souvent ça me fait chier.

Je te réponds rapidement, sinon je vais encore me coucher tard sans raison évidente, que tu écoutes et tu te tais.
Si t’as les nerfs qui lâchent, que tu t’es fait largué, viré, aimé, les deux, les trois, ou aucun des cinq, c’est pareil.
Si t’es sensible, limite tu vas pleurer.
Si t’es pas sensible, t’es une buse.
Si t’as pas envie de pleurer, je ne sais pas dans quelle case te foutre.
Si t’es pas sensible et que t’as quand même envie de pleurer, tu as bon.
Pour les autres cas, merci d’adresser vos réclamations par courrier électronique.

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L’hôtesse de l’air – inepties dans la High Society

 

Souvent, l’hôtesse de l’air me fait remarquer : « En tous cas, je te fais bien rigoler, hein ?« …
Elle n’a pas tort.
De là à sous-entendre qu’elle pourrait être une sorte de muse, faut quand même pas déconner. Même si on est pas loin, dans le fond.
Pour toi qui n’aurait pas encore saisi l’essence même de ce blog, sache que l’hôtesse de l’air a été avertie de la teneur du présent billet et qu’elle l’a validé.
Tu me diras, que ne ferait-elle pas pour un linkage et un peu de trafic, quitte à s’en prendre plein la gueule. Oui, que ne ferait-elle pas.– L’affaire des low boots de l’hôtesse de l’air.

Récemment, l’hôtesse de l’air a acheté des low boots chez Minelli qu’on dirait du plastique gris, un peu comme l’intérieur des sacs poubelle. De la super came, en bref.
La première chose à faire, quand on aime sincèrement l’hôtesse de l’air, c’est lui conseiller de les porter avec pantalon/jean/robe assez courte si on n’est pas gaulée comme Kate.
Rapport qu’avec une robe qui arrive au genou, ça casse la silhouette.
L’hôtesse de l’air, elle te rétorque sans vergogne, qu’au contraire, la low boot, ça allonge la plastique féminine.
??!!! Oui, bien souvent, l’hôtesse de l’air perd tout sens commun.

Il se raconte aussi, dans les milieux bien informés, que lors de l’achat des low boots, elle a été obligée de les enfiler avec un chausse-pieds. Sans, y’a pas moyen, selon elle.
Or, l’hôtesse de l’air ne possède pas de chausse-pieds au domicile conjugal.
Conclusion, l’hôtesse de l’air se sert d’un couteau pour enfiler ses low boots. (oui, je sais)
Pensant qu’elle déconnait, j’ai questionné si c’était avec un couteau à pain, ou bien ?

Très sérieuse, elle a répondu que non, un petit couteau pointu suffisait.Le problème : A la fin d’une soirée, quand l’hôtesse de l’air s’est retrouvée pieds nus pour on ne sait quelle obscure raison et qu’elle demande à son hôte s’il n’aurait pas un couteau, des fois, pour qu’elle puisse se chausser, comment garder détachement, classe et volupté ?
Le mystère reste entier.

– L’affaire des macarons Pierre Hermé.

Dans une soirée, ce qui fait marrer en premier lieu l’hôtesse de l’air, c’est la boîte de macarons en forme de couronne. Elle te la fout sur la tête, et elle t’appelle Sainte Violette.
Ouais, du grand niveau.
Après, elle ouvre la boîte et elle dit : « Wouah mais je savais pas que Pierre Hermé il faisait des macarons aussi, pour moi y’avait que Ladurée. Et dire que y’a 6 mois, je bouffais des sandwichs de la Brioche Dorée »

Le problème : La tête me tourne tellement l’éducation Parisienne de l’hôtesse de l’air est un vaste chantier, qu’à côté, tuer l’hydre de Lerne, c’est de la foutaise.

– L’affaire du paillasson volé.

