Coucher le premier soir, c’est moche !

En voilà un sujet transgénérationnel qu’il est sympa, non ? Becoz à 14 ans et demi, j’imagine que ça tourne en boucle sur la thématique sur ton skyblog kétrodelaballe, puis à 65 ans, comme tu t’es faite lourdée après 40 ans de vie commune et que tu t’es inscrite sur meetic sur les conseils avisés de ton amie Jeannine, j’imagine bien que les codes en la matière ça doit t’interloquer sévère !

Don’ worry, j’accours, je vole, je me hâte de te donner ma théorie sur cette question essentielle et épineuse. Vu le titre du billet, tu te doutes déjà que je vais pas te donner le feu vert pour aller te vautrer dans la luxure, qui plus est dans des draps douteux, dès le premier rencart. Toutefois, ne te méprends pas sur les raisons de mon désaccord en la matière.

Je me dois de te préciser que je ne suis pas coincée et que, dans l’absolu, tu fais bien ce que tu veux de ton corps de déesse. J’ai envie de te dire que les théories à 2 balles du café du commerce du genre « ouais, faut pas, sinon le mec te rappelle jamais, ça fait salope, bla bla... », ben on s’en tape, puisque tout ça c’est des conneries, on a dépassé le stade ! Non, ce dont je voudrais te causer aujourd’hui, c’est du charme de l’attente, de la douce torture du désir naissant que tu ne peux assouvir illico presto (coz tu vas adopter ma vision de la chose), tu vois un peu où je veux en venir ou bien (t’es esthéticienne) ?

Depuis des années, j’ai fait mienne la citation de Georges Clémenceau, dont la teneur est la suivante : « Le meilleur moment de l’amour, c’est quand on monte l’escalier« … (petit aparté de l’auteur : Juste pour celui qui me sort le « je m’en fiche j’ai un ascenseur« , ben te casses pas on me l’a déjà faite, même que j’avais ri jaune).

Donc où j’en étais ? Ouais donc, ben Georges, je suis totally agree avec toi t’as pas idée du niveau d’osmose et de conjonction saturnienne entre nos deux pensées ! C’est simple, j’en ai fait ma règle de conduite, mon credo et aujourd’hui, lecteur, j’aimerais que tu comprennes à quel point il avait tout bon Georges !

Entre nous, (c’est le temps qui s’enfuit, qui s’en fout. Fuc* Chimène, sors de ce corps !) qu’est-ce qui te fait le plus surkiffer, si ce ne sont ces délicieux « papillons dans le ventre » (traduction littérale du fumeux Frenchie « putain j’ai un noeud au milieu de l’estomac !« , plus gastroentérologique et fort logiquement moins über romanesque).

Ces papillons, donc, qui t’envahissent lors des prémices d’une rencontre amoureuse, fais les durer le plus longtemps possible, enfin dans le domaine du raisonnable hein, t’attends pas 1 mois non plus ! Tu auras compris que je ne parle pas ici des « coups d’un soir » ou « one shot » si tu préfères Englishiser pour faire « genre ».

Évidemment, dans ce cas-là, le précepte c’est de surtout coucher le premier soir ! Sinon, ben, c’est plus un one shot, t’es con ! Donc ouais, pour résumer, si tu veux faire durer ce moment d’hystérie bouillonnante intérieure, DON’T COUCHE ! Tu crois que ton mec a une maîtresse pour quelle raison ? Sûr que c’est pour retrouver cette sensation du début, j’ai envie de te dire. Et plus tu fais durer, meilleur c’est ! Et ça vaut aussi pendant l’acte sexuel.

T’as vu comme je rationalise le conseil en t’en donnant un autre de façon totalement anodine et déguisée ? Franchement, tu me dois tout !

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Un garçon au féminin, une fille au masculin

Ça faisait un moment que j’avais envie de te causer de ce phénomène très étrange nommé René-Charles.

Késako j’ai envie de te demander ? Koitesse cet enfant Roi qu’on dirait Louis XV, sauf que lui ce serait plutôt le Chevalier d’Eon si tu vois où je veux en venir.

Je pensais naïvement qu’on était débarrassés des nuques longues périodes début de gloire des footeux ou bien des « D’artagneries on ice » grotesques à la Candeloro, ben non en fait.

Là on a droit à une sorte d’hybride et sérieux je flippe grave pour cet enfant !

