J’ai acheté un body sans boutons-pression là où je pense… Je vous dis pas le chantier quand tu vas faire pipi. C’est quasi pire que quand vous êtes dans un water de resto d’altitude.
Enfin, ça entretient mon périnée tout ça.
J’ai acheté un body sans boutons-pression là où je pense… Je vous dis pas le chantier quand tu vas faire pipi. C’est quasi pire que quand vous êtes dans un water de resto d’altitude.
Enfin, ça entretient mon périnée tout ça.
Les amis, il m’est arrivé trois trucs coolos dernièrement, en matière de moderies j’entends. Non parce que, pour le reste, si ça se trouve je couve une pneumonie alors voyez que je mérite bien quelques rayons de soleil dans le ciel plus qu’encombré de mes bronches. « T’as qu’à moins fumer ! » dirait ma mère. Euh…ouais.
Bref. Dans l’ordre croissant de leur importance, voici donc mes petits bonheurs du moment.
J’ai remis des collants. Le truc qui fait que tu n’as quasi plus d’emmerdes pour t’habiller le matin. Rebonjour la jupe en jean qui te sauve la mise. Rebonjour les ruineux passages au monop chaque semaine pour faire le plein des 50 deniers. Le collant c’est comme les vendanges, le rendez-vous incontournable de septembre, le raisin en moins. (excuse, j’ai de la fièvre)
Ok les copains, je me rends compte que si j’ai parlé ça et là de mon parfum, au hasard de mon journal de l’Internet, et bien jamais je ne lui ai consacré un article entier. C’est un blog de fille ici oui ou merde ?
Afin de réparer l’affront fait au jus qui accompagne mes jours et mes nuits (coquine, va) depuis 3 ou 4 ans, voilà l’explication de texte. En gros, vous allez tout savoir. Enfin, presque tout, je me dépêche car je dois emmener Brian aux urgences (à cause de ses petits problèmes de santé chopés en Espagne).
Au tout début du début de ma vie de ma femme, vers 11 ans, sachez que je ne brillais guère par mon originalité. Le jean neige n’était pas encore sorti dans les bacs, j’écoutais Karen Cheryl et je portais « Anaïs Anaïs » de Cacharel… Un vrai parfum pour ado, quoi.
J’étais pas trop rock n’roll, c’est d’ailleurs sûrement pour ça que j’ai roulé ma première pelle seulement en 5ème, pendant un cours d’espagnol. Mon amour immodéré pour la sangria n’est plus un secret pour vous, désormais.
Salut les citrons. Je sais bien qu’il faut pas être pressé avec moi quand je vous promets monts et merveilles. Vous conviendrez néanmoins que je tiens (quasi) toujours mes promesses et que donc, voilà l’heure où je vous montre enfin la fameuse veste YSL portée. Et tant que j’y étais (rationalisation oblige), je vous ai collé mon sac MJ qui méritait bien plus d’honneurs que le vilain flouté infligé dernièrement par le truchement de mon Iphone.
Pour ce qui est des références de toutes les moderies que je vous impose aujourd’hui, vous m’excuserez, mais je ne suis pas La Redoute. Et aussi j’ai un peu la flemme. Je suis en train de faire une tarte au foie.
Les aminches, l’avantage de partir en vacances en juillet c’est… Ah ouais, t’as raison, y’en a pas beaucoup. C’est même carrément l’enfer, la damnation que de se retrouver dans la capitale, élue ville morte depuis le 31 juillet dernier. C’est que je suis tellement speed de l’attitude que l’apathie générale ne me va pas au teint. La preuve, je débronze plus vite qu’une blogueuse validant son panier sur asos. Euphémisme.
Et puis, surtout, j’accumule les emmerdes :
❉ Déjà, j’ai un gros problème de conscience professionnelle, un dilemme de blogueuse arrosée en quelque sorte. Je vous explique. J’ai reçu tellement de produits solaires en cadeau que j’aurais pu easily crémer la plage entière de La Baule si j’avais eu le courage. Et l’envie de me baigner dans une eau à 18°c. Les jours de fêtes.
Sauf qu’une des crèmes d’une grande marque cosméto m’a donnée la désagréable impression de me tartiner à la pâte à cul durant toutes mes vacances au Maroc. Tu sais, c’est comme le truc qu’on met sur les fesses irritées des bébés ? Voilà celle-là ! T’as beau étaler comme une guedin, t’as le look geisha quoique tu fasses. Y’a pas, t’as gros la classe quand tu sors de l’eau avec la Tipex allure. C’est pas encore cette fois que j’ai joué les Ursula Andress. Fuck.
La suite … « Paris au mois d’aout c’est l’enfer ! C’est vide ! »
J’ai une nouvelle bague.
Alors que dans un temps pas si lointain, j’arborais sans relâche ma Chaumet, assez grosse de l’attitude, (mon joli cadeau de fausse-couche de 2002) j’ai passé ces deux dernières années sans bague aucune aux doigts. Sûrement qu’un analyste me prescrirait 18 séances à 120 boules pour que je découvre la signification de cette brusque mise à nue de la joaillerie, mais là j’ai pas trop le temps de chercher. Et j’ai jamais fini mon Freud illustré depuis le jour où que j’avais découvert Danielle Steel.
Il n’en reste pas moins que les bagues et moi on a jamais été très copines, au grand dam de ma génitrice qui voudrait tant que je m’embagouze à l’aide de mes héritages divers et variés. Jusqu’à l’écoeurement diamantaire… De toute façon, quand les gens meurent dans ma famille, j’ai toujours préféré le cash. Au moins je peux tout dépenser chez Maje.