Les oies rient…

Ah bah putain, les copains !
C’est que c’est pas encore fini pour moi les orgies !

Non contente d’avoir explosé mon bouton de jean neige, je m’en vais dans mon Über On, continuer les joies du gavage.

Donc, tout ça pour dire que je t’avais presque oublié et que quand même, cette fois, je t’aime plus qu’hier.
Pour demain, par contre, c’est pas gagné.

Avant de revenir ici voir si j’y suis toujours et que je vous raconte des trucs passionnants sur ma mère, je vais me faire une tartine de foie gras. Je tente un record, c’est pour ça.

Y’a eu plein de poneys chez moi pour la Noël. Des faux, hein, pas des qui faut leur curer les sabots. Vous êtes d’un con, parfois…

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de cheval…

Récemment, dans SBEP, on en était que tout le monde s’était embrouillé à cause du Taboo.

Alors, on a dit puisque c’est comme ça, on jouera plus jamais à un jeu de société de toute notre vie entière, mais on fait quand même un Uno.
Bonjour les résolutions, nous, c’est un peu comme à chaque rentrée qu’on décide de se mettre au sport, qu’on fait religieusement 3 abdos/fessiers pendant 4 jours et qu’on finit par s’enfourner la plaquette de Côte d’Or devant la quotidienne de Secret Story.
Laisse tomber, on a aucune volonté !

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Jeux interdits

Bonjour, c’est Violette !

Hier, donc, je vous promettais qu’on allait causer demain des plateaux-repas Air France, et comme ici, nous somme d’une logique implacable, je viens de m’apercevoir que demain, c’est déjà aujourd’hui.
Tu sais que le temps file, c’est trop pas croyable.

Ainsi, pour en finir avec cette histoire qui n’est pas le sujet du jour, en plus (vous êtes chiants de me faire écrire des machins à rallonge), voilà le plateau-repas de l’aller :

Et celui du retour :

Bref.
(lol)
(pas über)

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La fin des vacances dans les Landes

Gens.

Croyez bien que concernant les Landes, le Pays Basque et toutes ces contrées aux noms remplis de X ou se terminant par « osse » pour faire genre exotique, c’est no way anymore pour moi.
Pourquoi tant de racisme régional, vous me demandez ? C’est quoi ce temps de merde en atlantique sud, je vous réponds (par une question, moi aussi) ?

Tu me diras, c’est bien fait pour moi, j’aurais dû me méfier avec l’autre con du Loft 2, le Félicien qui voulait absolument choper la cum cum*. Ah, il était beau le mec qui prônait fièrement son appartenance au pays Landais.
Bourrez-vous la gueule avec un foulard rouge autour du cou qu’il disait. Non merci monsieur, on préfère s’enivrer avec un petit chèche trendy cool, on est pas des beaufs…

Passons…

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Images d’épinards

Jesse Garon disait C’est lundi. (Mmmh Mmmh Mmmh)

N’importe quoi, lui !

C’est avec un jeu de mots de grande qualité, il faut bien le reconnaître, que je renais de mes cendres. Tel le phénix, je rentre à la maison.
Et qu’avons-nous donc aujourd’hui, dans notre maison Phénix ? Le bordel, je vous réponds.
Pour le moment, vous vous contenterez d’images (et plus personne n’osera dire que je n’ai pas l’âme d’un Yann Arthus-B) vues du bas. J’ai le mal de l’air en héritage.

Prochainement, quand j’en aurais terminé avec l’hydratation corporelle, nous causerons allergie solaire et de comment j’ai acheté des boots Paul & Joe sur l’Internet, en villégiature, dans le Lubéron.
(Puis, je repartirai en vacances, parce que vous me gonflez)
(Voyez le genre, quoi)

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Intervilles

 

Quelqu’un dans l’assistance lectorale est-il en mesure de confirmer avoir vu une fois dans sa vie Charles Trenet Nationale 7, et lui avoir fait coucou derrière la vitre de la Porsche familiale ?
Évidemment qu’il n’y a personne et c’est tant mieux rapport que les embouteillages ne sont pas le sujet principal de ce billet.

Donc, chers gens un peu étranges, je voulais vous causer que hier, j’ai mis une robe longue, genre à carreaux qui fait un peu Far West dans le look like (enfin plus Madonna dans « Don’t tell me » que Joanne Dru dans « La rivière rouge »). Vous voyez, quoi…
Pas que j’aime ça la robe longue, dans l’absolu, rapport que même bien gaulée, tu fais sac, mais bon c’est mode. Donc, on porte. Point. (Sinon, un vilain tamanoir vient nous prendre, nous emmène dans son terrier et nous mange. Parfois il est de bon ton de faire des sacrifices modesques)

Enfin bref, disais-je, donc hier je porte une affreuse robe et là mon compte-joint me sort :

« Tu ressembles à un santon !« 

J’y réponds que ça tombe bien rapport à la Provence, tout ça, mais que quand même je suis intriguée par cette comparaison peu flatteuse que je prends assez bien toutefois (vous noterez que je ne suis pas susceptible lors de mes congés payés).

Et là, comme le compte-joint n’y connaît queud’ en moderies, j’ai eu un éclair de génie et j’y beugle :
« Mais que nenni je suis un santon ! Tu confonds tout ! Tu veux dire que je ressemble à une poupée régionale qu’est dans sa boite en plastique cylindrique au fond d’une vitrine magique (en province) !« 

« C’est exactement ça !« , qu’il a confirmé, « Tu es merveilleuse (comme santon)« 

La prochaine fois, dans SBEP, je ressemblerai à une bouteille d’Orangina au niveau du cul à cause d’une orgie de tapenade.

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