‘Tain puis t’as vu ce look de merde quoi !
Le mec se traîne exclusivement en jogging et pardon, mais là, Céline, si t’as tout dépensé ton fric du mois chez Chanel ou que ton grand-père, pardon ton mec, a craqué tes tunes sur les tapis verts de Végas, ben c’est pas de ma faute, mais assure le minimum syndical niveau shopping pour ton môme !

Ou bien customise le yogging en bling-bligant avec des chaînes en or qui brillent, fais-lui danser le M.I.A., fais un truc sinon on lance une pétition où qu’il faudra pas sauver willy, mais r’ny cette fois, et tu vois avoir des giga problèmes avec les services sociaux que tu feras moins ta maligne !

La suite … « Un garçon au féminin, une fille au masculin »

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L’ébriété, comment bien la gérer ?

Si ta boisson préférée est le Fanta Orange, passe ton chemin lecteur, ceci ne te concerne en rien et j’ai envie de te dire que ta vie doit être d’une tristesse que j’ai même pas envie de te rencontrer tellement tu vas me déprimer jusqu’à la nuit des temps.

En général, et tu le sais, je ne bois que du Champagne « high level« , non par snobisme intensif, je reste quelqu’un de très simple, mais parce que j’ai remarqué que plus tu montes en gamme, moins t’as la gueule de bois le lendemain matin.

Tiens d’ailleurs, pour ta culture personnelle, sais-tu que cette expression date du 18è ou 19è siècle (ouais t’as remarqué comme les mecs sont précis dans le temps, à 100 années près, moi je dis chapeau !) et que donc, ça voulait dire que tu avais la bouche aussi sèche que du bois, suite à un excès de libations la veille.
Bref, tu pourras replacer ça, un lendemain de cuite, vu que tes amis seront encore tous bourrés, tu passeras pour l’intellectuel de la bande, ce qui ne doit pas t’arriver très souvent, m’est avis, non ?

Alors oui, bon, picoler c’est supaire, sinon on s’emmerde trop dans les soirées, mais faudrait voir à maîtriser le concept, sinon c’est pas la über classe pour une fille et il risque même de t’arriver quelques petits tracas, du genre mains baladeuses dans la culotte si tu ne sais pas te tenir, et là, de fée, tu passes directement à la case pute, et reconnais que c’est moins trendy cool ?!

Moi, par exemple, tu vois, je gère parfaitement la féérie de mon attitude, même sacrément attaquée niveau alcoolémie, parce que je sais gérer, je ne passe quasi jamais du côté obscur de la force.

Le premier précepte c’est de ne pas mélanger les alcools. Le mieux c’est de rester au Champagne toute la soirée. Crois-moi tu ne te rendras compte que tu es complètement bourrée qu’une fois couchée dans ton lit (et parfaitement démaquillée, don’t forget !) quand ce dernier commencera à tourner.
Mais là tu t’en fous de rentrer dans la « case pute » vu que t’es seule !

Le second précepte, si malgré ça, tu sens, en cours de soirée, que tu vas basculer du côté de la « case pute », c’est d’alterner un verre d’eau / une coupe de Champ’ !
Ça marche ! C’est exactement ce que j’ai fait le jour de mon mariage, cauz‘ fallait quand même que j’assure, mais là, en fait c’est pas le meilleur exemple vu que j’aurais carrément mieux fait de me satelliser la tête si j’avais su que j’allais me faire larguer par le connard en costume PS (Paul Smith le costume hein, pas protège-slip !), à côté de moi, 3 ans après.

Si je te dis tout ça lecteur, c’est que Samedi soir, j’ai manqué au précepte n°1, j’ai bu des Metropolitan, mais je suis conne car je sais bien que la Vodka, je la maîtrise difficilement.
Bon en même temps, il faut aussi vivre dangereusement, je n’ai que 22 ans, merde !

Ne te tracasse pas, je ne me suis pas putisée, ma féerie en bandoulière j’ai su m’arrêter juste à la limite et assurer toute la soirée, sauf qu’il m’est arrivé un petit accident qui va me gâcher la vie pendant un mois.

Brièvement, car je n’aime pas trop raconter ma vie (je suis très pudique), après les Metropolitan, je suis allée dans un chouette appartement où j’ai bu un verre d’eau (application parfaite du précepte n°2), mais il m’est arrivé un truc pas topy topy du tout !

