Bon les copains, c’est pas la joie. Voilà que je viens de poser définitivement mes bagages. Jusqu’à une prochaine fois. Mon spleen va bien au-delà de la grisaille qui ambiance fortement Paris et du méchant décalage atmosphérique qui a fait frissonner mes pieds bronzés quand ils se sont posés sur le quai, Gare de Lyon, ce matin.
En dehors du fait que j’appréhende grave cette rentrée, faite de recherche d’appart’, de CP, de devoirs à faire, de rendez-vous chez le(s) médecin(s), de trucs de boulot, de hobbies plus que prenants et de gros changements dans ma vie, j’angoisse de ne plus arriver à trouver le temps de me faire une manuc’ digne de ce nom. Faut dire que je suis pas aidée par les éléments ; Mavala s’avère être une marque de merde niveau tenue (ou bien j’ai trop fourré mes doigts dans la Méditerranée).