Basic Instinct #3 : les boots André vintage

Salut les chafouins. On continue cette série haletante dans la grisaille et la mauvaise humeur ambiante. On dit adieu aux sandales, on lève les bras bien haut, on attrape la corde. Adieu.

Bref, faisons l’amour à ces boots André vintage (2010) avant de nous quitter, puisqu’il faut bien l’avouer : elles sont devenues mes chaussons de rue FOREVER (i.e. jusqu’à leurs funérailles).

Achetées genre 25€ en fin de soldes en 2010, elles n’ont pourtant rien d’exceptionnel – comme tous les gens ordinaires -, elles font le pied tout rond (je suis le Schtroumpf) et sont désormais toutes niquées par l’usure du temps et du pavé parisien.
Alors quoi ? Je ne sais pas, les amis. Leur confort, leur côté lunaire et enfantin me rassurent sûrement beaucoup chaque matin, quand je pars à la mine de la publicité.

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J’ai un nouveau sac. Ouais.

sac cabas zadig et voltaire

Comme le dit toujours ma mère : « Heureusement qu’on ne fait pas la même taille, sinon je t’aurais déjà chourave deux ou trois sacs ! »
Je crois qu’elle fume.

Cabas Zadig & Voltaire – Forzieri
(tu as dit bonjour à Mireille ?)

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Mini-box, mais elle fait le maximum

Afin de reprendre nos esprits face aux révélations fracassantes faites hier ici même, j’aimerais vous parler de ce concept enchanteur de « look prêt à l’emploi ».
C’est l’histoire de deux amies, Caroline et Anouk, qui, lassées de courir les boutiques afin de composer la tenue parfaite, ont créé Boxomodo.

Boxomodo est le site où, en un clic, on shoppe une boîte magique composée d’une tenue complète. Look Bobo chic, Croisette, Naturel ou Glam’Rock ; il y a forcément une boîte pour chaque style… et pour chaque sexe – parce que oui, ça existe aussi pour les gentils garçons.

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Flowerbomb La vie en rose de Viktor & Rolf

Les gars, ça fait trop longtemps que vous n’avez pas été gâtés par ici – remédions à cela illico si vous le voulez bien. Vous le savez, Viktor & Rolf ce sont mes petits choupinous depuis qu’on a eu la chance de converser dans un anglais complètement fluent (je suis le jubilé anticipé) en janvier dernier.

A l’occasion de la sortie de la déclinaison estivale de Flowerbomb, « La vie en rose » Viktor & Rolf, je vous propose de gagner l’édition limitée de cette eau de toilette acidulée. Rien de délirant là-dedans certes (enfin quand même, quoi) mais j’aimerais profiter de ce titre lourd en signification pour vous faire une confession.
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Galia bijoux

Une fois n’est pas coutume, l’autre jour je suis tombée en arrêt face à un Communiqué de Presse tombé dans ma bal. Après avoir poussé des Wahou, des Oohh et des Dingue ! sonores face à des colliers charmants et originaux, j’ai décidé de demander un shopping au service de presse (je me sentais trop rédactrice de mode pour la première fois de ma vie).

Les gars, un shopping c’est quand on vous prête les trucs pendant quelques temps histoire de les contempler et de les photographier tout à votre aise, et après vous les rendez la mort dans l’âme car vous n’êtes pas une voleuse – et encore moins une petite malpolie.

Voilà, donc j’ai eu ces merveilles chez moi tout le week-end. Dimanche soir, comme je n’ai pas de chat, je les ai installées sur mes genoux pour les caresser amoureusement. A un moment, je crois bien avoir entendu un ronronnement (à moins que ce soit Nounours qui ronflait devant Capital)(lol).

Au premier regard j’ai senti une inspiration Shourouk et je ne me suis pas trompée puisque Justine Paul, la créatrice des bijoux Galia, y a fait un stage il y a quelques années de cela.
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Graou : les sandales léopard

Souvenez-vous, je ne dormais plus à cause de ce vernis fluo dont j’ignorais le nom.
Vendredi dernier, je suis retournée chez ma pédicuriste locale et, en entrant dans la minuscule boutique à nails, je l’ai aperçu sur une étagère qui attendait sagement sa nouvelle maman (moi).

J’ai alors crié « c’est lui, c’est lui !« , je l’ai saisi, l’ai retourné et là, stupéfaction et malheur pendant 10 générations : l’étiquette de son matricule avait disparu. Avant que la pédicuriste ne m’enfile de force la camisole, j’ai réussi à lui demander si, des fois, elle connaîtrait pas son petit nom. Elle l’ignorait.

J’ai alors posté la photo du vernis O.P.I sur tous les réseaux sociaux de la création afin qu’on m’aide à retrouver son nom. Je me suis vite retrouvée submergée par des intitulés tous plus saugrenus les uns que les autres :

Kiss Me on My Tulips, That’s hot, you’re a pisa work, D.C cherry blossom, Koala bear, Pink flamenco, Shorts story, Too hot to pink, don’t know beets me, Strawberry margherita…
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