Le pull qui ne gratte pas

pull minimum

Hey. J’ai déjà dû vous en parler maintes fois mais voilà, je me sens fort dépourvue quand la bise fut venue, c’est à dire right now quand ça caille. C’est que 99% des pulls me grattent, et je crois bien que cette histoire est génétique puisque ma mère a une aversion certaine pour le mohair et cie…

… et que Cyclamen pousse des cris de bête dès que j’essaie de lui coller 10% de laine sur le dos – ou alors c’est du cinéma pour porter son sweat panda rose à l’infini.

Je bave d’envie, je pleure de dépit et je crie ma jalousie quand je croise des copines vêtues des jolis pulls Mes Demoiselles, mais il suffit que je les observe à la dérobée 5 minutes et voilà que les plaques rouges débarquent (je somatise du lainage, si ça se trouve).

Quand il arrive qu’un pull chaud ET QUI NE GRATOUILLE PAS croise ma route à chaque saint-glinglin je ne le lâche jamais : c’est le cas de ce mignon-là, de la marque Minimum, qui coûte trois fois moins cher que son copain trendy suscité.

Que faut-il demander de plus ? Un parfait slim huilé Pablo qui fait un cul terrible, peut-être ?

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Isabelle Adjani wears Steinunn

Steinunn

Toutes les bonnes choses n’ont pas forcément de fin (ET NON, NOUNOUILLE !), puisque je ne vous avais pas tout raconté en matière de moderie islandaise.

Certes, vous avez déjà bien ri en Kron by Kronkron, mais comme j’ai quand même ma petite fierté, je vais aujourd’hui envoyer valser les motifs hasardeux du Grand Nord pour enfiler du stiletto de créateur et de la fourrure à 10 000.
Le come back d’Isabelle Adjani, c’est right now.

Lors de notre séjour à Reykjavik on s’est rendus dans le Fishpacking District, où crèchent quelques créateurs islandais plutôt pointus, mais néanmoins charmants – on n’est pas chez Colette quoi…

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Thursday wear

sois belle et parle

Comme je dis toujours, si tu n’as pas envie de faire d’efforts, ce ne sont pas les efforts qui te donneront envie d’en faire, et c’est ainsi que le jour de la Toussaint j’ai adopté le minimum syndical en matière d’outfit et de tous les artifices qui vont avec.

C’est très bizarre, vous savez, mais à chaque fois que j’oublie de passer une seule dent de peigne dans ma chevelure anarchiste, tout le monde me dit « Tu es drôlement bien coiffée aujourd’hui » (si ça se trouve les gens me prennent pour le sosie officiel de Kurt Cobain).

Devrais-je en déduire que toutes ces années de brushing n’auraient servi qu’à muscler mon bras droit ?
Dois-je leur avouer que ce qu’ils prennent pour un parfait wavy n’est que le fruit d’un shampoing/brushing de la veille, et que la nuit est passée par là pour anéantir tous mes efforts de raideur absolue dans un ballet matinal de boucles aléatoires ?
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Une fille au masculin

Kurt Geiger

Quand j’ai acheté ces grolles il y a un peu plus de 2 ans, j’avais eu la bonne idée de les porter avec des mi-bas… (je crois que j’étais un peu plouc). Ça m’avait valu 4 ampoules à chaque pied – soit 8 ampoules en tout (plouc oui, mais néanmoins mathématicienne de haute voltige).

J’avais donc maudit tous les dieux des derbies sur trois générations et remisé les trucs au placard.
Depuis, je ne porte plus de mi-bas car ça coupe méchamment la circulation sanguine – j’ai déjà le mollet Kronkron, n’en rajoutons pas – mais surtout la tendance Tomboy est apparue sur nos radars fashion !

Et j’aime mieux vous dire que cette affaire m’arrange pas mal car je suis beaucoup plus attirée par le vestiaire des garçons que par les robes à fanfreluches et les couronnes de fleurs synthétiques.

Mes copines qui à l’époque des mi-bas trouvaient mes chaussures chelous, font désormais la gueule de ne plus pouvoir compulser les mêmes. J’étais plouc avant-gardiste, en somme.

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Se peler mais briller

Ouin ça caille et sans transition aucune j’ai craqué pour ces baskets de l’espace à 13€. Je ne sais pas encore comment je vais gérer le truc ; je pourrais toujours les recycler en serre-livres de l’an 3000 (j’imagine). En tous cas, vous remarquerez que je ne propose aujourd’hui ni snood, ni peau lainée. Se peler mais briller, tel est mon nouveau credo. Bisous foufous.

Veste à carreaux Topshop | Sweat T by Alexander Wang | Collier broche à pétales Asos | Sac Cambridge Satchel | Slim enduit 7/8 Vila | Montre « moustache » Asos | Lunettes de soleil Asos | Baskets argentées Topshop | Mitaines « Shut up » Asos

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Kron by Kronkron, la mode en Islande

kron by kronkron

Euh. Ouais. Je ne sais pas vous, mais moi y’a des noms ou des expressions qui peuvent me faire rire – sous cape or not sous cape – pendant des années. Ça a longtemps été le cas avec le « Je suis la carte » de Dora l’exploratrice.

J’en garde encore quelques séquelles puisque dès que quelqu’un déplie une carte routière devant moi, j’ai l’air de la chanson de cette conne de carte qui me revient en tête instantanément. Et j’ai un fou rire (je suis très bon public)(ou limitée intellectuellement).

Quand on m’a parlé pour la première fois de cette célèbre marque islandaise Kron by Kronkron, j’ai su tout de suite que cette hilarious fixette sur la carte allait être remplacée dans l’instant. Ils sont pas les derniers pour créer du LOL là-bas (ou bien je suis limitée intellectuellement).

Bref, depuis, en me couchant le soir, je répète des dizaines de fois Kron by Kronkron dans ma tête – je crois que réciter des Kron c’est moins efficace que de compter les moutons, mais c’est plus rigolo – et je m’endors quand même.

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