Salut les chafouins. On continue cette série haletante dans la grisaille et la mauvaise humeur ambiante. On dit adieu aux sandales, on lève les bras bien haut, on attrape la corde. Adieu.
Bref, faisons l’amour à ces boots André vintage (2010) avant de nous quitter, puisqu’il faut bien l’avouer : elles sont devenues mes chaussons de rue FOREVER (i.e. jusqu’à leurs funérailles).
Achetées genre 25€ en fin de soldes en 2010, elles n’ont pourtant rien d’exceptionnel – comme tous les gens ordinaires -, elles font le pied tout rond (je suis le Schtroumpf) et sont désormais toutes niquées par l’usure du temps et du pavé parisien.
Alors quoi ? Je ne sais pas, les amis. Leur confort, leur côté lunaire et enfantin me rassurent sûrement beaucoup chaque matin, quand je pars à la mine de la publicité.