Le shampoing solide : pour qui ?

Économiques, naturels et plus respectueux de l’environnement, les shampoings solides font fureur. En effet, de plus en plus de femmes, y compris moi, ont décidé de troquer leur shampoing traditionnel pour un shampoing solide. C’est un moyen de réduire son empreinte écologique tout en prenant soin de ses cheveux.

Au charbon végétal, aux agrumes, à la menthe, ces soins capillaires se déclinent en une multitude de variétés. Pour tirer profit de tous les bienfaits d’un shampoing solide, il est important de choisir la bonne formule selon votre type de cheveux.

Comment bien choisir un shampoing solide pour ses cheveux ? Comment sont-ils fabriqués ? Sont-ils adaptés aux bébés ? Je vous éclaire aujourd’hui sur ces soins capillaires qui nous veulent du bien.

Quel shampoing solide pour les cheveux bouclés ?

Les cheveux bouclés ont besoin d’un traitement spécifique. En effet, malgré leur aspect esthétique, les cheveux bouclés sont souvent fragiles en raison de leur nature. Que vos cheveux soient ondulés, frisés ou crantés, ils ont besoin d’une nutrition et d’une hydratation intenses. Il est très important d’éviter de les agresser.

Choisissez plutôt un shampoing doux qui nettoie au lieu de décaper vos cheveux. L’utilisation d’un shampoing pour cheveux bouclés vous aidera à apporter les nutriments dont votre chevelure a besoin, tout en conservant la beauté de vos boucles. Privilégiez les shampoings solides contenant des huiles hydratantes et nutritives comme l’huile de coco, d’argan, d’avocat, de jojoba, de baobab ou de ricin.
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Premier Cru

Hello les jeunes ! Aujourd’hui je vais vous parler de façon détaillée de la gamme Premier Cru de Caudalie, qui est une gamme anti-âge plutôt dédiée aux peaux matures (oui, vous êtes concernées ne détournez pas le regard !).
Et comme tous les produits Caudalie, elle est sans parabènes, phénoxyéthanol, phtalates, huiles minérales et ingrédients d’origine animale.

Je connais très bien la crème yeux et le sérum, que j’utilise régulièrement depuis des années et que je trouve donc très efficaces. En revanche je n’avais encore jamais croisé la route des trois autres produits Premier Cru avant que Caudalie ne me les envoie dans le cadre de cette collaboration. Je les ai donc tous testés, et voilà mon ressenti.

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Quel parfum pour une ado fille ?

parfum ado

Quand j’étais au lycée, je changeais de parfum aussi souvent que de petit copain (c’est dire !). Pendant mes études supérieures, en Bachelor création numérique, c’était la même chose.

C’est finalement rassurant de constater qu’une – toute petite – poignée d’années plus tard, rien n’a vraiment changé.

En effet, la descendance n’est pas fidèle niveau parfum. Depuis qu’elle s’intéresse au sujet, on doit en être à une bonne quinzaine de références parfumées. Et pas toujours du meilleur effet pour certaines (dit la fille qui a porté « Poison » de Dior à 15 ans)(…). Rien que d’y repenser j’ai le mal des transports

A quelques jours de la Noël, j’ai pensé qu’il serait intéressant de vous donner quelques pistes pour trouver un parfum ado fille, surtout pour celles qui sèchent et ont peur de rendre copie blanche sous le sapin. Cette année, la descendance a jeté son dévolu sur Black Opium de Yves Saint Laurent, plutôt rock et sophistiqué. Le genre de parfum qui ne laisse pas indifférent. Comme elle <3

Avant ça, elle en a testé des dizaines d’autres parfums pour ado. La belle-descendance aussi. Voilà donc notre Top ! La suite … « Quel parfum pour une ado fille ? »

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Le Phyto teint ultra éclat Sisley

Le début de l’automne est le moment que je préfère dans l’année (fin de l’été, pour les puristes calendaires). Je m’éclate du vestiaire parce que je peux porter vestes et blazers jusqu’à l’overdose. Et voyez-vous, je suis une fille à vestes. Définitivement.

Ça n’est pas tout ! J’aime aussi, après 3 ou 4 mois de teint presque nu, – cette année, j’ai viré le fond de teint dès avril, au retour de la Californie – retrouver tous mes essentiels de make-up. Et notamment le fond de teint.

Attendez, je vais faire une métaphore dont vous me direz des nouvelles : c’est comme si la toile vierge de l’été laissait soudainement sa place à une aquarelle de Marie Laurencin (alors ???!)(c’est beau, non ?).

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Le sérum Bonne Mine d’Embryolisse : mon avis

Salut les jeunes. En février dernier, je vous parlais de cette découverte fantastique, le stick défatigant regard de chez Embryolisse. Est-ce que certaines d’entre vous l’ont essayé depuis ? Moi, j’entame mon deuxième stick et j’ai converti quelques copines ; j’avoue, je ne suis pas peu fière de cette trouvaille !

Enfin, bref. Voilà une nouvelle petite bombe, que la marque a sorti le mois dernier et que je me suis empressée de tester : le sérum Bonne Mine.

Il s’utilise comme un sérum classique, c’est à dire avant la crème de jour, et 1 à 2 pressions suffisent pour avoir la bonne dose à appliquer. Très hydratant, mais sans corps gras, il défroisse la peau instantanément, la lisse et la repulpe.

C’est un vrai coup de peps, visible à l’oeil nu, la baguette de fée des matins chafouins et des teints chiffonnés.

J’ai personnellement constaté un vrai éclat + un lissage de mon teint dès le premier matin. Et surtout un réel effet tenseur, ce qui ne fait jamais de mal quand on a tout juste dépassé la trentaine. (…)
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À L’Atelier Blanc de Frédéric Mennetrier

Juste avant de partir en vacances en Californie, je suis passée entre les mains du célèbre coloriste Frédéric Mennetrier à L’Atelier Blanc. Entre ses mains expertes passent régulièrement Alexa Chung, Bella Hadid ou Eva Green, et caetera de la sphère people.

Je voulais éclaircir mes cheveux de façon subtile, sans reflets trop chauds genre coucou le renard (ma hantise), et sans les flinguer. Je vous assure que cette équation est très dure à réaliser ; je n’avais jamais réussi jusque là à trouver un coloriste qui puisse cocher ces 3 critères haut le peigne (AH AH AH QUEL HUMOUR).

La seule fois de ma vie où j’ai eu les cheveux à la limite du blond, c’était en janvier 2018, juste avant de partir en vacances en Thaïlande. En y repensant je me dis que c’est quand même étrange cette envie d’éclaircie récurrente liée aux voyages lointains… La blague a duré 15 jours.

En Thaïlande, j’évitais de croiser mon reflet dans le miroir tellement je ne me reconnaissais pas (c’est qui cette blondasse aux cheveux en paille ?) et j’avais même appelé mon coiffeur depuis Bangkok pour qu’il me prenne en urgence le jour de mon retour en France.
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