Quand l’hôtesse de l’air décolle d’une soirée, elle est souvent un peu « partie », car elle ne tient pas très bien l’alcool, ceci pour une raison évidente : la dépressurisation.
Il lui arrive donc de faire quelques bêtises. Voler des trucs en l’occurrence. Sauf, qu’elle n’a plus 16 ans, l’hôtesse de l’air.
Elle s’arrête donc au premier étage d’un immeuble et détrousse une pauvre famille d’un sublime paillasson « BONJOUR ».
Je te concède, c’est la grande classe Internationale.

Le problème : Quitte à chourer, chourons chic, moi je dis.
Il y a quelques années, j’ai passé une soirée chez un Ministre en exercice. Je suis partie avec un agenda Cartier et des Louboutin. N’est pas Arsène Lupin qui veut. J’ai envie de te dire.

– L’affaire de l’erreur de conjugaison.

Quand l’hôtesse de l’air a atteint son paroxysme niveau déchaînement, son débit de paroles est tel que la migraine te guette à chaque coin de rue.
Quand elle voit un sujet intéressant, qui pourrait joliment illustrer un de ses billets sur son blog, elle hurle « Où qui sont mon appareil photo ? » (oui, je sais bis)

Le problème : Soit l’hôtesse de l’air ne possède qu’un seul appareil photo et auquel cas doit s’exclamer « Diantre, où est mon reflex argentique ? »
Soit l’hôtesse de l’air porte toujours en bandoulière 2 appareils photo (on ne cherche pas à comprendre) et doit donc demander : « Mazette, où est mon numérique ? ».

La méga conclusion de tout ça : C’est que, en fait, elle serait pas un peu touchante, quelque part, la belle plante ?
Pour répondre à cette question, je te laisse feuilleter les Rêveries du Promeneur Solitaire, de JJ Rousseau. Tu y trouveras foultitude d’informations sur la flore.

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Le Molière Imaginaire : invitations

Non, non, tu ne rêves pas tout éveillé.
Oui, oui, deux billets dans la même journée.
Je sais, ça déjante.

Je ne sais pas si tu te remémores, rapport à ta cervelle de gallinacé, mais la semaine dernière, je suis allée voir Le Molière Imaginaire.
Si, tu sais, cette pièce où un des deux acteurs principaux avait une grosse bite. Tu remets ou bien ?

Aujourd’hui, j’ai reçu un courrier électronique avec plusieurs infos :

– Benoit Solès (l’homme qui porte à droite) est l’ex-David des « Vacances de L’Amour » ( le méchant qu’on me signale dans le mail).
Ouais t’es scié.
Moi ça m’a pas trop parlé, rapport que je me suis déjà enquillé tous les « Hélène et les Garçons » et après point barre, hein !

– Si tu veux offrir des places pour que les gens jugent d’eux-mêmes (tu vois ce que je veux dire) , c’est avec plaisir, ils doivent juste envoyer leur nom et prénom à cette adresse et mettre comme sujet INVIT MOLIERE DE LA PART VIOLETTE
… qu’il dit, le mail, ensuite. Donc voilà.

Juste, tu me fais pas le plan, ouais mais bon j’habite en Province, comment qu’on fait ?
Ben tu fais rien justement, t’as qu’à pas habiter en Province.

Ne me remercie pas.
Je sais que je suis merveilleuse….

EDIT DE 20H30 : On me signale que certains sont vraiment des buses dans leurs demandes d’invitations.
Donc, il serait bien que vous écriviez, dans votre mail, la date souhaitée, pour la représentation, hein ?

Exemple : De Beauvoir Simone – X 2 – Jeudi 18 octobre
Bon, t’as noté, c’est un exemple. Si tu t’appelles pas Simone de Beauvoir, ben tu mets ton vrai nom. Et tu donnes la date qui te convient !
Tu sais que tu me tues définitivement les nerfs ?
Moi je te colle un billet tout sympa où que je me dis je vais être peinarde, ben non, en fait, t’as encore rien compris.

EDIT DE 20H31 : Et puis, sinon, c’est une pièce de théâtre. C’est pas une merde produite par AB Productions, donc tu te tiens bien, tu me fais pas honte.

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