Hey salut. La seule et unique fois où j’étais allée à Venise, c’était en revenant d’un voyage au ski en Autriche – ça fait trop Charlotte Casiraghi d’écrire ça, je kiffe – organisé par la fac…
Ne me demandez pas pourquoi on était passés par la Sérénissime sur la route du retour, je suis nulle en histoire.
Il n’empêche qu’en 3 heures passées sur place, je n’avais guère eu le temps que de compter 5 pigeons sur la place Saint-Marc, de mater du coin de l’oeil le Pont des Soupirs écrasé par des touristes à la banane ventrale triomphante et de ricaner sottement sur une gondole payée moitié prix par l’université. La hchouma du voyagiste, en somme.
Cette fois je n’ai pas laissé passer cette seconde chance de découvrir Venise en 3 jours, la vraie Venise !
Et c’est le nez au vent, errant sans but précis ni programme agréé FRAM que j’ai essayé d’appréhender la Cité des Doges.
Se perdre dans Venise est une chose plutôt aisée puisque la ville est construite comme un labyrinthe. Pan ! Dès les premières minutes, la magie était au rendez-vous : que voulez-vous, tous ces petits ponts (Yves Duteil kifferait drôlement cette ville, c’est sûr) m’émeuvent.