Alors là, je t’arrête tout de suite, non je ne me suis pas retrouvée chez Thierry Ardisson à partouzer comme une folle ; parfois j’ai beaucoup de peine, je me demande comment tu peux imaginer des trucs pareils alors que je suis mère de famille !

C’est juste que, nonobstant l’application du précepte n°2, je crois qu’il me restait quelques gouttelettes d’alcool dans le sang et j’ai trébuché sur la table très très basse over design à 3000 € au bas mot.
Je me retrouve aujourd’hui avec 2 charmants hématomes symétriques en bas de chaque jambe qui vont m’obliger pendant un mois (oui, je bleutise très facilement, j’ai la même carnation que Blanche-Neige) à porter soit un pantalon très long, soit un legging (appelé « fuseau » d’une façon so 80’s par le propriétaire du chouette appartement susnommé) et j’espère donc qu’une météo digne de la Toussaint s’abattra sur la France ces prochaines semaines.

Comme tu le constates donc, après mon brillant exposé, maîtriser son taux d’alcoolémie n’est pas chose aisée.
Le moindre faux-pas se paie très très cher, d’autant plus que Dimanche j’avais tellement la gueule de bois que j’ai failli oublier de voter, ce qui n’est pas beau, je te le concède.

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Where is Brian ?


Je m’attaque aujourd’hui à une montagne, que dis-je un volcan, une légende de nos récrés de quand on était en 6ème.Parce que putain, where is Brian quoi ?

Non parce que, à force d’être depuis un demi siècle « in the kitchen », le mec si il a pas plus d’étoiles que Ducasse et Hélène Darroze réunis c’est qu’il a vraiment un problème !
Le Brian, là, s’il maîtrise pas le Magret de canard frotté aux épices, c’est que vraiment il a 2 de QI et qu’il s’est vachement trompé dans son orientation scolaire ; à sa place je ferais un procès de malade à mes parents !

Est-ce à dire que nous avons eu pour référence, depuis des années, un débile profond ?
Brian est Anglais, je vous l’accorde, mais soyons magnanimes, c’est pas toujours une excuse !
Elle est belle l’Education Nationale hein ?Ou alors, tout ça est une vaste fumisterie

J’avoue ça me laisse perplexe depuis des années, cette histoire… Attends, moi quand Mme Claudert me demandait à 11 ans, « Violette, can you tell me where is Brian ? », ben comme à l’époque j’étais plutôt sage et adepte de la pensée unique, je répondais comme une niaise à Mme Claudert « Ben…euh… in the kitchen hein ? C’est ça ? », comme vous quoi, normal.
Sauf que, depuis, j’ai quand même trouvé quelques pistes qui tendent à montrer que depuis la 6ème B, on nous prend quand même méchamment pour des cons !

Rebellons-nous, il n’est pas trop tard ! Brian n’est pas (toujours) in the kitchen, voyez plutôt :

Brian DE PALMA
Lui désolé il est plutôt « in Holywood boulevard », donc quasi intouchable, enfin je dis ça, je dis rien, il s’est quand même tapé Ellie Medeiros, donc quand même open le Brian !

Brian FERRY
Il l’avoue lui-même, il est « slave to love » c’est à dire, si on sait lire entre les lignes, parce qu’on est intelligents, il aime bien le sexe un peu spécial si tu vois ce que je veux dire, il aime les soirées un peu coquines comment te dire, c’est plutôt au 2+2 ou aux Chandelles que tu trouveras ce coquinou de Brian !

Brian MOLKO
Bon lui c’est spécial, tu peux le trouver dans pleins d’endroits différents, enfin des cliniques privées qui traitent toutes sortes d’addictions et éventuellement, sachant qu’il est ingérable tu peux peut être le trouver traînant dans la cuisine, mais je crois pas qu’il y passe sa vie non plus…

Brian WILSON
Si, si, c’était un des membres du groupe The Beach Boys, ceux qui chantaient « all the leaves are brown (all the leaves are brown) and the sky is grey (and the sky is grey) » et là c’est clair que lui ne sera pas non plus in the kitchen, mais plutôt à Oahu, Pipeline ou carrément à Lacanau, si vraiment le mec est ruiné.

