Never complain, never explain

Que deviennent les disquettes

Bon. J’ai pour habitude, sur l’Internet mondial, d’appliquer la règle du never complain, never explain (sauf cas de dérogations académiques). Qu’entends-je par là, amis non anglophones ? Ca veut dire que j’estime ne devoir aucune explication à quiconque sur ma façon de bloguer, les billets sponsorisés, et tous les machins 2.0
Je parais sûrement un brin bêcheuse aux yeux de ceux ceux dotés d’un recul proche de zéro, mais la réalité est toute autre.

Dire que l’on a aucun compte à rendre à ceux qui surgissent hors de la nuit sur cet espace noyé au milieu des réseaux est souvent mal compris. Pourtant, c’est exactement là ma façon de penser.

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Le tutu bleu

J’aime pas trop piquer les photographies des autres les aminches, mais l’autre jour que j’avais 3 mn de temps devant moi, j’ai retrouvé des clichés que j’avais mis en fav’ dans mon Flickr depuis des mois. J’adore tellement la mise en scène improbable du tutu, dans la vie de desperate housewife de la file, que j’avais envie de partager avec vous.
C’est aussi ça l’Internet (n’importe quoi).

Crédit photos : ambrosialove

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Cocotte minute

Les copains, figure-toi que j’ai découvert l’autre jour que mon propriétaire était un people. Passé le moment de surprise et les 3 ou 4 dîners où tu sors ton anecdote à tes amis, j’avoue j’avais quasi oublié que j’habitais chez un gens du show biz. Pourtant ça y allait en « Ohhh !« , « Ah bon ?« , « Trop délire ! » et autres « Mais tu l’as vu ?« . Euh, on a dit propriétaire pas coloc’ les aminches…

Et puis, j’ai reçu un courrier de sa part au ton plus que condescendant. Genre je sais pas, il doit penser qu’il cause à sa maquilleuse ou que sais-je. Une vraie diva, en bref. Un gros con, en off. Alors ok, j’ai pas payé le loyer mais je croyais qu’il n’en avait pas besoin, en toute bonne foi.
Ca doit pas marcher si bien ses chansons*.

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Puissance et gloire

Les amis, l’autre fois je vous parlais que j’étais ambassadrice Reebok. Et bien ce n’était pas que des conneries, puisque je me suis mise « au sport » (oh le vilain mot) tant bien que mal. En vidéo toutefois. Faut pas exagérer. Donc j’ai rencontré mon coach virtuel, Ewa, qui telle Julie Pietri m’a sorti « Lève-toi« .

Histoire de commencer trendy coolos de l’amincissement, j’ai choisi le programme « Tonifiez vos abdos« . Croyez bien que y’a du boulot en la matière et que j’ai bien senti passer les exercices à chaque fois que je partais d’un rire franc la semaine suivante… C’est à dire 15 fois par jour au bas mot (je suis bon public).

Sinon, je voulais aussi revenir sur la course Odyssea à laquelle ont participé avec gloire 3 lectrices de SBEP, dimanche 3 octobre. Vous allez sûrement croire que je ne suis qu’une grosse tire-au-flanc si je vous annonce que j’ai été empêchée ce jour-là. Vous auriez tort, car c’est juste que Cyclamen a eu la bonne idée de faire péter un 40° de fièvre. Un coquard s’en va, une grippe qui s’éveille…
Par contre, je vous propose le débrief de cette course folle by Géraldine, Nina et La Baronne qui ont drôlement assuré et que vous pouvez retrouver face caméra ici.

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Breath

Chers poissons-lunes, je suis allée passer une radio des poumons y’a deux jours. Gloups et triple flip.
Oui parce que depuis 12 ans, je n’étais jamais repassée par la terrible case radiologique de peur que celle-ci ne soit illuminée de malchance. Au Monopoly de la vie, on est pas toujours proprios de luxueux hôtels, croyez-moi.

Bref, me voilà donc agonisant de terreur en salle d’attente quand, tout à coup, j’ai passé le coup de tweet à mes amis du 2.0 afin qu’ils me fassent rigoler avant de poser mon buste sur la plaque métallique glaciale.
Je dois reconnaître que la solidarité existe sur l’Internet et… la drôlerie aussi. J’aime tout particulièrement la vanne sur les blogueuses et le sac Balenciaga rouge. Comme quoi on peut être méchamment superficielles mais aussi lucides sur nos addictions modesques à quatre chiffres.

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