L’appropriation du mot "legging" chez l’enfant

Je trouve que c’est important que les enfants s’approprient très tôt les mots de la langue Française qui comptent et qui vont les structurer dans leur vie d’adulte, plus tard, quand la vie est remplie d’emmerdes.

J’illustre mon propos de ce pas.

La semaine dernière, j’ai appris le mot « legging » à Cyclamen.

En 4 essais, elle a non seulement choppé la théorie, mais z’aussi la pratique : si c’est pas la digne fille de sa mère celle-ci !

Nous étions dans sa chambre en train de converser sur le bien fondé d’ouvrir la boite de pâte à modeler qui colle partout à 21h, quand, tout à coup (suspense, hein), elle voit dépasser de son tiroir de commode, une jambe de legging gris-taupe, taille 102 (4 ans en vrai), encore accompagné de son étiquette achénème « organic cotton » à 9,90 €.

Cyclamen : Ohhh maye gaude (cycla est à moitié English by son father)… c’est quoi ?

Violette : Un legging ma chérie !

Cyclamen : un légume ?

Violette : Try again

Cyclamen : un ligue un (sic) ?

Cyclamen: un liguine ?

Cyclamen : un legging ????

Violette : Wééééééééééé

Mais c’est au niveau de la pratique que la Cyclamen m’a carrément donné une leçon de mode que j’ose à peine en parler ici, tellement j’ai honte d’avoir été « eue » par une enfant de 3 ans.

Non parce que figurez-vous que la Cycla s’est jetée sur le legging pour l’essayer (bon, ok, ça baillait un peu au niveau des fesses mais c’est pas de sa faute, c’est l’héritage génétique qui veut qu’elle ait un petit cul), s’est dirigée d’un pas sûr et déterminé vers ses ballerines sans que j’intervienne et la voilà über Katemossienne en moins de 2 minutes.

Quoi ? Ben oui elle avait gardé son haut de pyjama en éponge jaune with poussins ! Et alors, le jaune c’est pas The couleur de l’été par hasard ?

Pfffff….

 

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La problématique du lavage de cheveux

Depuis toujours, je suis la risée de mes copines quand je leur explique comment je me lave les cheveux.
Parce que, oui, depuis que j’ai l’âge de laver ma somptueuse crinière toute seule, je n’arrive pas à combiner douche + lavage de cheveux.

Je vous explique le problème.
Mes ablutions se font toujours en deux temps : 1) je prends ma douche 2) je me sèche et je lave mes cheveux la tête penchée en avant au dessus de la baignoire.
La seule variante dans cette donnée est que le 1) et le 2) peuvent évidemment s’inverser, mais jamais au grand jamais fusionner.

Je sais que je perds un temps monstrueux, mais j’ai toujours eu les cheveux longs (sauf quand ma mère avait fait un test « jean Seberg » quand j’étais en 6ème et que tout le monde m’avait rejetée à l’école pendant 2 trimestres entiers et que j’ai tellement pleuré qu’elle s’en veut encore la pauvre, mais j’ai pardonné…) et donc je déteste quand le shampoing dégouline dans mon dos, ça me donne des frissons de dégoût total.

Puis comme je suis une maniaque du shampoo+post shampoo+soin, le temps que j’applique tout ça, j’ai super froid vu que je suis toujours à poil dans ma douche (vous me suivez ?), donc je me dépêche et mon nettoyage capillaire se trouve être bâclé !

J’aimerais donc savoir si ce rituel névrotique est partagé par certaines d’entre vous ou si vraiment je suis complètement brindezingue ?! Évidemment, je ne vous conseille pas de vous laver les cheveux à l’eau minérale même si, chez vous, votre eau est très calcaire !

Grandes ablutions : un rituel sacré pour l’hygiène et la sérénité

Alors, après avoir parlé lavage de cheveux et techniques pour éviter de finir avec un nid de paille sur la tête, passons à un sujet tout aussi important : les grandes ablutions. Vous savez, ce n’est pas juste une histoire de propreté, c’est un véritable rituel sacré dans la tradition islamique. Le gousl, c’est un peu comme offrir une cure thermale à son corps et à son âme après certains événements de la vie quotidienne comme les menstruations ou les rapports intimes. C’est fascinant de voir comment une simple routine de purification peut se transformer en un vrai moment de paix intérieure.

Il est naturel de se demander comment faire ses grandes ablutions pour femme tant que l’on n’a pas été informée sur la question. Ce rituel commence par une intention sincère de se purifier, puis on passe au lavage méthodique des mains, de la bouche et du nez. Ensuite, c’est le grand plongeon : une douche complète, mais pas n’importe comment ! Chaque partie du corps est lavée dans un ordre précis. Non seulement ça vous laisse une sensation de pureté, mais ça peut aussi devenir une sorte de méditation où chaque geste a une signification profonde. Bref, une pratique qui allie l’utile à l’agréable, tout en respectant les traditions.

Ablutions et soins capillaires : des rituels distincts, mais complémentaires

Alors, passons aux choses sérieuses. Comparer nos petits rituels de soins capillaires à celui des grandes ablutions, c’est un peu comme opposer un masque capillaire maison à un spa de luxe. D’un côté, on bichonne nos cheveux avec des produits high-tech, des astuces de grand-mère et beaucoup de patience. De l’autre, les grandes ablutions en Islam suivent un processus précis et sacré pour purifier le corps et l’esprit. Elles ne se contentent pas de nettoyer la peau, elles apportent une vraie paix intérieure.