Brian
Ouais, Brian tout court. Celui qui, dans la mythologie celtique Irlandaise, serait le petit-fils d’Ogma, le Dieu de la magie
Là c’est carrément l’hallu j’ai envie de te dire on est en pleine Gérardmajaxerie Houdinesque (gougeulise lecteur si tu comprends rien c’est pas une honte, on peut pas toujours avoir les mêmes références) et là j’ai carrément envie d’envisager le fait que Brian c’est le pote de Patrick Sébastien (qui, grand partouzeur devant l’éternel doit également fréquenter le Brian N°2 dans les parties fines de la Capitale, voire des endroits plus glauques mais je ne veux pas trahir mes sources) et que, donc tu le trouveras dans le plus grand cabaret, sur France 2, le samedi soir.

Je te fais pas Brian du Boys Band « Alliage », je le laisse reposer en paix, faut pas déconner avec les Légendes !

Bon, CQFD, non ?
Moi je peux te dire que le « Imagine you’re English » je vais me faire un plaisir de te le déchirer page par page et de les faire bouffer à Xavier Darcos, ça va pas mettre longtemps !
C’est dément de tromper les jeunes cons qu’on était pendant si longtemps, non ?

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Si tu veux asseoir ton aura, de copines belles tu t’entoureras…

 

C’est important parce que, j’ai remarqué qu’il existe un type de « belle », qui ne s’entoure que d’essaims de copines moches, sous prétexte qu’elle croit, cette idiote, que sa beauté n’en paraîtra que plus éclatante aux yeux de la gent masculine.

« Que nenni », j’ai envie de vous dire.
Erreur de débutante, ai-je même envie d’ajouter…

En effet, ma théorie est la suivante : plus tu es de belles, plus on te mate, c’est l’effet ++
Si, au contraire, tu ne t’entoures que de moches, là, il y a tellement de –, que ça finit par effacer ton + !
Tu me suis, chère lectrice ? (lecteurs welcome as usual)

Pour résumer cette théorie, complexe je le concède, je dirais que t’entourer de thons n’est absolument pas valorisant, alors que fréquenter les bombes, ça participe du travail de reconquête narcissique entrepris depuis des années pour toute fille de 30/35 ans normalement constituée.
Si tu veux j’illustre pour que ce soit plus simple pour toi : est-ce que Kate fréquente des moches ? Hein ? Tu peux m’en citer une pour voir ? Ben non, Kate elle sort avec Stella, Sofia ou cette camée de Naomie, CQFD.

Quand on était étudiantes, ma meilleure amie A. et moi, on a fait l’expérience de la copine moche (mais attention hein, on l’a pas choisie non plus, c’est elle qui est venue et on ne l’a pas rejetée, c’est différent).
Mais alors, elle était vraiment moche hein !
On avait trouvé ce qui se faisait de pire sur le marché à l’époque.
C’était limite si on n’avait pas un peu honte, assises à côté d’elle à la terrasse des cafés où qu’on faisait nos études.
Bref, faut voir l’ingratitude qu’elle nous a témoignée celle conne ! Elle bavait dans notre dos, balançaient des horreurs sur notre compte, cette vipère.
Ça nous a laissé un tel trauma, que la moche, maintenant, on lui dit non merci, passe ton chemin, plus jamais ça !

Je vais donc te donner quelques avantages à ne fréquenter que des belles, et tu verras comment ta vie va changer lectrice ! (ça s’applique aux garçons, juste je vais pas le répéter à longueur de billet)

petit un) Déjà la belle ne te piquera jamais ton mec becauz’ elle en a déjà un, voire 2 ou 3 si elle est belle + salope (ça arrive).

petit deux) La belle te dira toujours que « mais si t’es belle, ça se voit pas » quand t’as un bouton au milieu du front, alors que la moche (aigrie par nature) se fera un malin plaisir à le hurler à la face du monde des fois qu’on l’aurait pas bien vu.

petit trois) La belle, ça ne la gênera pas de t’accompagner dans un endroit über branché de la Capitale où il n’y a que du top Russe de 15 ans, parce que vu qu’on est belles, on fait pas tâche du tout !
Alors que si tu y vas avec la moche, elle se verra refuser l’entrée et n’hésitera pas à te faire passer pour la pire salope si tu ne restes pas solidaire. Total, t’as raté une pure soirée !

petit quatre) Enfin la belle ne te colle jamais la honte dans une soirée remplie de jolis garçons.
La belle est classe, digne, lointaine et un peu hautaine, tellement c’est son quotidien.
La moche, elle, ne se faisant sauter que très rarement, elle va t’allumer tout ça d’une façon qui va en devenir gênante pour toi vu que, dixit Jean Jacques Goldman « ça fait bien loin que personne ne la touche ».

