Salut la compagnie, c’est moi. Je suis allée passer 3 jours à Lisbonne, en amoureux. C’était bien.
Comme j’ai plein d’acouphènes dans les oreilles qui font rien qu’à ronronner depuis l’atterrissage musclé de hier soir, je suis un peu ronchon des écoutilles, alors je vous propose un jeu de cartes postales. Et demain (ou genre demain), je vous donne quelques adresses de là-bas, si toutefois ça vous intéresse. D’ailleurs je ne comprends pas pourquoi le petit Jésus m’a punie de l’audition : j’ai quand même passé un dimanche de Pâques à Lisbonne, c’est pas comme si je n’avais pas fait le plein de chrétienté pour les dix ans à venir. Bâtard.
Pour vous faire passer le temps, juste deux anecdotes amusantes, vous allez voir.
– Sitôt débarqués dans la capitale du Fado, nous nous ruâmes dans un rade pour goûter la morue locale, sur le coup des 14 heures. C’était très bon cette connerie de poisson ; par contre c’est jamais déssalé là-bas, et on a donc cru qu’on avait bouffé la mer morte tout l’après-midi. Verdict : ne jamais manger de morue avant de faire les montagnes russes de la ville, sous peine de finir aussi salés qu’elle (la morue, I mean).