HUMEURS

La problématique du lavage de cheveux

Depuis toujours, je suis la risée de mes copines quand je leur explique comment je me lave les cheveux.
Parce que, oui, depuis que j’ai l’âge de laver ma somptueuse crinière toute seule, je n’arrive pas à combiner douche + lavage de cheveux.

Je vous explique le problème.
Mes ablutions se font toujours en deux temps : 1) je prends ma douche 2) je me sèche et je lave mes cheveux la tête penchée en avant au dessus de la baignoire.
La seule variante dans cette donnée est que le 1) et le 2) peuvent évidemment s’inverser, mais jamais au grand jamais fusionner.

Je sais que je perds un temps monstrueux, mais j’ai toujours eu les cheveux longs (sauf quand ma mère avait fait un test « jean Seberg » quand j’étais en 6ème et que tout le monde m’avait rejetée à l’école pendant 2 trimestres entiers et que j’ai tellement pleuré qu’elle s’en veut encore la pauvre, mais j’ai pardonné…) et donc je déteste quand le shampoing dégouline dans mon dos, ça me donne des frissons de dégoût total.

Puis comme je suis une maniaque du shampoo+post shampoo+soin, le temps que j’applique tout ça, j’ai super froid vu que je suis toujours à poil dans ma douche (vous me suivez ?), donc je me dépêche et mon nettoyage capillaire se trouve être bâclé !

J’aimerais donc savoir si ce rituel névrotique est partagé par certaines d’entre vous ou si vraiment je suis complètement brindezingue ?! Évidemment, je ne vous conseille pas de vous laver les cheveux à l’eau minérale même si, chez vous, votre eau est très calcaire !

Non, ce n’est pas moi sur l’image qui accompagne ce billet, mais je dois reconnaître que cette jeune personne a copié allègrement ma coupe sans que je lui donne mon autorisation express.
Comme je suis magnanime, je ne lui en veux pas, c’est toujours agréable d’être un « modèle » pour les ptites jeunes…

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Lose ou réalité ?

Que ce soit dans les boutiques, au cinéma, ou au supermarket, j’ai l’impression d’avoir toujours la lose au niveau des queues !

Ça m’est encore arrivé hier midi, au Daily Monop, où j’ai choisi la queue de droite (5 personnes) qui m’a semblé, au prime abord, devoir normalement se consumer plus vite que celle de gauche (8 personnes).
Ben non, en fait !

Quand mon tour est arrivé, la caissière a merdouillé en tapant un prix, elle a dû appeler quelqu’un pour qu’il lui fasse une « annul », on a attendu 10 minutes et les 8 personnes de la queue de gauche étaient déjà loin quand j’ai envie pu payer mon frugal repas.

C’est dément quand même : très souvent il arrive un truc dans la queue que je choisis : plus de ruban pour la caisse enregistreuse, échange de fringue qui prend 3 plombes parce que la nana a grugé (elle a porté le vêtement et l’a lavé : honte sur elle et sur sa famille jusqu’à 3 générations), pétage de plombs dans la queue + intervention de la sécurité, discussion qui s’éternise entre la caissière et sa copine qui lui raconte sa life…

Alors, je ne sais pas si ça m’arrive réellement à chaque fois ou si tout le monde a sa dose de loose et ne se souvient que de ces moments-là et pas autres, ceux où tout se déroule normalement ??

C’est quoi vos expériences à vous lecteurs zé lectrices ?

« La vie est comme une queue de supermarché, lente, pas pratique et pleine de gens insupportables » Lucia Extebarria

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Dora l’exploratrice est-elle fashion ?

Comme ça, du tac au tac, j’ai envie de vous dire NON, Dora n’est pas fashion et son look est super naze !
Mais la première impression n’est pas toujours la bonne et je vais donc vous démontrer qu’en fait que si qu’elle est carrément modasse Dora !

Déjà, elle a un short. Ça fait quand même 6 mois qu’on nous rabâche, à longueurs de magazines de filles, que c’est the piece to have cet été.
Elle porte des stan smith blanches à scratch (classe, basique).
Elle porte la frange : c’était le top coiffure de l’hiver + un carré : c’est le it hair de l’été !
Les mini chaussettes de comme quand on était petites, je suis sûre que ce sera la pièce à avoir l’hiver prochain.

