Galia bijoux

Une fois n’est pas coutume, l’autre jour je suis tombée en arrêt face à un Communiqué de Presse tombé dans ma bal. Après avoir poussé des Wahou, des Oohh et des Dingue ! sonores face à des colliers charmants et originaux, j’ai décidé de demander un shopping au service de presse (je me sentais trop rédactrice de mode pour la première fois de ma vie).

Les gars, un shopping c’est quand on vous prête les trucs pendant quelques temps histoire de les contempler et de les photographier tout à votre aise, et après vous les rendez la mort dans l’âme car vous n’êtes pas une voleuse – et encore moins une petite malpolie.

Voilà, donc j’ai eu ces merveilles chez moi tout le week-end. Dimanche soir, comme je n’ai pas de chat, je les ai installées sur mes genoux pour les caresser amoureusement. A un moment, je crois bien avoir entendu un ronronnement (à moins que ce soit Nounours qui ronflait devant Capital)(lol).

Au premier regard j’ai senti une inspiration Shourouk et je ne me suis pas trompée puisque Justine Paul, la créatrice des bijoux Galia, y a fait un stage il y a quelques années de cela.
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Graou : les sandales léopard

Souvenez-vous, je ne dormais plus à cause de ce vernis fluo dont j’ignorais le nom.
Vendredi dernier, je suis retournée chez ma pédicuriste locale et, en entrant dans la minuscule boutique à nails, je l’ai aperçu sur une étagère qui attendait sagement sa nouvelle maman (moi).

J’ai alors crié « c’est lui, c’est lui !« , je l’ai saisi, l’ai retourné et là, stupéfaction et malheur pendant 10 générations : l’étiquette de son matricule avait disparu. Avant que la pédicuriste ne m’enfile de force la camisole, j’ai réussi à lui demander si, des fois, elle connaîtrait pas son petit nom. Elle l’ignorait.

J’ai alors posté la photo du vernis O.P.I sur tous les réseaux sociaux de la création afin qu’on m’aide à retrouver son nom. Je me suis vite retrouvée submergée par des intitulés tous plus saugrenus les uns que les autres :

Kiss Me on My Tulips, That’s hot, you’re a pisa work, D.C cherry blossom, Koala bear, Pink flamenco, Shorts story, Too hot to pink, don’t know beets me, Strawberry margherita…
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Instagram #13

Hey salut ! Dans cette nouvelle édition complètement fascinante de ma vie en instagram, vous vous rendrez compte que je ne fais pas que voyager dans les îles – parfois je vais aussi rive gauche. Vous pourrez également admirer de formidables images de pieds (chaussés) et ça, ça change vraiment parce que ce n’est pas mon genre de vous parler shoes ; je suis bien au-dessus des choses de l’habillement.

Pour le reste, vous verrez bien mais je ne suis pas peu fière de vous annoncer en exclusivité ma participation aux championnats de France de doigt dans le donut.

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Pique-nique

Hier, on a pique-niqué avec ma copine Lynette et nos enfants. J’ai été très étonnée de constater que nous n’étions pas les seules à avoir eu cette idée géniale ; je veux dire les gens ne peuvent pas aller au cinéma le dimanche ?

Quand elle m’a vue débarquer avec mes chaussures rouges, Lynette elle a fait une sorte de moquerie du genre « ah ah l’autre qui déboule avec des talons pour un pique-nique !? » (je crois qu’elle est jalouse).
Bref, pour ne pas la gêner plus que ça j’ai jeté mes Patricia Blanchet dans l’herbe et j’ai profité du calme du parc de la Villette les pieds nus.

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Brun Cashmere – Pardon My Michel

Si Michel – mon coiffeur paysagiste – lit cet article, il va nous faire un AVC des familles (déjà qu’il avait ulcéré méchant quand Caro avait vécu par inadvertance un relooking du cheveu par Cristina Cordula). En effet, Michel est un être sensible qui ne supporte pas la trahison, encore moins quand elle vient de son sérail de blogueuses sur lesquelles il officie du ciseau avec amour…

Parce que voilà, j’ai trompé Michel. C’est mon premier coup de canif dans notre contrat capillaire, j’espère qu’il me pardonnera mon offense. Je vous raconte.
Mardi soir, j’étais invitée par Franck Provost pour tester dans le salon de l’avenue Franklin Roosevelt sa nouvelle technique de coloration, personnalisable selon notre base naturelle (la mienne, de base, c’est châtain foncé).

J’ai longtemps hésité à dire oui parce que déjà j’avais peur de faire de la peine à Michel, et il y a aussi que je ne suis pas vraiment une warrior dès qu’on touche à mes cheveux. Et puis merde, j’y suis allée. Et je suis repartie ravie (Pardon My Michel).

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