Pupute du 11ème : la veste en fourrure leopard

Bon les gars, sus aux conventions sur lesquelles je crache avec bonheur depuis la nuit des morts vivants, je vous souhaite la bonne année et tout le décorum  pailleté qui va avec ! Comment ça je suis jet laguée ? Ah oui, tiens.
Ces quelques clichés ne reflètent en rien un quelconque désir d’appartenir à la grande famille du street style oh que non ; c’est juste que le père noël m’a offert un nouvel objectif pour mon appareil photo et que je suis transpercée de milliers de flèches de bonheur.

Aujourd’hui où la lumière fut pour la première fois à Paris depuis le 15 octobre, j’ai enfourché l’objectif, enfilé la veste « hum hum » de ma copine Azzed (un peu pupute à ses heures perdues) et voilà le shooting qu’on croirait une femme de mauvaise vie perdue en plein Bronx. Hihi.
En vrai c’est une veste Claudie Pierlot portée vers la rue bobo-Charonne, mais bordel laissez-moi m’encanailler et rêver que ma vie est un thriller haletant ! Je veux des coups de feu et des braquages de banque. Je veux du cuir. J’ai eu la fourrure, okay…

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Tire la chevillette : le duffle coat rouge Claudie Pierlot

Bonsoir. A coup sûr quand je passe une journée au travail, c’est pas le loup que je croise. Ni la patte de Nounours ci-dessus, d’ailleurs (il a bien voulu faire mannequin-main pour les besoins scénaristiques), mais bordel quelle idée saugrenue que d’être implantée en plein quartier des ventes-presses et autres destockages de machins killers de CB…

C’est ainsi que tu pars à la mine vêtue d’un petit manteau sans prétention aucune (The Kooples, quoi), et que tu reviens déguisée en chaperon alors que tu t’es égarée dans les méandres d’un Anna Sand avoisinant. Pour les gonzes de province, c’est une sorte de lieu où t’as plein de ventes tentatrices TOUTE l’année.
As-tu besoin d’un 25ème gilet ou d’un micro-duffle rouge ? Pour sûr que non les aminches, mais à quoi ça sert d’aller bosser si c’est pour passer les nuits suivantes à regretter cette petite merveille de chez Claudie Pierlot ? A rien, les gars, à rien.

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C’était la semaine du bon d’achat

Coucou vous autres. Je clos le partenariat Caroll, riche en wedding souvenirs et en manteau peau lainée, par un jeu-concours (ouais, décembre est décidément sans surprises).

Croyez bien que je suis en larmes ; je n’étais pas prête à affronter cette séparation si brutale d’avec cette marque grâce à laquelle je passe à travers les flocons de neige l’esprit léger.  Et sans frissons. Cette fois c’est sûr, on ne badine pas avec l’amour. J’aurais jamais cru que je passerais ce dernier mois en duffle-coat : comme quoi il ne faut jurer de rien…

Ce jeu-concours ? Dans la pratique, c’est très simple : il suffit de créer votre look sur le site de Caroll en faisant glisser des vêtements dans la petite fenêtre ergo-dynamique (je vous ai collé mon exemple ci-dessus pour que ce soit plus clair), de valider l’affaire, d’attendre le mail de confirmation qui dit que votre sélection n’est pas trop pérave et de copier le permalien dans un commentaire ici-même.

Ah oui, vous avez raison, c’est pas si simple…

A la fin de la semaine, genre samedi midi, je sélectionnerai mes 3 looks préférés qui gagneront chacun un bon d’achat de 50€ chez Caroll. C’est clair ? Non ? Oui, mais c’est cool.

Article sponsorisé 

EDIT : LES RÉSULTATS

Donc après de longues nuits blanches à comparer vos looks, voilà les 3 gagnantes d’un bon d’achat de 50€ chez Caroll. Les gonzes, merci de m’envoyer vos coordonnées postales par email (et bravo) :

Niña – commentaire 14
Nekkonezumi – commentaire 40
Rové – commentaire 63

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C’est le pompon !

Si j’étais une vraie blogueuse mode, je vous aurais montré ce pull porté, immortalisé lors d’une bataille de boules de neige avec ma meilleure copine blogueuse mode, elle aussi. Seulement ça caille trop.

Si j’étais une vraie blogueuse mode, j’aurais fait des macros des espèces de pompons en laine aux couleurs si improbables que même dans Flashdance ils auraient pas osé les montrer. Oui mais comme il fait nuit à 16h25 et que je me refuse d’utiliser un flash, je préfère garder mes ISO au chaud.

J’aurais pu aussi, si j’étais une vraie blogueuse mode, immortaliser cet ovni à la manière d’une nature morte. Nonchalamment jeté sur un canapé immaculé avec en accessoire et arrière-plan flouté mon latte préféré, ma drogue. Voilà qu’au bureau on n’a que du Nespresso.

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Joue la comme… Norman Jean

C’est une proposition totalement décente, mais exclusivement féminine, que j’ai à vous faire aujourd’hui. Dans les faits c’est carrément un chouette cadeau pré-ripailles qu’offre la marque Gérard Darel à mézigue et à l’une d’entre vous.
La vérité, vous avez du cul de passer par ici pendant vos pauses Kinder. Exit le présent en plastique ripou tout droit sorti de l’oeuf ; welcome la soirée starlette. Ne criez pas, je t’explique.

Donc pour les fêtes, le pull de Marilyn Monroe dans « Le Milliardaire »avec lequel je faisais la débile il y a quelques semaines, (je sais même plus où coller des virgules tant mes phrases sont d’une longueur à faire pâlir de jalousie Marcel Proust) sort en laine beige et se pare de fils dorés. Surtout en édition limitée à 300 exemplaires et uniquement vendu sur le e-shop de Darel à partir d’aujourd’hui.

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La queue de castor, accessoire branché ?

Les gros, aujourd’hui prenons le chemin de la moderie si vous le voulez bien.
Il s’agira de vous démontrer que la blogueuse n’est pas toujours une super-consommatrice Kleenex, oh que non. Ainsi, c’est sans honte aucune que je vous ressors le Tom de l’ami Dreyfuss acheté il y a des siècles (en unité-mesure 2.0, ça équivaut environ à 19 mois), et re-aimé récemment par votre serviteuse.

Un peu défoncé et couvert de grabouillages au Bic 4 couleurs, je crois qu’il reste ma valeur sûre. Mon refuge en ces temps tourmentés où nos penderies, à nous autres les vendues de l’Internet, ressemblent à un showroom.
C’est pas l’amie Galliane qui dira le contraire…

Néanmoins ! Néanmoins, c’est pas parce qu’on se réfugie dans la valeur refuge qu’il faut perdre tout sens de la spéculation (ami non-trader sors donc ton lexique économique).
Et c’est ainsi que j’ai décidé, en ces temps de grande froidure qui font l’ouverture d’un JT proche de la préoccupation populaire, d’accessoiriser mon vieux sac indigne d’une queue. Et d’un nouveau manteau en laine.

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