Ce rituel spirituel peut sembler très différent de nos routines de soins capillaires, mais ils partagent un but commun : se sentir bien dans sa peau. Tandis que l’on choisit nos produits capillaires avec soin pour maintenir une chevelure éclatante, les grandes ablutions permettent de se reconnecter à soi-même et à sa foi. Cette pratique met en lumière l’importance de prendre soin de son corps et de son esprit, et offre une pause bienvenue dans notre quotidien souvent stressant. Pour explorer davantage cette tradition et ses bienfaits, n’hésitez pas à vous rendre sur des sites qui en parlent en détail. Vous découvrirez une manière unique de combiner purification et sérénité intérieure !

Non, ce n’est pas moi sur l’image qui accompagne ce billet, mais je dois reconnaître que cette jeune personne a copié allègrement ma coupe sans que je lui donne mon autorisation express.
Comme je suis magnanime, je ne lui en veux pas, c’est toujours agréable d’être un « modèle » pour les ptites jeunes…

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Lose ou réalité ?

Que ce soit dans les boutiques, au cinéma, ou au supermarket, j’ai l’impression d’avoir toujours la lose au niveau des queues !

Ça m’est encore arrivé hier midi, au Daily Monop, où j’ai choisi la queue de droite (5 personnes) qui m’a semblé, au prime abord, devoir normalement se consumer plus vite que celle de gauche (8 personnes).
Ben non, en fait !

Quand mon tour est arrivé, la caissière a merdouillé en tapant un prix, elle a dû appeler quelqu’un pour qu’il lui fasse une « annul », on a attendu 10 minutes et les 8 personnes de la queue de gauche étaient déjà loin quand j’ai envie pu payer mon frugal repas.

C’est dément quand même : très souvent il arrive un truc dans la queue que je choisis : plus de ruban pour la caisse enregistreuse, échange de fringue qui prend 3 plombes parce que la nana a grugé (elle a porté le vêtement et l’a lavé : honte sur elle et sur sa famille jusqu’à 3 générations), pétage de plombs dans la queue + intervention de la sécurité, discussion qui s’éternise entre la caissière et sa copine qui lui raconte sa life…

Alors, je ne sais pas si ça m’arrive réellement à chaque fois ou si tout le monde a sa dose de loose et ne se souvient que de ces moments-là et pas autres, ceux où tout se déroule normalement ??

C’est quoi vos expériences à vous lecteurs zé lectrices ?

« La vie est comme une queue de supermarché, lente, pas pratique et pleine de gens insupportables » Lucia Extebarria

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Dora l’exploratrice est-elle fashion ?

Comme ça, du tac au tac, j’ai envie de vous dire NON, Dora n’est pas fashion et son look est super naze !
Mais la première impression n’est pas toujours la bonne et je vais donc vous démontrer qu’en fait que si qu’elle est carrément modasse Dora !

Déjà, elle a un short. Ça fait quand même 6 mois qu’on nous rabâche, à longueurs de magazines de filles, que c’est the piece to have cet été.
Elle porte des stan smith blanches à scratch (classe, basique).
Elle porte la frange : c’était le top coiffure de l’hiver + un carré : c’est le it hair de l’été !
Les mini chaussettes de comme quand on était petites, je suis sûre que ce sera la pièce à avoir l’hiver prochain.

Voilà !

Quoi ? Ok, ya des trucs qui déconnent, mais chaque modeuse a eu son « fashion faux-pas« , non ?
Alors ok, le tee-shirt rose trop court, la montre de supermarché et le sac à dos, ça craint, mais pour une fois, soyons humaines !

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Goodbye Kitty

Je sais que si je ne vous expose pas ici, ce soir, ce qui me tracasse depuis un bon moment, je ne pourrais pas aller me coucher sereine (et c’est important le Dimanche soir).

Non, mais, on passe quand même souvent à côté de problèmes terribles qui, si on prenait le temps d’y réfléchir avec intelligence, pourraient être résolus bien plus souvent qu’on ne le croit !

Bon, franchement, est-ce que ce n’est pas débile comme prénom « hello Kitty » ?

Littéralement, imaginez juste un moment que vous vous appeliez, par exemple, « Bonjour Florence », parce que c’est ça en gros, même si Kitty n’est pas la traduction exacte de Florence, mais le problème est bien là, hein ?

Comprenez-moi, ce n’est pas le Kitty qui me gène, c’est le Hello.

C’est quand même bizarre ce prénom composé, non ? En plus, il n’y a même pas de tiret entre les 2 prénoms ?!? C’est super troublant…

Ou alors, je n’ai rien compris et il s’agit de son prénom et de son nom ?

C’est à dire, prénom = Hello / nom = Kitty ?

Si c’est le cas, c’est vraiment la misère pour cette pauvre fille, s’appeler bonjour, c’est vraiment pas gagné.

Si vous avez des infos sur ce sujet à polémique, je le concède, je suis preneuse.

Finalement, ça m’a donné super mal au crane cette histoire…

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Candy Neige-André, un cas social ?

J’avoue, j’ai du décrocher vers 1979.
Je crois que j’étais trop petite pour comprendre tous les imbroglios familiaux qui tournaient autour de cette pauvre Candy, donc j’ai lâché l’affaire.

J’ai découvert récemment une analyse psychologique du manga « Candy » (non, on ne se marre pas, c’est très sérieux) et là, j’ai appris un truc de malade !
Apparemment, à la toute fin de « Candy », on apprend que l’oncle William, M. Albert et le Prince des collines ne font qu’un : l’avenir romanesque de Candy est désormais bouché, son premier amour se trouve être son père adoptif, et les liens affectifs supplantent désormais les épanchements sentimentaux.

Alors, voilà, je suis un peu chiffonnée par tout ça et pas très rassurée, je l’avoue, par l’état de santé mental dans lequel doit se trouver cette pauvre Candy Neige-André (My god, quel nom de malade!).

Alors, si vous avez des news, faites passer…

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