Ha mais si.
Je suis comme ça moi. Quand je promets une rubrique, je m’y tiens.
Régulièrement.
Donc, y’avait du soulier improbable 1, du soulier improbable 2 et tu vois pas que je t’en colle un troisième, en plein mois de janvier !
Ha oui, mais n’importe quoi moi !
Avant de commencer, je dois t’avouer que y’a engueulade sérieuse.
Non mais c’est quoi ça que je reçois plus de nouvelles chaussures par mail ?
Moi, tu sais quoi, c’est bien simple que si ça continue je te ferme la rubrique, voir le blog et trois petits tours et puis s’en vont.
Tu me diras t’as tellement de copies disponibles sur la blogofille que tu te sentiras pas trop perdue sans moi.
Ha ça non !
Alors, aujourd’hui, c’est du lourd qui laisse aphone.
Voilà
Matricule de la propriétaire : Lucie (Qu’a pas de blog. Je sais ça craint)
Justificatif de l’achat du soulier improbable :
Je devais avoir dans les 14/15 ans… j’ai saoulé ma mère jusqu’à ce qu’elle préfère m’acheter ces trucs qui servent de chaussures plutôt que de m’entendre encore en parler !
Le pire c’est qu’à l’époque ça coûtait cher ces merdes de No Name !
Je les adorais, je les ai portées plein plein de fois, toute fière… ce qu’on peut être connasse quand on est ado !
Ça a duré quelques mois puis du jour au lendemain, j’ai commencé à les regarder de haut… et ensuite, plus ça allait plus je les trouvais laides !
Même à 1€ pendant le vide-grenier ou sur Ebay, elles partent pas !
Alors ? Montantes ou chaussettes retroussées ?
On reconnaît que tout notre squelette en tombe.
Je sais pas quoi dire.
Au pire « montantes« , rapport que y’aura peut être du crabe qui va faire son apparition (marée haute, tout ça, me demande pas d’expliquer le week-end, c’est sacré)
Bref, c’est laid, et on n’en parle plus !
Dans un prochain épisode du soulier improbable, j’aurais mangé du tapioca.