Restaurant Le cul de poule

Bonjour la province !
T’as eu du mal à faire démarrer ta caisse ce matin ?
T’as qu’à pas bosser, comme tout le monde.

C’est pour raconter que dernièrement, y’a un blogueur qui m’invite à déjeuner, genre pour « faire connaissance ». Voyez le style de comment il croyait noyer le poisson sur des envolées de gentleman.
Son nom ? Il le signe à la pointe de l’épée, d’un CDP, qui veut dire « Chroniques du plaisir ».

Moi je dis que je suis enchantée, tu penses, et qu’un mec qui écrit des histoires érotiques, c’est sûr qu’il veut me proposer un rôle, pour quand il aura trouvé un producteur véreux.

Donc, je m’habille un peu trainée, mais trainée-trendy, c’est à dire un look qui peut faire soit trainée, soit trendy, selon où l’on se positionne. C’est à dire que faut pas regarder sous la table, quoi.

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Scoubidou bidou, j’ai…

sudoku pour blondes

C’est très étrange tu sais, parce que hier, alors que j’étais dans le noir obscur de la salle de cinéma, savourant un film anglais en costumes  (pléonasme sonnant et trébuchant dès le début de note, je vous gâte les aminches !) comme je les affectionne tout particulièrement et que la perruque poudrée voltigeait à toute berzingue, et bien disais-je, une lointaine comptine grivoise de mon enfance a tout à coup fait irruption dans mon esprit.

Je n’ai pas compris. Ca faisait ça : « Scoubidou bidou, j’ai du poil à la quéquette. Scoubidou bidou, j’ai du poil partout !« 

Oui, je vous avais prévenu.

Moi qui ne suis que grâce et tremblements, j’ai rougi dans le noir. Ca a donc donné une sorte de grenat du plus bel effet, ce mélange de pantones.
Mais je ne vois toujours pas ce qui a pu entraîner pareille effronterie de ma part. Ralph Fiennes étant, pour la première fois de sa vie, complètement unhotty !

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Caroline-Gérard-Mouloud

Pardon ? Si, si, j’ai mis un sous-pull, t’as vu comme ça caille, je suis pas si folle.

C’est donc pour dire que l’autre jour, j’ai dû aller chez le retoucheur à propos d’une robe.
Effectivement, elle était d’un tel gigantisme au niveau des nichons qu’en me croisant par un curieux hasard au détour d’un carrefour, on aurait facilement pensé que j’étais déguisée avec la cuirasse de Goldorak.
En gros, j’étais chaloupée comme un golgoth qu’aurait garé l’astronef de Janus dans une rue adjacente. Et qu’aurait pas mis de pognon dans le parcmètre.

Voyez le look total rébellion que j’avais là !

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