La flemme chez les adolescents

La vie est mal faite. Quand l’enfant a 3 ou 4 ans, votre donneriez un bras pour qu’il vous laisse dormir jusqu’à 7:30 le dimanche matin – Oh chéri, miracle, il est 7:00 et elle dort encore ! Viens, dansons la carmagnole du repos du guerrier ! -. 

Dix ans plus tard, vous êtes obligé de les appeler vingt fois pour qu’ils émergent difficilement avant 13:00. Il paraît que c’est plus ou moins hormonal. Je ferais plutôt tapis sur la flemme, gimmick favori de la descendance depuis 2 ou 3 ans.

Ah, la flemme ! Celle qui vous cloue au canapé, qui vous empêche littéralement de vider le lave-vaisselle (ça va, je l’ai déjà fait le mois dernier !), d’étendre le linge qui stagne dans la machine depuis 24h, de ramasser l’agglomérat de groles qui squatte l’entrée.

Celle qui vous oblige à laisser vos cotons dégueulasses après le passage de l’ huile démaquillante, sur le rebord du lavabo, qui vous force à enfiler deux chaussettes différentes parce que c’est quand même super chaud de chercher l’orpheline au fond d’un tiroir.
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Idée de stage de 3ème

Début janvier, la descendance a fait son stage de 4ème (dans son collège ils font un stage d’observation en entreprise en 4ème ET en 3ème, ne me demandez pas pourquoi)(comment ça j’ai pas demandé non plus ?).
Elle l’a fait à Paris, chez Skyrock, et autant vous dire que niveau points de popularité et effet wahou dans son entourage, elle a tout explosé.

D’ailleurs, pour information, les dates du stage de 3ème sont cette année du 6 au 10 février 2023. Donc, vous pouvez déjà commencer à chercher !

Han tu vas voir Jul / Han tu vas parler dans la radio / Han tu vas déjeuner avec Orelsan / Han mais t’as couché avec qui ? (c’est pas moi c’est ma mère)(<=on peut encore déconner ou bien ?)
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La fièvre (nippone) du samedi soir

L’an dernier, à peu près à la même époque, j’avais écrit un article que je chéris tout particulièrement : Une mèche de cheveux. Alors qu’il n’y a pas pire critique que moi envers tout ce qui est posté ici, j’avais même choisi de l’insérer dans mon guide sur l’adolescence. C’est dire…

Si je vous en parle c’est parce qu’on vient tout juste de passer un week-end quasi identique, à Paris. Mes sentiments contradictoires à l’égard de la capitale s’évanouissent toujours à l’approche de Noël, dès que les décorations apparaissent et que la foule se presse dans les grands magasins. En décembre, il y a dans cette ville une sorte d’électricité dans l’air terriblement excitante. Ce qui permet de mettre la campanule entre parenthèses pour profiter des lumières de la ville avec la descendance. Youpi.

Vu le froid polaire le week-end dernier, on avait envisagé un truc plutôt glandouille à base de pyjama jusqu’à plus soif, films à la con et repas anarchiques sur la table basse avec les miettes partout on s’en fout. Sans me vanter, on a respecté ces résolutions – pas faciles – dans les grandes lignes.

Et puis, comme la descendance est une fine bouche et que son repas préféré au monde ce sont les brochettes boeuf/fromage du japonais (Tremble Mercotte !) j’ai dit « En avant la gastronomie », j’ai cassé le PEL et on a quitté nos pyjamas pour nous plonger dans les plaisirs nippons.
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La nuit je mens…

Depuis quelques temps, vous avez dû remarquer que je n’aborde plus trop l’épineux sujet de la descendance sur ces pages ; la raison est très simple, tout va plutôt bien dans le meilleur des mondes.

Bien sûr, durant tout le mois de septembre j’ai eu un petit coup de mou et un gros océan de culpabilité à gérer. La faute à l’été, aux vacances j’oublie tout sûrement. C’est qu’il n’est pas toujours simple de laisser son bébé, même quand il a 13 ans.

L’année dernière, à peu près à la même époque, je vous racontais une expérience unique : ma première réunion parents/professeurs en campanule. Vous aviez bien rigolé avec le prof d’histoire/géo qui puait, si je me souviens bien – vous n’étiez vraiment pas charitables.

Cette année, la réunion c’était hier soir. Le prof d’histoire/géo qui puait s’est transformé en une prof d’histoire/géo qui sentait plutôt bon – enfin rien d’alarmant -, et qui portait une jupe longue effet patchwork assez improbable avec des grandes bottes époque 70’s. Pas d’inspiration 70’s hein, D’ÉPOQUE.
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Des idées de cadeaux pour une adolescente

idees cadeaux ado

Ce contenu a été mis à jour le 2 décembre 2023

Les amies, 2021 sera l’année du Noël anticipé ou ne sera pas, je l’ai décidé. Du coup, je vais commencer dès aujourd’hui ma série d’idées de cadeaux de Noël pour une l’adolescente !

Également, vous pouvez retrouvez ici ma sélection d’idées cadeaux de noel 2023 pour une ado fille !

Pourquoi ? Et bien parce que j’ai reçu pas mal de demandes sur le sujet via messages privés, et puis surtout je possède deux exemplaires à la maison : une descendance de 13 ans et une belle-descendance de 14 ans. Du coup je pense connaître à peu près les objets de leurs (trop nombreux) désirs mais, comme d’habitude, si vous souhaitez apporter de l’eau au moulin du Père Noël, vos idées sont plus que bienvenues ! La suite … « Des idées de cadeaux pour une adolescente »

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Au poil ! Comment se rasent les adolescentes.

Chez la femme, l’adolescence c’est un peu le chemin de croix sur lequel on croise plein de choses charmantes : les règles, le début de la pilosité, les boutons, les humeurs qui font les montagnes russes.

Depuis que Cyclamen est toute petite, je l’ai toujours mise à l’aise avec l’intimité. Je n’ai jamais esquivé une seule question sur ces sujets, souhaitant plus que tout qu’elle soit à l’aise avec sa féminité à venir, même et surtout concernant les problématiques citées plus haut.

Pour moi, c’est une des multiples clés de la confiance en soi. Elle n’aura sûrement pas le trousseau complet mais, au moins, elle aura débloqué la porte des tabous féminins (<= tu te crois dans Fort Boyard ?).

La première chose qui l’a intriguée, très tôt, ce sont les règles. A 5 ou 6 ans, elle me posait déjà plein de questions – est-ce que ça fait mal, ça dure combien de temps, etc…

Et allez, parce que c’est vous je vous raconte cette anecdote ultime, celle dont on parle encore toutes les deux en éclatant de rire (mais chut ne le dites à personne) : à cette époque, elle est entrée un jour dans les toilettes que j’étais en train d’occuper et m’a demandé, les yeux brillants d’excitation : « Moi aussi un jour, je pourrai mettre une ficelle dans mon cucul ?« 

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