Voilà mes chéries, vous allez vite me larguer les copines moches qui vous collent aux Converse depuis trop de temps.
Ne prenez pas de gants : un sms du genre « je ne t’aime plus, bye » suffira.
Non, nous vous n’êtes pas inhumaines, croyez-moi sur parole, ils vous bavent dans le dos depuis trop longtemps ces vilains crapauds…

NDA : Je remercie de tout cœur Arno, pour l’illustration qu’il m’a offerte sans contrepartie, juste pour me faire plaisir (je veux dire par là, j’ai pas dû coucher ni payer pour l’obtenir, ce qui devient de plus en plus rare dans le chaud bise, je me devais de le souligner).
Je rajoute que je suis ravie qu’il ne laisse plus moribonder son blog, que je trouve hallucinant de pouvoir motiver des personnes à faire des trucs, moi qui suis la reine des feignasses.

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La WAG ou la femme de Footeux, comme on préfère…

 

Le nouveau terme qui nous vient de la perfide Albion, pour désigner les femmes de footbaleures, icônes de ce qui se fait de plus con et de plus décérébré, est WAG : Wifes and Girlfriends.
Littéralement, femmes et petites amies, dans la langue de Molière (pas Romain Duris, le vrai).Quel est donc l’intérêt de ce billet linguistique, du même acabit que « where is Brian ? » (in the kitchen, pour vous éviter de chercher dans toute la maison), vous demandez-vous ? Je vous réponds : aucun, rassurez-vous…

C’est juste pour vous donner un petit mot à placer dans les dîners entre copines, quand vous vous mettrez à parler de la tête de limande de Victoria Beckham ou, quand vous évoquerez la rumeur de l’hiver dernier comme quoi Véro, femme de Zidane, aurait été, comment dire…cocue, quoi….Pour vous, les garçons, c’est pareil, quand vous commenterez les résultats de la ligue 1, affalés sur le canapé en velours marron élimé de votre pote Régis (celui qui est un con), votre 16 à la main et que vous pourrez dire, l’air dégagé « Pff, y’en a marre de la surmédiatisation de toutes ces WAG », là vos amis vont vraiment halluciner et vous idolâtrer secrètement.

Oui, vous ne serez plus simplement un beauf ! Ce jour-là, vous deviendrez un über beauf grâce à moi, et ça change carrément tout !Si vous voulez pousser le débat un peu plus loin dans la soirée, sachez donc que la WAG par excellence n’est pas Victoria Beckham, comme on pourrait le croire aisément, ni Adriana Karembeu d’ailleurs, non, non, non !!!

Excusez-moi, mais je suis en train de me souvenir de la honte suprême, tombée sur un ami très cher, quand il s’est retrouvé dans la même pharmacie qu’Adriana, à Neuilly, pétrifié d’amour devant la déesse, et que le pharmacien a gueulé « c’est un thermomètre anal que vous voulez ?» et que lui, il n’a pu que répondre « non mais c’est pour ma fille, hein, c’est pas pour moi, elle a de la fièvre », vous imaginez le double grillage devant la Karembeu ?
(histoire véridique qui pourra vous être confirmée par écrit sur simple demande par imèle)

Donc, non, la pure WAG, c’est la fiancée de Wayne Rooney, enfant de Liverpool just like the Beatles, j’ai cité Coleen Mc Loughin, super connue en England et surtout super trash & pouf !

Z’allez me dire que Victoria est pouf aussi. J’acquiesce, mais Coleen est une pouf jeune, qui porte des joggings en éponge fuschia et qui fuck everybody becauz’ elle a touché le jackpot… Donc, voyez la nuance hein ? (si non, ben essayez quand même de la voir, je veux pas m’éterniser sur le sujet)

Voilà donc je ne vous colle pas la photo de la Coleen, vous chercherez vous-même dans gougeule, (le velours éponge ne va pas au teint de ma ligne éditoriale), histoire que vous puissiez la reconnaître dans les tribunes quand vous regarderez le match dans le poste et non, on ne me remercie toujours pas, mais par contre, on me vénère !

N.D.A : Si vous doutez de l’utilité Fashion de ce billet, je vous signale juste que que la WAG était vaguement évoquée dans le « Elle », cette semaine, alors faites pas les fines bouches, je vous analyse le dernier concept early hype, faudrait voir à pas trop pousser non plus…

 

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