Voilà !

Quoi ? Ok, ya des trucs qui déconnent, mais chaque modeuse a eu son « fashion faux-pas« , non ?
Alors ok, le tee-shirt rose trop court, la montre de supermarché et le sac à dos, ça craint, mais pour une fois, soyons humaines !

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Goodbye Kitty

Je sais que si je ne vous expose pas ici, ce soir, ce qui me tracasse depuis un bon moment, je ne pourrais pas aller me coucher sereine (et c’est important le Dimanche soir).

Non, mais, on passe quand même souvent à côté de problèmes terribles qui, si on prenait le temps d’y réfléchir avec intelligence, pourraient être résolus bien plus souvent qu’on ne le croit !

Bon, franchement, est-ce que ce n’est pas débile comme prénom « hello Kitty » ?

Littéralement, imaginez juste un moment que vous vous appeliez, par exemple, « Bonjour Florence », parce que c’est ça en gros, même si Kitty n’est pas la traduction exacte de Florence, mais le problème est bien là, hein ?

Comprenez-moi, ce n’est pas le Kitty qui me gène, c’est le Hello.

C’est quand même bizarre ce prénom composé, non ? En plus, il n’y a même pas de tiret entre les 2 prénoms ?!? C’est super troublant…

Ou alors, je n’ai rien compris et il s’agit de son prénom et de son nom ?

C’est à dire, prénom = Hello / nom = Kitty ?

Si c’est le cas, c’est vraiment la misère pour cette pauvre fille, s’appeler bonjour, c’est vraiment pas gagné.

Si vous avez des infos sur ce sujet à polémique, je le concède, je suis preneuse.

Finalement, ça m’a donné super mal au crane cette histoire…

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Candy Neige-André, un cas social ?

J’avoue, j’ai du décrocher vers 1979.
Je crois que j’étais trop petite pour comprendre tous les imbroglios familiaux qui tournaient autour de cette pauvre Candy, donc j’ai lâché l’affaire.

J’ai découvert récemment une analyse psychologique du manga « Candy » (non, on ne se marre pas, c’est très sérieux) et là, j’ai appris un truc de malade !
Apparemment, à la toute fin de « Candy », on apprend que l’oncle William, M. Albert et le Prince des collines ne font qu’un : l’avenir romanesque de Candy est désormais bouché, son premier amour se trouve être son père adoptif, et les liens affectifs supplantent désormais les épanchements sentimentaux.

Alors, voilà, je suis un peu chiffonnée par tout ça et pas très rassurée, je l’avoue, par l’état de santé mental dans lequel doit se trouver cette pauvre Candy Neige-André (My god, quel nom de malade!).

Alors, si vous avez des news, faites passer…

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Toutes des putes ?

Depuis le 1er février 2007, on ne peut plus fumer (entre autre) dans nos bureaux.

Soit !

En même temps, c’est sympa aussi de se taper 3 étages dans un ascenseur pourri pour aller en griller une, se faire draguer par le gardien de l’immeuble qui guette chaque pause clope des minettes des bureaux et qui nous gratifie d’un « ça va ma puce ? » paternel.

C’est sympa aussi quand on décide de faire 15 mètres de plus pour sortir de la cour grisâtre et s’aventurer dans la rue prendre les premiers rayons du soleil, la clope au bec.

Le seul petit problème, c’est que dans ma rue, ya pas de cinglés du jogging, ni d’amoureux du lèche vitrines, mais des femmes de petites vertus.

Alors la confusion devient facile pour tous ces hommes en quête de chaleur humaine, dès qu’ils voient une femme (sublime) en mini-jupe et bottes, fumant sa clope au soleil (moi, donc!).

Alors, qu’est-ce que je fais moi ? J’arrête de fumer ? Je vais bosser en jogging ? Je reste dans la cour sinistre de l’immeuble ?

Je prends 500 € ?

Ohhh, ça va, j’déconne !

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