Gigi l’Amoroso

ralp lauren denim supply

Yo. Je suis passée 36h à Paris en début de semaine, défaire une valise et en refaire une autre – la vérité, ça devrait être interdit autant de soucis en période estivale.

Comme je suis la conscience professionnelle incarnée, j’en ai profité pour immortaliser de l’outfit, entre deux ronrons de la machine à laver. Depuis que Sainte Manoush a décidé qu’on ne devait plus montrer nos genoux passé un certain âge (j’ai 26 ans, mais j’anticipe), je porte désormais mes robes courtes en tuniques. Si c’est pas malheureux.
Enfin non, pour le coup je trouve que c’est plutôt heureux. Il est plutôt content de ce détournement, Rosco.

Bon, comme je vous le disais l’autre jour, cette semaine je suis en vacances à Naples. Je reviens dans quelques jours avec des photos italiennes. Et aussi, sûrement, plusieurs kilos en plus dans le cucul. Mais comme je dis toujours, « on a qu’une v – e ! » (super dur ce troisième pendu de l’été, ça se corse, hein !).

Si vous êtes sages, je vous ramène une interview de Gigi l’Amoroso.
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Repeller

veste blanche

Putain, les gars, j’ai une flemme comme pas possible. Après seulement 5 jours de vacances j’arrive à peine à tenir un stylo pour vous écrire (la prochaine fois, je vous envoie un pigeon v – – – – – – r* pour être sûre d’arriver à bon port). Je crois que je ne sais plus écrire.

Est-ce un signe pour que je me mette à la chanson ? Si ça se trouve je suis la nouvelle Jenifer pas enceinte et pas en Corse (j’ai lu Voici) ? Je me laisse jusqu’à la rentrée pour me décider.

En attendant, c’est la fête quand même. Et mieux, c’est la fête au n’importe quoi avec ce look photographié à Paris, avant de partir, qui réussit à combiner tout ce que les hommes adorent : une combi-pantalon + des chaussures d’allemande.

Si toutes les cagoles du monde pouvaient se donner la main peut-être que ça s’annulerait, et que le résultat aurait peu ou prou cette gueule-là. Qui sait ? (j’appelle Maître Nadjar)
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On voit (encore) ton soutif

pantalon jacquemus

Je ne veux pas entrer dans les pensées de Catherine Laborde, mais quand même c’est quoi ce temps.

Avant d’enfiler très bientôt robes d’été et sombreros (c’était pour la rime, je ne pars pas à Mexico), j’ai eu envie de vous montrer cette perfection de pantalon, fruit de la collaboration entre Jacquemus et La Redoute. C’est pas d’saison, mais à quoi bon, pourvu qu’on tienne LA combinaison.

Tombé parfait, drap de laine qualifié et marine adoré, il ne restait plus qu’à enfiler une bonne vieille paire de tennis pour trotter chic en toute tranquillité.

Du marine distingué qui fait pas cathé, je crois que je viens d’upgrader mes années dans le privé. Et oui, je sais, on voit (encore) mon soutif.
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Les couineuses

stan smith font du bruit

Vous êtes encore là, vous ? Moi aussi, ça tombe bien.

Je ne vous ai jamais parlé d’un truc qui me mortifie jusqu’au plus profond de ma chair : alors voilà, j’ai les Stan Smith qui couinent… (ça fait un choc, hein ?). Je vous avoue que je ne comprends pas, j’ai eu beau tout essayer – tordre la languette jusqu’à plus soif, les balancer contre un mur en béton, les tournicoter dans tous les sens – rien n’y fait, je couine des pieds.

Mes Stan Smith font du bruit.

Alors quand je marche dans la rue, dans le brouhaha des piétons et des bagnoles, ça passe. Mais je ne vous raconte pas la honte quand il faut traverser un open space silencieux, se déplacer dans un lieu feutré ou descendre mes escaliers.

J’ai l’impression que la terre arrête de tourner, que tous les regards se tournent vers mes pieds tapageurs… Scrounch Crouing, voilà l’élégance.
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Les jeux sont faits

Chers internets, j’ai remarqué l’autre jour que vous lorgniez sur mes sandales Cosmoparis (si, si, j’insiste). C’est la première paire de cette marque qui vient rejoindre mon shoesing. Et peut-être pas la dernière.

En effet, ces sandales atterrissent très souvent à mes pieds depuis leur acquisition ; et croyez bien que combiner hauteur et confort n’est pas chose aisée. Souffrir pour être belle, ça a fait son temps.

Comme aujourd’hui débute la deuxième démarque des soldes, je vous ai fait une petite sélection de sandales, compensées, derbies et consorts à moins de 80€. Et puisque rien ne va plus, faites vos jeux.

cosmoparis

1. Compensées Celena 100€ -30% soit 70€ | 2. Sandales hautes Jaurina 120€ -40% soit 72€ | 3. Plagette Buli 90€ – 50% soit 45€ | 4. Plagettes Idala 79€ – 50% soit 39,50€ | 5. Sandales Madi 110€ -50% soit 55€ | 6. Sandales Vami 95€ -40% soit 57€ | 7. Sandales Futa 120€ -40% soit 72€ | 8. Sandales Alan 109€ -60% soit 43.60€ | 9. Derbies Fadia 130€ -40% soit 78€ | 10. Sandales Fami 130€ -40% soit 78€

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Ici sur pilotis : retour au Cap Ferret

manchette anne thomas

Hey, salut les mecs. Tu danses ?

La seule et unique fois où j’étais allée au Cap Ferret, j’avais 21 ans. J’étais partie avec mon amoureux (pas Nounours, un autre), et je me souviens que j’avais aperçu un dauphin au loin, dans l’Océan.

Tout le monde se fout de ma gueule à chaque fois que je raconte cette anecdote (les gens sont visiblement jaloux de mon côté océanographe). Alors que je suis persuadée de ne pas avoir rêvé. Encore un mystère de la vie – aquatique, cette fois – qui ne sera jamais résolu. C’est bien triste.

Bref, il y a quelques jours, je suis retournée là-bas. Dix ans de plus au compteur (ah ah ah LA MYTHO), un autre amoureux au bras, et des copains en bandoulière, le charme a agi à nouveau.
Je n’ai pas revu mon ami le dauphin, mais j’ai retrouvé les petites cabanes, la plage quasi déserte (tout le monde est à l’île d’Oléron ou quoi ?) et les huîtres fraîchement cueillies (?).
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