Non, je déconne.
Salut, c’est über.
Aujourd’hui, pour fêter le 500ème billet que voilà sur ce blog étincelant, attardons-nous sur la problématique du quid de l’envie subite de faire pipi dans un endroit où c’est pas pratique de se soulager.
J’entends dans une rue un peu déserte en shopping places ou dans une forêt super fréquentée, sinon l’histoire va pas être rigolote si vous me collez un bar tous les trois pâtés d’apparts.
Oui Brian, ça voudrait dire qu’on entre dans le premier troquet pour pisser et que donc, y’aurait pas de questionnement, du coup, ni de billet.
Ca s’arrange pas, lui.
Notez comme c’est compliqué de planter une ambiance et j’espère que désormais, personne ne piquera son roupillon pendant la cérémonie des Césars, quand ce sera le prix du meilleur décor.
Récemment, nous, quelques gens de la blogosphère, on a participé au tournage d’un teaser pour une émission de Paris Première, diffusée tout au long durant de la fashion semaine (comme ils disent).
Le concept, c’était que Xavier Desmoulins va trop vite (car le meunier y dort) dans sa caisse, il traverse Paris, passe devant nous (les quelques gens de la blogosphère) et on lui fait des signes étranges.
Attends, pas des kikoo, non, non, des signes classieux.
Nous avec l’HDA (on était en couple, vous allez voir), on nous avait attribué comme signe qu’on avait les mains sur les oreilles.
On a répété pendant une heure tant et si bien que par 3 fois, des badauds nous ont questionné si des fois, on aurait pas une otite, stade terminal.
Oui, on l’avait l’air con.
Oui, on avait froid.
Oui, on ne me reconnaît pas du tout. Je sais pas ce qui s’est passé, comme si Belphégor avait investi mon enveloppe corporelle. La vraie, pas Sophie Marceau.
Oui, on avait faim. Et on rêvait d’un club-sandwich. Qu’on a payé 10 €, plus tard dans la soirée. Tu me diras pour Le Fumoir, c’est pas cher payé le club-sandwich. Certes.
CQFD.
En même temps, c’est du pain de mie grillé avec du tintouin dedans, pas de quoi alerter Marc Veyrat.
Non, je dis ça parce que, par exemple, à l’Etienne Marcel, il est à 15 € et il est moins bon. Mais ça c’est parce qu’il y a beaucoup de pédés et qu’ils ont un gros pouvoir d’achat, eux !
Enfin, on va pas faire une thèse sur le snacking à Paris, c’est pas le sujet.
Tout ça pour dire qu’on l’a payé 10 €, nous.
Bien.
Je crois que l’on s’est à peu près tout dit.
Salut, c’est Paul Newman.
(lol)
Sais-tu que la vie de blogueuse influeuse n’est pas si rose que le carrosse de Barbie Princesse ? Que c’est pas toujours siouper Michel ?
Vous rendez-vous compte que notre quotidien n’est pas toujours fait d’amuses-bouche, de champagne et que Father Christmas ne dring pas tous les jours à notre porte blindée ? Parfois, comme la soeur Anne, on ne voit nenni venir.
Alors, essayons-nous à la Maïeutique, vidons notre sac Dreyfuss et couchons notre désappointement à l’aide de notre clavier, un brin dégueulasse, il faut bien l’avouer.
La vérité, on dirait que des hamsters y ont élu demeure tellement qu’il est crade, lui. Enfin tu me connais, passez du coton-tige entre l’azerty, c’est pas dans mon projet de vie.
Récemment, ici même, on asseyait notre grosseur.
Aujourd’hui, asseyons notre douleur.
Gens du week-end, je vous l’assure, Karl Lagerfeld n’a rien à envier à l’ami Borian Vian qui ne fréquentait que des baronnes aux noms comme des trombones.
C’est en lisant son interview dans le ELLE de cette semaine que j’ai eu mon plus gros fou rire du mois (je ne suis pas si bon public que ça, finalement). Ce mec touche les étoiles de la snobitude en s’émerveillant d’un lapsus réalisé lors du susnommé entretien journalistique.
Good morning Paris.
Good morning les autres.
Parlons peu, regardons mieux.
Récemment, sur ce merveilleux espace d’expression, j’avais collé deux illustrations d’un artiste que j’idolâtre plus que de raison du plus fort.
Je sais ça fait un choc thermique pour vous, gens qui croyaient que ma misanthropie n’avait d’égale que ma melonite démesurée.
Que nenni ! On vous a trompé sur la marchandise épistolaire puisque j’aime. J’entends hors Iphone et nouvelles bottes motardes.
Alors pourquoi un billet sur un artiste, vous vous demandez, puisque ici en général, on fait rarement dans le la culture option Télérama ? Est-ce par flemmardise ? Sont-ce que c’est vendredi et qu’on est déjà, comme l’hirondelle qui s’envole à tire d’aile, loin des écrans 23 » ?
Sont-ce qu’en fait, suite à la parution de ces illustrations sur ce blog, j’ai été inondée de mails (trois) me demandant le koitesse de ce mec qui fait des trucs terribles comme ça ! Croulant sous l’empaquetage de ma garde-robe en prévision du glissement vers un autre terrain de vie, je ne puis répondre à tous ces (trois) gens individuellement.
Bien, donc, ce mec c’est Ray Caesar, un Britannique un poil déjanté, et si vous ne connaissez pas encore son oeuvre, je vous invite courtoisement à cliquer sur les vignettes qui, grâce à l’Internet mondial, s’ouvriront en grandiose, comme par magie. Gérard Majax est passé donner un coup de main.
Voilà.
Fini.
Je vais faire caca.