Depuis toujours, je suis la risée de mes copines quand je leur explique comment je me lave les cheveux.
Parce que, oui, depuis que j’ai l’âge de laver ma somptueuse crinière toute seule, je n’arrive pas à combiner douche + lavage de cheveux.
Je vous explique le problème.
Mes ablutions se font toujours en deux temps : 1) je prends ma douche 2) je me sèche et je lave mes cheveux la tête penchée en avant au dessus de la baignoire.
La seule variante dans cette donnée est que le 1) et le 2) peuvent évidemment s’inverser, mais jamais au grand jamais fusionner.
Je sais que je perds un temps monstrueux, mais j’ai toujours eu les cheveux longs (sauf quand ma mère avait fait un test « jean Seberg » quand j’étais en 6ème et que tout le monde m’avait rejetée à l’école pendant 2 trimestres entiers et que j’ai tellement pleuré qu’elle s’en veut encore la pauvre, mais j’ai pardonné…) et donc je déteste quand le shampoing dégouline dans mon dos, ça me donne des frissons de dégoût total.
Puis comme je suis une maniaque du shampoo+post shampoo+soin, le temps que j’applique tout ça, j’ai super froid vu que je suis toujours à poil dans ma douche (vous me suivez ?), donc je me dépêche et mon nettoyage capillaire se trouve être bâclé !
J’aimerais donc savoir si ce rituel névrotique est partagé par certaines d’entre vous ou si vraiment je suis complètement brindezingue ?! Évidemment, je ne vous conseille pas de vous laver les cheveux à l’eau minérale même si, chez vous, votre eau est très calcaire !
Grandes ablutions : un rituel sacré pour l’hygiène et la sérénité
Alors, après avoir parlé lavage de cheveux et techniques pour éviter de finir avec un nid de paille sur la tête, passons à un sujet tout aussi important : les grandes ablutions. Vous savez, ce n’est pas juste une histoire de propreté, c’est un véritable rituel sacré dans la tradition islamique. Le gousl, c’est un peu comme offrir une cure thermale à son corps et à son âme après certains événements de la vie quotidienne comme les menstruations ou les rapports intimes. C’est fascinant de voir comment une simple routine de purification peut se transformer en un vrai moment de paix intérieure.
Il est naturel de se demander comment faire ses grandes ablutions pour femme tant que l’on n’a pas été informée sur la question. Ce rituel commence par une intention sincère de se purifier, puis on passe au lavage méthodique des mains, de la bouche et du nez. Ensuite, c’est le grand plongeon : une douche complète, mais pas n’importe comment ! Chaque partie du corps est lavée dans un ordre précis. Non seulement ça vous laisse une sensation de pureté, mais ça peut aussi devenir une sorte de méditation où chaque geste a une signification profonde. Bref, une pratique qui allie l’utile à l’agréable, tout en respectant les traditions.
Ablutions et soins capillaires : des rituels distincts, mais complémentaires
Alors, passons aux choses sérieuses. Comparer nos petits rituels de soins capillaires à celui des grandes ablutions, c’est un peu comme opposer un masque capillaire maison à un spa de luxe. D’un côté, on bichonne nos cheveux avec des produits high-tech, des astuces de grand-mère et beaucoup de patience. De l’autre, les grandes ablutions en Islam suivent un processus précis et sacré pour purifier le corps et l’esprit. Elles ne se contentent pas de nettoyer la peau, elles apportent une vraie paix intérieure.
Ce rituel spirituel peut sembler très différent de nos routines de soins capillaires, mais ils partagent un but commun : se sentir bien dans sa peau. Tandis que l’on choisit nos produits capillaires avec soin pour maintenir une chevelure éclatante, les grandes ablutions permettent de se reconnecter à soi-même et à sa foi. Cette pratique met en lumière l’importance de prendre soin de son corps et de son esprit, et offre une pause bienvenue dans notre quotidien souvent stressant. Pour explorer davantage cette tradition et ses bienfaits, n’hésitez pas à vous rendre sur des sites qui en parlent en détail. Vous découvrirez une manière unique de combiner purification et sérénité intérieure !
Non, ce n’est pas moi sur l’image qui accompagne ce billet, mais je dois reconnaître que cette jeune personne a copié allègrement ma coupe sans que je lui donne mon autorisation express.
Comme je suis magnanime, je ne lui en veux pas, c’est toujours agréable d’être un « modèle » pour les ptites jeunes…